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vendredi 15 mars 2024

Georges Paulin - Designer









Georges Paulin, de son vrai nom Georges Auguste Paulin était un prothésiste dentaire de profession, passionné d'automobile, et grand résistant français pendant l'occupation de la guerre 39/45, qui est né à Paris dans le 14e arrondissement le 20 mai 1902. Il est capturé en novembre 1941 par des policiers français agissant pour la Gestapo, puis jugé et fusillé au Mont Valérien à Suresnes le 21 mars 1942, en compagnie de ses camarades alors qu'il n'avait pas encore 40 ans ....





Georges Paulin est passionné depuis tout jeune par l'automobile si bien qu'il invente et dessine des voitures tout droit sorties de son esprit fécond. Même pendant sa carrière professionnelle de dentiste il gardera pendant ses loisirs ce passe temps de dessiner et concevoir des carrosseries originales, mais sans se douter que finalement ses esquisses finiraient un jour par se trouver sur les routes ....





Georges Paulin invente des mécanismes qui bientôt vont lui permettre de se consacrer entièrement à sa passion. C’est en 1931 qu’il se fait connaître en déposant un brevet permettant de transformer rapidement un cabriolet en un coupé. Baptisé " Eclipse ", le toit métallique pour automobile articulé et rétractable automatiquement vient disparaître dans le coffre de la voiture grâce à un système de tringlerie accouplé à des sandows. Paulin réalise quelques maquettes pour présenter son invention et s’associe en 1933 avec le Carrossier Pourtout avec lequel il réalise une Hotchkiss. On retrouve un an plus tard, ce système appliqué à des Panhard et Lancia avant que Peugeot lui porte un grand intérêt et l’intègre à son catalogue ....





Georges Paulin est enfin reconnu avec son brevet car Peugeot continuera, jusqu’à la guerre, à exploiter le système mis au point par Paulin puisqu’on le retrouvera, de façon optimisée, sur les 302 et 402 et même 601. Devenu le styliste attitré de Marcel Pourtout après avoir abandonné sa carrière de prothésiste dentaire, il a le don de combiner avec talent une élégance résolument sportive avec les exigences des lignes aérodynamiques alors en vogue. A cette date, la marque sochalienne ne possède pas de cellule course et seules quelques écuries privées se lancent dans l’aventure de la compétition au volant d’une Peugeot. C’est ainsi que Darl’Mat engage aux 24 heures du Mans 1937 trois voitures construites sur la base du châssis retravaillé de la 302 habillé d’une carrosserie type roadster spécialement dessinée par Paulin ....





C’est surtout à compter de 1937 que la collaboration entre Marcel Pourtout et Georges Paulin va connaître une reconnaissance nationale. A cette époque le duo est sollicité par plusieurs marques automobiles afin d'étudier des modèles différents de ce qu'ils ont l'habitude de produire. Ce n’est pas que sur des châssis Peugeot que le carrossier et son designer vont intervenir. En effet, sur base de la Renault Primaquatre, ils réalisent une petite série de cabriolet, coupé et coach. Il s'agit pour Renault de ne pas se laisser distancer en répondant à la 402 Darl'mat de son concurrent. Quinze cabriolets et neuf roadsters, ce dernier se différencie par ses portes échancrées et son pare-brise escamotable, sont ainsi assemblés ....





Au salon de l’automobile 1937, est présentée au public une Delage carrossée par Pourtout sur un dessin de Georges Paulin. Le châssis est celui de la D8-120 Sport habillée par une carrosserie d’une grande modernité, une merveille d'équilibre, de dynamisme et de sobriété. La ligne est tendue au maximum et aucune aspérité ne vient perturber l’ensemble. La finesse des montants du pare-brise et l’absence de rupture entre la vitre latérale et la custode accentue la fluidité du dessin et en font une des plus belles Delage jamais produite. C'est la période ou Pourtout et Paulin exercent aussi leurs talents sur quatre châssis Talbot Lago Grand Sport, avec un dessin plus " raisonnable " que les fameuses " goutte d'eau " de Figoni et Falaschi ....





