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vendredi 28 septembre 2018

Carlo Castagna Carrossier









La Carrosserie Castagna est une entreprise de carrosserie automobile italienne installé à Milan et fondée en 1849 par Carlo Castagna. Pas du tout connu du grand public, l'entreprise s'est pourtant construit à l'époque une renommée internationale dans la fabrication artisanale de carrosses hippomobiles de prestige à destination des familles royales et des aristocrates de toute l'Europe. Ce n'est finalement qu'au tout début du XXe siècle que la société Carlo Castagna & Co. s'intéresse à l'automobile à moteur en s’orientant tout naturellement vers la réalisation de carrosseries pour l’automobile ....





Au début du XXe siècle, la Carrosserie Castagna collabore avec l'importateur italien des quadricycles à moteur Benz, pour lequel il réalise des carrosseries destinées à la clientèle aristocratique. Tout semble lui réussir, et Carlo Castagna décide de s'installer dans une nouvelle usine mieux équipée afin de faire face aux nouvelles commandes et à la production. Son habileté et le talent des dessinateurs qu'il emploie l'imposent comme l'un des acteurs majeurs de son temps car en plus il est un des rares carrossiers de renom à avoir su gérer cette transition entre les deux époques avec un certain succès ....





La première création exceptionnelle de la Carrosserie Castagna sera présentée en 1905, sur une commande de Marguerite de Savoie, la Reine d'Italie. Cette création était basée sur une référence de l'époque, la Fiat 24-32 HP. La voiture comportait tous les équipements et accessoires disponibles à cette époque avec un niveau d'équipement et de raffinement inimaginable, mais aussi une attention toute particulière apportée à la finition, partant de l'idée que le luxe est le résultat d'un travail effectué lentement et avec passion ....





Le succès aidant, la production de la Carrosserie Castagna se diversifie par la suite avec l'utilisation de châssis Fiat, et Alfa Romeo, qui donnent au Carrossier milanais l'opportunité de proposer des modèles sportifs, voire avant-gardistes. C'est le cas de la Castagna Aerodinamica, en forme de goutte d'eau, qui peut être considéré comme le premier monospace de l'Histoire de l'Automobile. C'est l'une des réalisations particulièrement connues du carrossier encore aujourd'hui puisqu'il s'agit de l'une des premières automobiles tenant compte de considérations aérodynamiques, en effet, sa carrosserie formait une carène profilée en forme d'aéronef ....





En 1915, après la mort de Carlo, son fils Ercole Castagna reprends la direction de la Carrosserie Castagna et il augmente sa structure de production à 32.000 m2 car la réputation de la firme et son carnet de commandes sont florissants. La société réalise désormais des carrosseries notamment sur des bases de grand noms de l'automobile comme Isotta Fraschini, Alfa Romeo, Fiat, Duesenberg, Lancia, Hispano Suiza ou encore Mercedes-Benz. Malgré l'aide du jeune Emilio Castagna, le jeune frère d'Ercole, qui rejoint l'entreprise familiale après être passé par l'école des Beaux-Arts, l'entreprise va avoir du mal à surmonter le krach boursier et la guerre qui va suivre. Finalement la Seconde Guerre Mondiale met un terme à cette belle réussite et l'entreprise fermera ses portes en 1954 ....





En 1994, le designer milanais Gioacchino Acampora, ancien styliste chez Ital Design et Pininfarina, rachète les droits de la marque Castagna et fait renaître la Carrosserie Castagna avec le secret espoir de réhabiliter le concept de véhicule sur mesure, adapté aux goûts et aux exigences contemporaines. Il saura s'entourer de designers et d'artisans de talent qui vont lui permettre d'offrir trois possibilités à ses clients :

  • Light Tuning : Modification assez légères dans le domaine de la peinture, de la décoration intérieure, des équipements et accessoires.
  • Coachbuilding : Importantes modifications d’un véhicule existant. Par exemple transformer un coupé en limousine ou en break.
  • One-Off : La conception, la réalisation et l’homologation d’une pièce unique ....






