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vendredi 24 août 2018

BMW Nazca C2 - 1992











Au salon de l'automobile de Genève en 1991, la société ItalDesign présente une supercar, l'étonnante BMW Nazca conçue par son créateur Fabrizio Giugiaro. Ce premier grand projet d’envergure du jeune designer âgé de 26 ans est en effet un appel à BMW pour la résurrection de sa supercar BMW M1, dessinée en 1978 par son père, Giorgetto Giugiaro, et dont la succession se fait attendre depuis 1981, en quelque sorte un genre d'hommage à son père et une nouvelle vitrine pour le constructeur allemand ....





Dans la lignée des noms précolombiens chers à Giugiaro (Inca, Aztec, Maya), la voiture prend le nom des géoglyphes de la civilisation Nazca du Pérou surtout connue pour avoir tracé d’immenses séries de figures géométriques ou d’animaux stylisés dans le sol aride. Ce design novateur et plutôt impressionnant pour l'époque que l'on découvre sur cette superbe BMW Nazca a été inspiré par les voitures de course de F1 et de groupe C et a été rendu possible grâce à l'utilisation d'une carrosserie entièrement en fibre de carbone et aluminium. La voiture a été testée dans la soufflerie de BMW et a obtenu un coefficient de traînée de 0,26 ....





Sur l'étonnante BMW Nazca, certains détails de style sont assez insolites comme par exemple l'aileron et le capot du moteur qui ont été fabriqués d'une seule pièce, supprimant les lignes d'arrêt indésirables. L'ouverture de la porte est plutôt inhabituelle mais très spectaculaire car chaque porte est divisée en deux, la partie inférieure s'ouvre de la manière conventionnelle, et les fenêtres latérales à ouverture papillon sont articulées le long de la structure au centre du toit. Le grand capot du moteur pivote vers l'arrière pour révéler le cœur de la bête en position longitudinale centrale ....





L'insolite BMW Nazca propose également un immense pare-brise enveloppant qui permettait une visibilité à 360 degrés, un genre de bulle ou cockpit d'avion. La carrosserie profilée, façonnée en fibre de carbone et aluminium, assurait un poids limité car avec son châssis lui aussi en carbone la Nazca n’accusait que 1.100 kilos à la pesée. Force est de reconnaitre que conceptuellement géniale, cette BMW Nazca C2 création d'Italdesign est encore restée frappante quasiment 25 ans plus tard ....





Une variante de cette BMW Nazca C2 est présentée au Salon de Tokyo, toujours équipée d'un moteur BMW, mais préparé cette fois par Alpina pour en tirer plus de puissance. Les phares sont désormais implantés sur le museau de la C2, et non plus sur l'arrondi des ailes. La poupe en un seul bloc de la première version s'est creusée pour dégager un aileron. Finalement en 1993, Italdesign présente une troisième et dernière version de la Nazca C2 Spider au Grand Prix automobile de Monaco, avec une version de moteur BMW Alpina poussé à 5,7 litres ....





L'habitacle intérieur de la belle BMW Nazca C2 a lui aussi été bien étudié et soigné pour l'époque. Giugiaro a brillamment exploré deux voies, l'une sophistiquée et technique comme sur une Ferrari F40, et l'autre plus élégante et confortable, et jugée plus appropriée pour une BMW. Au final le mélange de ces deux tendances est un réussite totale. La planche de bord reprenait la même couleur que la carrosserie et le tableau de bord gardait son style incurvé cher aux BMW. Toute la sellerie est pourvue d'un superbe cuir de qualité aux surpiqures élégantes et soignées. Les tapis de sol se marient avec l'épaisse moquette et assurent un confort bienvenue. Un élégant volant cuir à trois branches complète l'ensemble ....





Pour ce qui est de la mécanique de la superbe BMW Nazca c2, il s'agit d'un moteur préparé par le célèbre sorcier allemand attitré de la marque bavaroise, le fameux Alpina. C'est en fait un "V 12" d'une cylindrée de 5.700 litres qui développe une puissance de 380 chevaux. Ce plus gros moteur a nécessité une transmission manuelle à six vitesses. Ainsi motorisée cette propulsion assez légère avec sa carrosserie en carbone et aluminium et son bon aérodynamisme pouvait atteindre une vitesse maximale avoisinant les 340 km/h ....