Dans le courant de l'année 1938, le représentant en France de Rolls-Royce et Bentley, Walter Sleator, contacte Marcel Pourtout pour habiller un châssis Bentley, sur une commande du banquier André Embiricos. Il en ressort une auto extrêmement bien profilée bénéficiant de performances de haut niveau. La très insolite carrosserie dessinée par Georges Paulin est plus légère de 150 kg et le moteur, dont la puissance est portée à plus de 140 chevaux, permet à la voiture de frôler la barre des 200km/h. C’est une vraie réussite qui suscite énormément d’intérêt dans la presse internationale. Malheureusement, la guerre approche et l’engagement envisagé aux 24 heures du Mans 1939 ne se fait pas ....


Sources : © - Wikipédia © - Google Images © - Mecanicus © - CarQuest
© - Georges Paulin © - AutoCult © - Carcatalog





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jeudi 18 juin 2020

Facel Vega FV4 Typhoon - 1957











Jean Daninos est un industriel français qui a travaillé dans l'automobile et l'aéronautique avant de prendre la tête de la Société Facel (acronyme des Forges et Ateliers de Constructions d'Eure-et-Loir) en août 1945 qu'il orienta vers la construction d'automobiles en créant en 1954, la marque Vega vite rebaptisée Facel Vega. Cette ancienne marque française d'automobiles de sport et de prestige est donc apparue au Salon de l'Auto parisien d'octobre 1954 et disparue fin octobre 1964 ....





Les Facel Vega FV sont les dernières représentantes de l’automobile d’exception à la française. Jean Daninos voulait que sa marque prenne le relais des plus grands noms d’avant guerre, qui, incapables de remonter la pente financièrement, disparaissaient les uns après les autres. Facel Vega était prêt à perpétuer cette tradition grâce à des voitures originales, élégantes, soignées, performantes et remarquablement bien construites ....





Durant quelques années Facel Vega va fabriquer des carrosseries pour Panhard, Simca, Ford France et même Bentley avec Pininfarina avant de décider de créer sa propre auto en 1952. Désirant atteindre un haut niveau de performances, Daninos se tourna vers Chrysler pour se fournir en moteurs, des V8 puissants et modernes qu’il ne trouva pas auprès des constructeurs français. Il présenta son prototype FV en 1954 au salon de Paris et de millésime en millésime son luxueux et sportif coupé 2+2 s’améliore jusqu’à donner naissance à la Facel Vega FV4 ....





Dévoilée à la presse le 29 juillet 1954 dans l'usine de Colombes, la Facel Véga est présentée au public lors du salon de Paris au mois d’octobre. Dessinée par Jean Daninos, elle présente un look peu commun pour l'époque avec une ligne plutôt surbaissée dotée d’un élégant pavillon, tandis que la face avant très abrupte s’orne d’une calandre encadrée de deux prises d’air et de quatre phares verticaux vraiment très originaux. Construite en une toute petite série, cette première FV est aisément reconnaissable à son pavillon court, d’où un habitacle assez réduit à l’arrière ....





La filiation entre toutes les Facel Vega est très marquée. Chaque nouveau modèle est l’évolution du précédent, marquant un pas en avant dans l’élégance et l’amélioration des performances comme du comportement routier. Produite entre 1957 et 1958, la Facel Vega FV4 fut spécialement conçue pour la clientèle nord-américaine, marché très prometteur pour la marque, et recevait les moteurs les plus puissants de la gamme. La FV4 possède un style incomparable et incarne la classe et l’élégance à la française avec son imposante calandre, ses pare-chocs chromés, ses bas de caisses en aluminium poli et ses feux arrières signés d’un « V » rappelant le nom de Vega ....