Aujourd'hui, la Carrozzeria Castagna est essentiellement orientée vers les carrosseries "fuoriserie" comme le veut la longue tradition de la marque, mais également vers le tuning de modèles automobiles haut de gamme. Elle présente régulièrement des nouveautés sous forme de concepts cars dans les salons spécialisés. A partir des années 2000, Castagna passe à la vitesse supérieure. Désormais, les présentations vont se succéder. Il y aura tout d'abord la belle Alfa Romeo Vittoria, suivie de la Maserati Auge. En 2003 on verra l'étonnante Alfa Romeo GC suivi par l'insolite Ferrari Rossellini. En 2006 Castagna propose l'incroyable Imperial Landaulet, sur la base d'une structure de Porsche Cayenne. D'autres vont suivre comme le coupé Aznom, la sportive Targa. Mais le plus étonnant reste à venir, car partant du concept "qu'il n'y a pas de limite à la fantaisie des riches mécènes", Castagna propose de multiples déclinaisons de Fiat 500 ou de Mini vraiment très insolites et étonnantes ....





Sources : © - Wikipédia © - Google Images © - Carrozzeria Castagna
© - YouTube © - Carcatalog © - Dolce Vita



Castagna transforme des Peugeot ou des Fiat ...







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mercredi 12 avril 2017

Maybach Vision - 2016







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« Maybach » est un constructeur automobile allemand spécialisé dans les voitures de luxe, fondé en 1897 par Wilhelm Maybach à Friedrichshafen tout près du lac de Constance dans le sud de l'Allemagne. L’histoire de la marque commence en 1921, lorsque la toute jeune compagnie construit enfin sa toute première voiture, la Maybach W3 présentée au Salon automobile de Berlin. La marque ne se relèvera pas de la Seconde Guerre mondiale et tombera dans les marques oubliées du groupe Daimler. Recréée en 2002, elle devient la marque de très haut de gamme du groupe Mercedes-Benz pour tenter de concurrencer si possible Rolls-Royce et Bentley ....





Dernièrement au Concours d’Élégance de Pebble Beach dn 2016 en Californie, la marque à présenté en avant première son tout nouveau coupé deux portes, la magnifique Maybach Vision 6. C'est un très élégant coupé deux places, un véritable joyau très luxueux à couper le souffle. Cet engin peu commun par son esthétique et sa technique au look plutôt futuriste et au design hors normes a attiré le regard des plus curieux mais aussi immanquablement l'attention de tous les passionnés de belles voitures. Ce qui a marqué les esprits, c'est évidemment cet immense capot qui tombe sur une grande calandre, mais aussi la faible hauteur de la voiture ....





La Maybach Vision 6 est ainsi baptisée à cause de ses presque 6 m de long, en réalité 5,70 m, qui en font un véhicule gigantesque, aux proportions peu communes, et c'est particulièrement criant quand on l'a en face de soi. Outre la longueur, sa largeur est de 2,10 m, et son toit culmine à peine à 1,32 m. Campée sur des très élégantes jantes de 24 pouces, la belle propose des lignes vraiment très rétros à la mode des années 30, et une calandre immense qui semble être une réinterprétation moderne de celle des Maybach d'antan. Avec cette GT Supercar, la firme démontre sa créativité autant que son savoir-faire qui honore et fait briller son blason ....





En fait concernant cette étonnante et insolite Maybach Vision 6, le chef du département design de Daimler AG, Gorden Wagener, ne cache pas que cette voiture rend hommage aux «aéro coupés» des années trente, mais il ajoute qu'elle ne verse pas, pour autant, dans le style Néo-Rétro. Quand il décrit sa lunette arrière divisée en deux par une arête en tôle, il y voit une référence aux yachts de luxe. Mais on pense aussi à la Bugatti Atlantic de 1934, ou à la moins connue Maybach Zeppelin DS8 Stromlinie de 1932. Quoi qu'il en soit, toute la magie et le look du design du coupé Vision 6 réside dans des proportions à nulles autres pareilles ....