Caractéristiques techniques :

  • Énergie : Essence
  • Moteur : V 12
  • Cylindrée : 5.700 cm3
  • Puissance : 380 chevaux
  • Vitesse maximal : environ 340 km/h
  • Transmission : Propulsion avec Boîte de vitesses manuelle à 6 rapports



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube
- © BMW - © ItalDesign - © Giugiaro




La BMW Nazca C2 -1992 ...








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mercredi 16 novembre 2016

Lister Le Mans XJS - 1990











Lister est un petit constructeur de voitures de sport et de course britannique implanté à Cambridge, créé en 1954 par le pilote de course Brian Lister sous le nom de George Lister & sons, re-fondé en 1986 sous le nom Lister Cars. La firme créa sa première voiture de course en 1954, ses modèles utilisaient alors des mécaniques d'origines diverses, MG, Jaguar, Chevrolet, Coventry Climax, Maserati, Cooper ou Bristol. Lister s'imposa rapidement comme l'un des spécialistes Jaguar, à l'image d'un Alpina pour BMW ou d'un AMG pour Mercedes. L'usine est située depuis 1986 à Leatherhead, dans le Surrey et produit en petite série des Jaguar XJS modifiées ....





En 1990, la firme propose la très étonnante Lister Le Mans XJS dont l'objectif de production s'élève à 50 voitures. Basée comme on l'aura compris sur une Jaguar XJS, elle était principalement destinée à une clientèle plutôt aisée british, soucieuse de se démarquer des propriétaires de GT allemandes ou italiennes. En fait chez Lister on n'aime pas les berlinettes à moteur central dont on estime la conduite trop pointue et l'habitabilité insuffisante. On va donc conserver les cuir, bois précieux, moquette épaisse, qui font le confort de cette vénérable anglaise, avec son couple et sa classe, mais en lui faisant suivre une cure de jouvence pour le côté sportif ....





Les transformations pour l'insolite Lister Le Mans XJS sont assez importantes. Tout commence à partir d'une coque nue fournie directement par Jaguar. Les ailes sont découpées avant d'être élargies à l'aide de feuilles de métal soudées par points. Toute la partie arrière est remodelée. La banquette est reculée, les vitres latérales sont prolongées et la custode adopte une forme fast-back. Les feux arrière sont rehaussés pour encadrer un aileron. Ces modifications et le montage d'un gros réservoir d'essence de 128 litres ont bien sûr diminué la capacité du coffre à bagages. A l'avant, la courbure du capot a été prolongée et l'articulation de l'ouverture inversée. Les pare-chocs sont remplacés par d'imposants boucliers en fibre de verre montés sans jointure apparente et les traditionnels marchepieds sont raccordés aux passages de roue avec le même souci d'intégration minutieuse ....





Sur cette Lister Le Mans XJS les modifications apportées au train roulant sont aussi très importantes. Les articulations de la suspension avant sont inchangées mais la géométrie est retouchée pour diminuer les réactions. La flexibilité des ressorts, plus durs, est variable et les amortisseurs sont des Koni. Les points de fixation ont été rigidifiés et la direction, plus directe, a vu son assistance diminuée. Le diamètre des disques de frein ventilés est impressionnant, 33 cm et les pinces en alliage sont à 4 pistons. Un bâti tubulaire de renfort a été ajouté sous le plancher et le principe des demi arbres porteurs a été abandonné au profit de triangles inférieurs inversés de forte section, les disques de freins, non ventilés, ont été reportés dans les roues. Ils sont eux aussi commandés par des étriers à 4 pistons. Les roues de 17 pouces en alliage démontables sont chaussées des Pirelli P Zéro de la F 40, largeur 245 à l'avant et 335 à l'arrière. Enfin une tenue de route digne d'une vraie GT sportive ....





La Lister Le Mans XJS a donc vraiment changé suite à toutes ces modifications. Si à l’époque, sur la Jaguar originale, confort rimait avec hors-bord, ça gitait, ça tanguait, ça prenait du roulis, ça levait le nez ou plongeait au freinage, aujourd'hui tout ça est révolu. La suspensions en mode chewing-gum et le châssis pas très rigide qui ne permettaient pas d'exploiter la puissance en dehors d’une ligne droite, vous faisaient vite revoir vos ardeurs en vous donnant une leçon de physique avec un rappel sur la dynamique des forces. Cette nouvelle mouture revisité en profondeur gomme définitivement tous ces défauts. On a maintenant affaire à une véritable GT du type supercar. Le gros coupé Jaguar est enfin devenu sportif et séduisant ....