L'habitacle intérieur de la Facel Vega FV4 est luxueux et n’utilise que des matériaux nobles, cuirs, bois, chromes et compteurs Jaeger. Il est également spacieux et permet de profiter de la route à près de 225 km/h dans un confort absolu avec pour l’époque une mécanique étonnamment silencieuse. Grande marque française de luxe, Facel Vega était un des derniers constructeurs français à construire des autos à la main. La FV4 était destinée aux stars, aux hauts diplomates, aux ministres, seuls quelques privilégiés pouvaient se permettre le luxe de rouler dans ce genre d’auto ....





Sous le capot de la belle Facel Vega FV4 se cache donc un moteur américain. La voiture est en effet équipée du mythique V8 Hemi Chrysler TY6 « Typhoon » de 6.4 litres de cylindrée développant 375 Chevaux à 5200 tr/mn pour un couple de 19,5 mkg à 1500 tr/mn. Ce moteur était couplé au choix à une boîte de vitesses mécanique Pont-à-Mousson à 4 rapports ou une boite automatique Chrysler à 3 rapports . Avec un poids d'environ 1700 kilos, la voiture été capable d'atteindre une vitesse de pointe d'environ 225 km/h plutôt remarquable pour l'époque ....





Caractéristiques techniques :

  • Énergie : essence
  • Moteur : 8 cylindres en V
  • Cylindrée : 6400 cm3
  • Puissance : 375 chevaux à 5200 t/mn
  • Couple : 19,5 mkg à 1500 tr/mn





Facel Vega FV4 Typhoon - 1957 ...


Sources : © Wikipédia - © Google Images © ClassicDriver
- © Facel-Vega - © StubsAuto - © JP Echavidre




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vendredi 17 mars 2017

Le Salon de l'Auto Journal Magazine






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L'Auto-Journal est un magazine généraliste bimensuel consacré à l’automobile créé en 1950 par Robert Hersant en compagnie de Jean-Marie Balestre et dirigé par Gilles Guérithault. Il fut revendu en 1994 à l'éditeur anglais EMAP et racheté douze ans plus tard par le groupe de presse italien Mondadori. Depuis octobre 2009, le magazine est détenu à part égale par Mondadori et l'éditeur allemand Springer. Outre les parutions bimensuelles, l’Auto-Journal possède aussi une autre édition spécialisée consacrée aux véhicules 4×4 et fait également paraître régulièrement des hors-série dont l'incontournable numéro annuel " Spécial Salon " très attendu ....


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Le tout premier numéro spécial du magazine Le Salon de l'Auto-Journal paraît en septembre 1951 et donc aujourd'hui il en est à sa 65ième édition. C'est devenu un genre de bible sur l'automobile, et tout amateur de belles mécaniques se doit de collectionner d'une année sur l'autre cette publication, qui constitue depuis 1951 une référence absolue incontestée. À une époque où la tenue de route des voitures, dans la France d'après-guerre, était aléatoire, ce magazine a été le premier à tester en conditions réelles les voitures. Les essais, très détaillés et fort bien écrits, menés par le célèbre essayeur André Costa, constituent aujourd'hui une référence pour les passionnés qui y trouvent une mine d'informations sur les automobiles d'autrefois ....





Dès ce premier numéro spécial du magazine Le Salon de l'Auto-Journal, les dessins des voitures étaient alors réalisés par le spécialiste et historien de l'automobile très réputé René Bellu. La rubrique « Le point de vue de Madame », écrite par deux femmes, Marianne Antoine et Florence Rémy, constitue à elle seule un morceau de bravoure journalistique. Ce premier numéro qui compte 84 pages est imprimé au format 235 x 310. L'équipe de journalistes, anonyme à l'époque puisqu'elle signe « la rédaction », met déjà en avant son objectivité et son impartialité, ce qui dans ces années la n'était pas une évidence dans le petit monde de la presse automobile ....





Les sujets traités dans les anciens numéros du magazine Le Salon de l'Auto-Journal sont en grande majorité des essais des automobiles françaises courantes de l'époque comme par exemple les Citroën, Rosengart, Renault, Panhard, Simca, Peugeot, Ford, ou Hotchkiss. Les autres automobiles, celles de prestige comme les Salmson, Talbot, ou Delahaye, ainsi que les cabriolets et les utilitaires légers, font l'objet d'articles un peu moins détaillés. Seulement quelques pages sont réservées à un petit panorama des automobiles étrangères, mais ce sujet reste encore marginal faute d'ouverture des frontières, ainsi qu'au détail des tarifs des voitures françaises ....