La Maybach Vision 6 se pose comme « un coupé GT "glamour" représentant "le summum du luxe contemporain" » selon le constructeur allemand. Très long capot, poupe distinctive, ligne de toit basse, calandre agressive, arrière plongeant, portes papillon comme un hommage à la 300 SL, lunette arrière spécifique de type split-window, livrée de carrosserie rouge Maybach, diffuseur alu, sorties d’air derrière les passages de roues, caméras numériques à la place des rétros, capteurs surveillant quelques fonctions vitales, tout laisse effectivement penser que c'est le parfait mariage de la haute technologie, du style glamour, du luxe et de l’élégance ....





Le coupé GT Maybach Vision 6 est clairement une voiture d'exception avec son intérieur en cuir, ses matériaux nobles, ses boiseries, ses inserts d'aluminium et son set bagagerie de deux valises exclusives. Elle n'est pourtant qu'une 2+2 dont les places arrières manquent cruellement de garde au toit. Le rapport encombrement / habitabilité est nul, mais on s'en moque car il y a l'autobus pour ceux qui se soucient de ses questions. Mais on préfère remarquer le coffre à champagne de 2 bouteilles à l'arrière. Il est évidemment réfrigéré. Il y aussi un coffre avant avec des bagages faits sur mesure, pour confirmer qu'on est bien dans un univers de super-luxe, avant d'entrer dans la science-fiction quand on s'installe à bord ....





L'emménagement intérieur de cette étonnante Maybach Vision 6 fait lui aussi appel au Hi-Tech le plus avancé. En fait, Maybach est bien dans son temps, car cette GT peut se conduire toute seule de façon autonome. Son pare-brise de type écran peut afficher une réalité augmentée, en surimposant à la vision réelle des informations supplémentaires. Son cœur informatique peut détecter qui sont ses occupants et afficher leurs fonctions vitales ou adapter la climatisation en fonction de la température extérieure et des vêtements portés, ou bien harmoniser la couleur de l’habitacle en fonction de ces mêmes vêtements. Les différentes fonctions de ce vaisseau roulant peuvent aussi être contrôlées gestuellement. Le tunnel central matérialise par des lumières colorées les flux d'énergie de la motorisation ....





Pour ce qui est de la mécanique, le coupé GT Maybach Vision 6 avec son capot interminable ne cache pas un V10 ou un V12 car cette Supercar tourne à l’énergie "nucléaire". En effet, ce coupé 2+2 à transmission intégrale, est électrique. Ses 4 moteurs électriques synchrones compacts à aimant permanent, un par roue, en font un 4x4 qui développe la bagatelle de 550 kW, soit 750 chevaux. Du coup, les performances sont décoiffantes, avec moins de 4 secondes pour le 0 à 100 km/h, et 250 km/h limité électroniquement en vitesse de pointe. Le pack de batterie de 80 kWh logé dans le plancher permet une autonomie, selon le cycle NEDC, qui dépasserait les 500 kilomètres. Différents types de recharge sont au programme dont une par induction et l'autre par courant continu selon la norme CCS qui offre une capacité de recharge jusqu’à 350 kW et, après cinq petites minutes de recharge, offre 100 km d’autonomie supplémentaire ....


Caractéristiques techniques :

  • Énergie : Électrique
  • Moteur : 4 moteurs - 1 par roues
  • Batteries : 80 kWh
  • Puissance : 550 kW, soit 750 chevaux
  • Vitesse : 250 km/h
  • Performance : 4 secondes pour le 0 à 100 km/h



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube - © Mercedes-Maybach




Présentation de la Maybach Vision 6 ...








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mercredi 14 avril 2010

Ferdinand Porsche et Mercedes










Je viens récemment de découvrir une histoire sur un des pionnier de l’ère automobile qui mérite d’être racontée . C’est celle du « Docteur Ferdinand Porsche » qui construisait des Mercedes pour les riches en rêvant de construire à son compte des voitures du peuple, les temps ont bien changé ….