L'habitacle de la Lister Le Mans XJS appartient au monde de la course mais ici tout est soigné uniquement pour ce qui est du confort du pilote. L'habitacle est traité avec le luxe d'une Aston Martin ou d'une Bentley, à grand renfort de cuir Connolly dans la plus pure tradition anglaise. La planche de bord garde ses anciens inserts en bois massif. La climatisation les vitres électriques et le système audio sont conservés en l'état. Les sièges avant sont remplacés par des Recaro entièrement regarnis alors que des baquets individuels sont aménagés à l'arrière. Des inscriptions Lister en relief sont présente sur les sièges et les contre-portes. Un petit volant italien gainé de cuir remplace le modèle d'origine. L'instrumentation n'est pratiquement pas retouchée à l'exception du compteur de vitesse qui est gradué jusqu'à 320 km/h ....





Pour ce qui est de la mécanique, l'incroyable Lister Le Mans XJS est disponible avec le moteur V12 Jaguar mais avec une augmentation de cylindrée de 5,3 litres à 7 litres. C'est le plus gros VI2 actuellement utilisé sur route. Les 7 litres ont été obtenus en augmentant l'alésage de 4 mm et la course de 14 mm. Les conduits d'admission et les culasses sont polis. Les arbres à cames au profil retouché actionnent des soupapes géantes de 45 mm de diamètre à l'admission et 37 mm à l'échappement. Les pistons forgés signés Cosworth font passer la compression à 11,2, en conservant les culasses utilisées sur les VI2 ancienne génération. La carburation est gérée par un système maison utilisant des composants Marelli Weber et des collecteurs d'admission spécifiques à deux papillons. La puissance passe à 496 à 6.200 tr/mn et le couple à 69 mkg à 3.850 tr/mn. Une autre version "Le Mans Specifications" propose deux turbos pour une puissance de 620 chevaux ....





Pour passer convenablement une telle puissance aux roues arrière, la motorisation de la Lister Le Mans XJS est accouplée avec une boite mécanique manuelle Getrag à 6 rapports dont l’arbre et les pignons ont été renforcés aidée par un embrayage bi-disque AP à commande hydraulique et d'un autobloquant lui aussi renforcé. Côté performances, la voiture, disponible en coupé ou cabriolet, est dorénavant capable d'atteindre 324 km/h, des performances du niveau de la Ferrari Testarossa, avec un 0 à 100 en moins de 5 secondes. Tout en gardant un confort de haut niveau, la Lister est devenue plus précise dans sa conduite et se montre facile et prévenante. Si elle n'a pas la rigueur d'une Alpina, cette lourde berline met une seconde pleine dans la vue à la Porsche Ruf CTR et encore, sans forcer ....



Caractéristiques techniques :

  • Énergie : Essence
  • Moteur : V12 Jaguar à injection
  • Cylindrée : 7000 cm3
  • Puissance : 620 ch à 6500 t/mn
  • Couple : 69 mkg à 3.850 tr/mn
  • Transmission : Propulsion
  • Boîte de vitesses : Manuelle Getrag à 6 rapports



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube - © Lister




La Lister Le Mans XJS de 1990 ...








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mercredi 10 février 2010

Novitec TuLesto - 2009



NOVITEC TULESTO ….







Nos amis d’Outre-Rhin passionnés d’automobiles sportive ont bien de la chance . C’est un des derniers pays européens ou la limitation de vitesse soit encore libre sur certains tronçons d’autoroute, c’est peut être pourquoi ils ont encore des préparateurs renommés . Ces sorciers de la mécanique comme Brabus, Alpina, AMG, Hamann, Hartge, 9FF, ou H&R transforment avec compétence et précision des sportives existantes pour en tirer la quintessence, un vrai bonheur . C’est à qui fera de la BMW méchante, de la Mercedes rageuse, de l’Audi énervée ou de la Porsche endiablée . Novitec Rosso n’est pas le premier de ces préparateur, ni sans doute le dernier, à chercher à s’émanciper de l’une de ses bases favorites de préparation en tentant de nous vendre sa supercar. En fait, ce sorcier allemand et le grand spécialiste des interventions à base de Ferrari depuis vingt ans, et dans la maison ça rigole pas, les Ferrari on en fait des furieuses envoutantes ….