Depuis l'édition de 1953 du magazine Le Salon de l'Auto-Journal, la pagination augmente à 100 pages, et la couverture adopter la couleur avec de fort belles illustrations de dessinateur célèbres comme Rémi Réhault, Géo Ham, ou René Ravault. Les bancs d'essais commencent à s'intéresser désormais aux voitures étrangères comme les Kaiser, Aston Martin, Jaguar ou Porsche. Quelques paragraphes traitent aussi de voitures plus marginales, comme les Gordini, Cunningham, Muntz, ou Pegaso. Dans les années 70, c'est désormais du 50/50 car la moitié du numéro est consacrée aux voitures françaises, l'autre aux voitures étrangères. L'édition du magazine se distingue maintenant par sa reliure à dos carré et la pagination qui augmente à 196 pages. La couleur gagne une nouvelle fois du terrain et la revue se veut d'un millésime à l'autre de plus en plus complète ....





Dés les années 80, le magazine Le Salon de l'Auto-Journal adopte un nouveau format de 255 x 340 tandis que son nombre de pages passe à 280. Les productions des " petits pays " sont maintenant analysées avec force détails, qu'il s'agisse de l'Afrique du Sud, de l'Australie, ou du Brésil. La revue adopte une maquette encore mieux structurée. La couleur gagne encore du terrain et les constructeurs sont présentés par pays, puis par ordre alphabétique au sein de chaque pays. Tous les commentaires et les caractéristiques sont plus détaillés que jamais. Chaque marque est désormais séparée de la suivante par une bande noire dans laquelle s'inscrivent le nom et l'adresse du constructeur. Le magazine prend une longueur d'avance qu'il gardera longtemps sur les titres concurrents. L'amateur trouve désormais toutes les informations qu'il recherche sur tel ou tel modèle, d'une année sur l'autre ....





Dans les années 90 à 2000, avec l'ère de l'informatique et aussi du numérique, la photographie couleur envahie elle aussi le magazine Le Salon de l'Auto-Journal. L'éclectisme des sujets traités en dehors de l'inventaire des automobiles en lui-même devient plus intéressant avec les nouveautés techniques, le sport automobile, les breaks, les voitures de demain. On apprécie spécialement les pages consacrées aux carrosseries spéciales réalisées par des carrossiers-designers comme, Vignale, Frua, Pininfarina, Bertone, Ghia ou Zagato. Plusieurs nouveaux sujets de nature très différente sont abordés comme les véhicules tout-terrain, la technique moderne, les voitures de ceux qui nous gouvernent, les dimensions des breaks, les voitures pour salons " concept car ". Quelques articles sont aussi consacrées à une description des principaux types de moteurs qui équipent les différentes marques de voitures ....





Au début des années 2010, le magazine Le Salon de l'Auto-Journal a définitivement trouvé son rythme de croisière suite à son rachat et à la nouvelle génération de rédacteurs qui est arrivé. Le paysage automobile évolue, et le magazine aussi. Des pays autrefois secondaires deviennent majeurs dans la production automobile comme l'Espagne, la Corée, ou la République Tchèque, et leurs constructeurs gagnent leur place dans le classement des grands producteurs. La pagination ne cesse de progresser, pour dépasser les 400 pages soit quatre fois plus que durant les premières années. Évidemment, la maquette s'est modernisée et la revue demeure après plus de 65 ans d'existence un incontournable, que tous les amateurs, même ceux qui ne lisent pas régulièrement le bimensuel, s'arrachent dès sa parution ....