Il faut savoir que dans les années 20, les premiers travaux sur les moteurs à compresseurs avaient été lancés par Paul Daimler l’ingénieur en chef de la Daimler Motoren compagnie créée en 1890 à Stuttgart par son père . Les balbutiements furent cruels, bougies, soupapes, culasses, pompe à huile, rien ne résistait à l’accroissement de la puissance délivrée par le compresseur . En 1923, les dirigeants de Daimler décident d’embaucher un ingénieur en chef opiniâtre doté d’une forte expérience de l’automobile dont la passion se nourrit d’innovation et de compétition, et se choix va changer la donne . Ferdinand Porsche entre donc chez Daimler à l’âge de 48 ans et développe un moteur de 2 litres à 4 cylindres avec compresseur qui développe 120 chevaux à 4500 t/mn, des prestations fabuleuses pour l’époque qui ont permis de gagner la Targa Florio devant les Alfa ou même les Hispano bêtes noires de l’époque ….



En 1926, la fusion de Daimler et Benz donne naissance à un service compétition dirigé par le célèbre Alfred Neubauer pour qui Ferdinand Porsche développe alors un 8 cylindres à compresseur en catégorie 2 litres qui remportera 21 victoires sur 27 engagements . A la vue de ces succès, Mercedes va confier à Ferdinand la construction de sa nouvelle série « S » pour Sport . Il s’agit en fait d’une version améliorée des anciens lourds châssis K raccourcis et équipés d’un 6 cylindres en ligne de 6,8 litres de cylindrée développant de 120 à 180 chevaux avec ou sans compresseur . Vendue sous le nom S 26/120/180, le premier chiffre désignait la puissance fiscale, et les deux suivants désignent la puissance réelle avec ou sans compresseur . Dès 1928 une première évolution apparaît, la SS 27/160/200 qui sera suivie au début des années 30 par la SS 27/170/225 ….



Parallèlement à ces évolutions mécaniques, les châssis ne cessent eux aussi de s’améliorer car Ferdinand Porsche révolutionne tout . Ainsi, le châssis S raccourci de 45 cm va devenir SSK pour Super-Sport-Kurz/Super-Sport-Courte et plus tard SSKL pour Super-Sport-Kurz-Leicht/Super-Sport-Courte-Légère . On verra donc se succéder une fabuleuse lignée de SSK 27/140/200 suivie par les SSK 27/170/225 et aussi les SSK 27/180/250 pour finir en 1931 par la rarissime SSKL 27/240/300, un monument . Le palmarès sportif de cette série « S » conçue par Ferdinand Porsche et des plus élogieux, avec une multitude de classiques (Targa Florio, Mille Miglia, Avus), de nombreux Grand Prix ou des faits rares et éloquents comme en 1927 ou trois Mercedes trustent le podium du Grand Prix d’Allemagne devant pas moins de 17 Bugatti . Souvenons nous qu’à ces époques la voiture flirtait déjà avec les 200 km/h, hallucinant ! ….



Destinée à une clientèle fortunée, cette prestigieuse série SSK et SSKL ne fut produite qu’à seulement 33 exemplaires qui seront achetés par des gens illustres comme par exemple Sir Arthur Conan Doyle le créateur de Sherlock Holmes . Suite au départ de Ferdinand Porsche qui avait enfin décidé de voler de ses propres ailes, la saga des Mercedes à compresseur va se poursuivre sous l’appellation « K » jusqu’au début de la guerre 39-45 ….




Les Mercedes SSK, c'est aussi ça ... >





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lundi 4 janvier 2010

Mercedes-Benz SLR Stirling Moss - 2009



MERCEDES SLR-STIRLING MOSS ….








Daimler crée la première voiture du monde en 1886 et utilise à partir de1902 le nom de Mercedes . Après fusion avec Benz en 1926, la marque assoit tranquillement son prestige au fil des ans . Le groupe se sépare de Mitsubishi en 2006 et de Chrysler en 2007 mais conserve Smart et Maybach . Ce qui caractérise principalement Mercedes, ce sont des voitures de luxe mais à tendance plutôt sportive . En fait la compétition à toujours était présente dans la firme avec même des collaborations extérieures, AMG, Alpina, McLaren et même luxe suprême la catégorie reine, la Formule1 ….