Pour célébrer en fanfare son vingtième anniversaire, le préparateur allemand Novitec a décidé de créer son propre véhicule dessiné en collaboration avec Luca Serafini Stile, un centre de design italien en vogue basé à Modène . Enfin « créer », c’est une façon de présenter les choses, car au premier regard la ressemblance avec la Ferrari F430 est indéniable, bien que la voiture soit vraiment remaniée . La Novitec Tulesto, c’est son nom, offre une ligne générale un peu plus trapue et massive, un brin plus bestiale avec les formes torturées de la face arrière et ses appendices aéro . La ressemblance avec la plus célèbre des berlinettes transalpines n’est pas seulement esthétique car on retrouve des dimensions similaires, un châssis aluminium identique, et un V8 en position centrale arrière, le reste fait appel au carbone . On l’aura compris, le poids c’est le nerf de la guerre et ici on ne déroge pas à la règle car le poids reste contenu puisque la voitures n’affiche à 1260 kg tous pleins faits . Si à l’instar de son inspiratrice, Novitec a retenu un V8 en position centrale arrière, il a mis les petits plats dans les grands en offrant une puissance démesurée ….



En effet, le V8 de 4,4 litres cylindrée de la Novitec Tulesto est doté de deux compresseurs superchargers qui lui permettraient de développer une puissance de 777 chevaux à 8200 trs/mn pour un couple de 762 Nm à 6300 trs/mn . Rien que ça ! Forcément, avec 1260 kg (soit un rapport poids/puissance de 1,62 kg/ch) et avec de tels atouts, les chronos tombent et les chiffres sont dantesques, le 0 à 100 abattu en 3,4 secondes, le 0 à 300 km/h expédié en 22,6 secondes, et une vitesse max supérieure à 350km/h, un vrai missile, le compromis ? Connais pas . Au vu des accointances particulières qu’entretien le préparateur allemand avec les productions du "Cavallino Rampante", la qualité et le soin apporté à l’assemblage et à la finition de la voiture ne souffre pas la critique, c’est du hi-tech et du sophistiqué . Rien n’est laissé au hasard, la suspension a été entièrement revue et utilise des réglages et des composants spécifiques adaptés à de telles performances . Le système de freinage est lui aussi revue en profondeur et adopte des composants céramiques beaucoup plus performants ....



La Novitec Tulesto utilise une transmission spécifique capable de supporter une telle puissance . On a opté pour une boîte semi-automatique robotisée à six rapports avec palettes au volant . L’habitacle propose bien sur tous les équipements hi-tech que l’on est en droit d’attendre d’une supercar de ce genre . Le cuir se marie avec l’alcantara, le carbone ou l’aluminium avec bonheur et propose une ambiance très typée sport . Avec cette plastique décalée et cette couleur orange flashy, les superbes jantes aluminium anodisées de couleur noire, la voiture est vraiment incroyable . Pur délire, ou vraie nouveauté ? En l’absence de réponse concrète, pour l’instant, le seul effet de cette Novitec Tulesto est de faire parler et de faire envie, et ça, c’est efficace ! Si vous aussi elle vous fait rêver, passez votre chemin et oubliez vite car il n’en sera fabriqué que onze exemplaires et elles sont déjà toutes vendues avant d’avoir été construites ....



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : V8 double arbre
  • Cylindrée : 4.4 Litres
  • Puissance : 777 chevaux à 8200 trs/mn
  • Couple : de 762 Nm à 6300 trs/mn
  • Vitesse : 350 km/h
  • Accélération : Le 0 à 100 en 3’’4
  • Performance : 0 à 300 en 22’’6






La Novitec Tulesto, c'est ça ...





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lundi 4 janvier 2010

Mercedes-Benz SLR Stirling Moss - 2009



MERCEDES SLR-STIRLING MOSS ….








Daimler crée la première voiture du monde en 1886 et utilise à partir de1902 le nom de Mercedes . Après fusion avec Benz en 1926, la marque assoit tranquillement son prestige au fil des ans . Le groupe se sépare de Mitsubishi en 2006 et de Chrysler en 2007 mais conserve Smart et Maybach . Ce qui caractérise principalement Mercedes, ce sont des voitures de luxe mais à tendance plutôt sportive . En fait la compétition à toujours était présente dans la firme avec même des collaborations extérieures, AMG, Alpina, McLaren et même luxe suprême la catégorie reine, la Formule1 ….