Sources : © - Wikipédia © - Google Images © - L'Auto-Journal






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mercredi 22 février 2017

Affiches Automobiles Vintage






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Quel passionné d'automobiles n'a pas en sa possession au moins un exemplaire d'un quelconque document publicitaire d'une marque qu'il affectionne. Que ce soit un catalogue, un flyer, une brochure, un prospectus, un dépliant, une carte postale, une affiche, le choix est vaste et varié pour en faire une collection ....


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Je me suis volontairement limité dans cet article pour vous présenter seulement une quarantaine d'affiches publicitaires sur le monde de l'automobile après vous avoir déjà proposé des prospectus publicitaires dans un autre article. Mais mon choix s'est porté sur les anciennes affiches éditées entre 1920 et 1950. C'est en fait une époque ou l'affiche est devenu un support en vogue très prisé par tous les constructeurs automobiles. En effet, toutes les marques, même les plus rares, populaires ou luxueuses ont eu droit aussi à leurs affiches, c'est devenu un incontournable ....





Suivant la marque automobile qui les produit, les affiches publicitaire sont souvent une question de moyens, d'inspiration ou simplement de mode. Tantôt basiquement descriptive, quelque fois poétique, simplement technique ou au mieux artistique, les affiches publicitaires font souvent rêver et permettent à celui qui les collectionne de rassembler un musée imaginaire que personne n'arriverait à concrétiser en réel ....





Si ces très anciennes affiches publicitaires d'avant guerre étaient plutôt simples et classiques, le plus souvent en trois couleurs avec un message très court qui devait frapper les esprits, elles étaient cependant vraiment belles et très soignées. En fait elles créaient un style à part entière car elles étaient illustrés de dessins très réalistes et colorés qui fatalement attirait l’œil du passionné d'automobile ....





Ce style si particulier du genre art-déco est le plus recherché par les collectionneurs car on y trouve des œuvres graphiques de dessinateurs illustrateurs célèbres de l'époque comme par exemple Géo Ham, Alex Kow, Rob Roy, Janko, Gerry Bishop, Théo Brugière, R. Géri, René Luc, Raoul Auger, Luc Barbier, André Bermond, Philippe Chapellier, Pierre Collet, André Dumas, ou aussi Théo Roger ....





A une époque aujourd'hui révolue ou les nouvelles technologies modernes du numérique et de la photo n'avaient pas encore pris le pas sur la peinture ou l'aquarelle, les superbes dessins et les magnifiques illustrations réalisés par ces artistes de grand talent faisaient le bonheur de toutes les marques automobiles de l'époque qui n'hésitaient pas à faire appel à leur service pour leurs affiches ....





Cette époque révolue mais tellement kitch et vintage fait aussi le bonheur des collectionneurs les plus avertis car il est essentiel que les souvenirs de chaque génération soient préservés. En effet, il n’y a pas bien longtemps, les amateurs de voitures anciennes ne juraient que par l’avant-guerre, ce qui a donc suscité un nouvel engouement pour les affiches publicitaires qui s'y rattachent ....





L'intérêt pour ces affiches publicitaires se double d’une rareté évidente car aujourd'hui beaucoup des marques automobile de l'époque ont disparues. En effet plus de Salmson, Talbot, Panhard, Hotchkiss, Delage, Delahaye, Rosengart, Facel Vega, Simca, ou Matford, sans parler de la production étrangère, et donc ces différentes affiches sont aujourd'hui très recherchés par les collectionneurs. A l'époque, toutes les marques rivalisaient de moyens publicitaires de plus en plus importants pour se faire une place au sommet de la hiérarchie des constructeurs ....


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Le dessin a progressivement laissé la place a la photographie a partir de 1960 car ces années virent la généralisation de la quadrichromie, et donc une meilleure qualité de l’illustration photo qui poussait vers la sortie les artistes illustrateurs des années précédentes. Les collectionneurs avertis estiment à plus d'un million le nombre d'affiches publicitaires automobiles différentes imprimées avant guerre, c’est dire le travail de recherche si vous souhaitez vous lancer, courage ....


Sources : © - Wikipédia © - Google Images © - AllPosters






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