L’hommage à l’histoire de la course automobile, « SLR », trois lettres que tous les passionnés connaissent . Dans les années 1950, Mercedes-Benz a remporté de nombreuses victoires avec la 300 SLR, notamment aux Mille Miglia, lors de la Targa Florio ou dans le cadre du Tourist Trophy . Les plus grands pilotes de l’époque disposaient de cette monture, qu’il s’agisse de Juan Manuel Fangio, de Karl Kling et surtout, évidemment, de Stirling Moss . C’est en son honneur que la nouvelle déclinaison de la SLR a été baptisée SLR Stirling Moss . En effet, celle-ci possède à la fois le caractère des modèles SLR contemporains tout en offrant la même fascination que la SLR de 1955 . La Mercedes-Benz SLR McLaren Stirling Moss est dépourvue de toit et de pare-brise, ce qui permet au conducteur et au passager d’être directement en contact avec les éléments pour mieux savourer la fascination de la vitesse et le plaisir de conduire sous leur forme la plus authentique . Cette nouvelle super sportive au look de tueuse bénéficie d’une qualité de conception exceptionnelle, affichant un dessin d’une pureté extrême, dépourvu de vitres et de toit . Seuls deux saute vents, hauts de quelques centimètres, protègent du vent le conducteur et le passager . La structure de la carrosserie fait office d’arceau de protection pour les occupants et l’intégralité de la carrosserie est en fibres de carbone . La nouvelle SLR peut être recouverte à l’aide de deux couvre tonneau en fibres de verre, qui sont rangés dans le coffre à bagages ….



Dans le domaine technique, Mercedes-Benz a mis à profit l’expérience acquise avec les SLR Coupé et Roadster. À l’instar de ces modèles, la SLR Stirling Moss bénéficie d’un concept aérodynamique faisant appel à un plancher intégral et à un diffuseur arrière qui lui assurent un appui optimal . L’intégralité de la carrosserie est en fibres de carbone . Les concepteurs ont opté pour des portières en élytre s’ouvrant vers l’avant . Dans l’habitacle, le superflu n’a plus sa place . Les matériaux authentiques et de qualité comme le carbone, l’aluminium et le cuir haut de gamme lui assurent une ambiance unique . La signature de "Sir Stirling Moss" est gravée sur une plaquette en aluminium . Grâce à son moteur V8 à compresseur d’une cylindrée de 5,5 litres développant une puissance de 650 chevaux, la voiture offre des performances de haute tenue avec le 0 à 100 km/h en moins de 3,5 secondes et une vitesse maximale qui s’élève allègrement à 350 km/h, ce qui permet à cette nouvelle SLR de devenir la voiture de sport découverte la plus rapide jamais produite en série . Ces performances lui permettent de porter dignement le nom du légendaire pilote britannique Stirling Moss ....



Ce qui range à coup sur la Mercedes-Benz SLR Stirling Moss dans la catégorie des supercars, c'est d’une part l'utilisation du carbone pour sa coque mais aussi inévitablement l’exclusivité de ses 75 exemplaires seulement . Les quelques 800.000 euros indispensables à l’acquisition du SLR Stirling Moss renforcent grandement le mythe, en même temps qu’ils brisent les derniers espoirs des doux rêveurs que nous sommes, même avec le loto c’est pas gagné . De toutes façons seuls les clients déjà possesseurs d’un modèle de la gamme pourront commander ce nouveau bijou et en plus ils ne seront pas tous servis car seulement 75 véhicules avec chacun leur propre châssis numéroté, seront produits de juin (mois de l’arrêt de la fabrication du SLR de base) à décembre 2009 . Ensuite, promis juré, la belle idylle entre Mercedes et McLaren sera vraiment terminée, mais au fait de qu’elle crise parlez-vous donc ? ….



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : V8 à compresseur
  • Cylindrée : 5.5 Litres
  • Puissance : 650 chevaux
  • Boîte : automatique à 5 vitesses
  • Vitesse : 350 km/h
  • Accélération : Le 0 à 100 en 3’’5






La Mercedes SLR Stirling Moss, c'est ça ...





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