L’hommage à l’histoire de la course automobile, « SLR », trois lettres que tous les passionnés connaissent . Dans les années 1950, Mercedes-Benz a remporté de nombreuses victoires avec la 300 SLR, notamment aux Mille Miglia, lors de la Targa Florio ou dans le cadre du Tourist Trophy . Les plus grands pilotes de l’époque disposaient de cette monture, qu’il s’agisse de Juan Manuel Fangio, de Karl Kling et surtout, évidemment, de Stirling Moss . C’est en son honneur que la nouvelle déclinaison de la SLR a été baptisée SLR Stirling Moss . En effet, celle-ci possède à la fois le caractère des modèles SLR contemporains tout en offrant la même fascination que la SLR de 1955 . La Mercedes-Benz SLR McLaren Stirling Moss est dépourvue de toit et de pare-brise, ce qui permet au conducteur et au passager d’être directement en contact avec les éléments pour mieux savourer la fascination de la vitesse et le plaisir de conduire sous leur forme la plus authentique . Cette nouvelle super sportive au look de tueuse bénéficie d’une qualité de conception exceptionnelle, affichant un dessin d’une pureté extrême, dépourvu de vitres et de toit . Seuls deux saute vents, hauts de quelques centimètres, protègent du vent le conducteur et le passager . La structure de la carrosserie fait office d’arceau de protection pour les occupants et l’intégralité de la carrosserie est en fibres de carbone . La nouvelle SLR peut être recouverte à l’aide de deux couvre tonneau en fibres de verre, qui sont rangés dans le coffre à bagages ….



Dans le domaine technique, Mercedes-Benz a mis à profit l’expérience acquise avec les SLR Coupé et Roadster. À l’instar de ces modèles, la SLR Stirling Moss bénéficie d’un concept aérodynamique faisant appel à un plancher intégral et à un diffuseur arrière qui lui assurent un appui optimal . L’intégralité de la carrosserie est en fibres de carbone . Les concepteurs ont opté pour des portières en élytre s’ouvrant vers l’avant . Dans l’habitacle, le superflu n’a plus sa place . Les matériaux authentiques et de qualité comme le carbone, l’aluminium et le cuir haut de gamme lui assurent une ambiance unique . La signature de "Sir Stirling Moss" est gravée sur une plaquette en aluminium . Grâce à son moteur V8 à compresseur d’une cylindrée de 5,5 litres développant une puissance de 650 chevaux, la voiture offre des performances de haute tenue avec le 0 à 100 km/h en moins de 3,5 secondes et une vitesse maximale qui s’élève allègrement à 350 km/h, ce qui permet à cette nouvelle SLR de devenir la voiture de sport découverte la plus rapide jamais produite en série . Ces performances lui permettent de porter dignement le nom du légendaire pilote britannique Stirling Moss ....



Ce qui range à coup sur la Mercedes-Benz SLR Stirling Moss dans la catégorie des supercars, c'est d’une part l'utilisation du carbone pour sa coque mais aussi inévitablement l’exclusivité de ses 75 exemplaires seulement . Les quelques 800.000 euros indispensables à l’acquisition du SLR Stirling Moss renforcent grandement le mythe, en même temps qu’ils brisent les derniers espoirs des doux rêveurs que nous sommes, même avec le loto c’est pas gagné . De toutes façons seuls les clients déjà possesseurs d’un modèle de la gamme pourront commander ce nouveau bijou et en plus ils ne seront pas tous servis car seulement 75 véhicules avec chacun leur propre châssis numéroté, seront produits de juin (mois de l’arrêt de la fabrication du SLR de base) à décembre 2009 . Ensuite, promis juré, la belle idylle entre Mercedes et McLaren sera vraiment terminée, mais au fait de qu’elle crise parlez-vous donc ? ….



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : V8 à compresseur
  • Cylindrée : 5.5 Litres
  • Puissance : 650 chevaux
  • Boîte : automatique à 5 vitesses
  • Vitesse : 350 km/h
  • Accélération : Le 0 à 100 en 3’’5






La Mercedes SLR Stirling Moss, c'est ça ...





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