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vendredi 20 mai 2011

Secma Fun F16 - 2009



SECMA FUN F16 ….







Voici encore un engin vraiment insolite et très original qui nous vient d’une petite société française . Spécialiste du véhicule en marge des grandes séries depuis plus de 30 ans, la société « SECMA » (Société d'Étude et de Construction de Mécanique Automobile) est implantée à Aniche dans le Nord de la France sur un site de 8500 mètres carrés . Depuis plus de dix ans, elle y conçoit et fabrique une gamme de véhicules légers homologués permettant à deux ou quatre personnes de se déplacer de manière différente . Cette gamme satisfait aujourd’hui aux demandes variées d’un éventail très large de clients car elle est composée de véhicules de loisirs pour particuliers ou professionnels, de véhicules alternatifs économiques, de véhicules sans permis ou de véhicules spéciaux pour administrations ….



SECMA s’ouvre aux nouveaux marchés, afin de répondre à une demande toujours plus large tout en gardant la même philosophie, à savoir élaborer des véhicules attirants et fiables, en minimisant les coûts de fabrication . Aujourd’hui c’est plus de 30 000 véhicules qui ont été produits et vendus à travers le monde . La particularité de SECMA est d’avoir opté pour une intégration quasi-totale de ses fabrications . Toutes les pièces sont entièrement usinées et travaillées sur place, seules les coques en polyéthylène moulé sont fabriquées en sous-traitance . Le thermoformage des éléments de carrosserie est réalisé au sein même de l’entreprise à partir de feuilles de plastique teintées dans la masse et la découpe et la finition de ces éléments sont assurées par un robot cinq axes, totalement automatisé . En 2008, la marque a présenté le roadster Secma Fun F16, un petit cabriolet biplace réduit à sa plus simple expression . Un engin volontairement dépouillé et le plus simple possible pour offrir un maximum de sportivité et une fiabilité importante pour un coût modéré . Avec l'excellent rapport "poids / puissance" permis par sa carrosserie monocoque en polyéthylène, il est en mesure de proposer des sensations oubliées depuis longtemps . Le Secma Fun F16 propose un look qui interpelle, à la fois décalé, mignon et agressif de petit buggy au format plus que compact ….



Nous n'avons pas l'habitude de voir ce genre de véhicule exotique circuler sur nos routes et force est de reconnaitre que c’est très sympa de conduire sans toit ni porte à 15 cm du sol . Le Secma Fun F16 dispose d’une bouille expressive de petite araignée à six yeux, et d’un profil dynamique quasiment dépourvu de porte-à-faux . Avec des roues asymétriques (du 195/50 R15 à l'avant et du 225/45 ZR16 à l'arrière) et une poupe musclée laissant apparaitre un échappement inox et quatre feux façon Ferrari 288, impossible de passer inaperçu avec de tels attributs . Ajoutez à cela un toit amovible et une superbe sellerie cuir, et vous obtenez une auto, à l’équipement certes limité, mais au charme ravageur . A bord, on ne trouve pas grand-chose, juste le principal : un volant, un levier de vitesses et un pédalier sport réglable en profondeur (car les "sièges" ne le sont pas). Pas de coffre, pas de boîte à gants, simplement un petit filet au niveau des genoux pour chaque occupant . Pas d'électronique, pas d'assistance (ni ABS, ni ESP, ni direction assistée), ni même d'autoradio, on retrouve l'esprit des véhicules d'antan et c'est totalement voulu par le concepteur et PDG Daniel Renard . Facile d'entretien, l'habitacle du Secma Fun F16 est entièrement moulé en plastique et ne nécessitera qu'un coup d'éponge de temps de temps . Une simple mousse fait office de sièges ....



Si on trouve tout de même une fonction chauffage sur le Secma Fun F16 , parler de confort est plutôt déplacé, mais c’est un détail, car une fois installé on trouve facilement ses marques, les commandes tombent directement sous la main et la position de conduite est plutôt décontractée . Côté mécanique, nous trouvons un moteur 4 cylindres d'origine Renault, un 1.6 litre 16 soupapes (qui équipe de nombreux véhicules du groupe dont le Scénic et le Kangoo) d'une puissance de 105 chevaux à 5 750 tr/min et doté d'un couple de 148 Nm dès 3750 tr/min pour propulser les 560 kg de l’engin . La transmission est assurée par une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports, également d'origine Renault qui est ferme, assez rapide et plutôt bien étagée . Côté performances, avec 5.3 kg/ch, le rapport "poids / puissance", est comparable à ceux d'une Honda S2000 ou d'une Caterham Super Seven et l’effronté ne met que 5.9 secondes pour atteindre les 100 km/h et une vitesse de pointe de 180 km/h, le tout avec des rejets de CO2 de 155 g/km, qui lui permettent d’être exempt de malus écologique . Enfin, dernière bonne nouvelle, la commercialisation de ce Secma Fun F16 aura lieu à un tarif très compétitif légèrement inférieur à 17 000 euros TTC ....



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : 4 cylindres 16 soupapes
  • Cylindrée : 1.6 Litres
  • Puissance : 105 chevaux à 5 750 tr/min
  • Couple : 148 Nm dès 3750 tr/min
  • Vitesse : 180 km/h
  • Accélération : Le 0 à 100 en 5’’9
  • Poids : 560 kg






Le « Secma Fun F16 », c'est ça ...





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vendredi 18 février 2011

Magna Steyr Mila - 2005



MAGNA STEYR MILA ….







Encore un de ces engins bizarres et insolites qui justifient pleinement leur place dans ce dossier . Celui-ci nous vient chose assez rare pour être noté d’Autriche . « Magna Steyr Fahrzeugtechnik AG & Co KG » est un constructeur automobile basé à Oberwaltersdorf, en Autriche . C’est une filiale du canadien Magna International, qui faisait partie du conglomérat Steyr-Daimler-Puch . La société est un leader mondial de l'ingénierie pour des marques indépendantes et un partenaire de fabrication pour les équipementiers automobiles, avec des services allant de l'ingénierie et l'assemblage de véhicules complets jusqu’au développement et la fabrication de composants et systèmes . Elle a développé pour Mercedes-Benz tous les système de traction intégrale et assemble tous les modèles de Classe E 4MATIC . La société a aussi un partenariat de développement important et fabrique tous les BMW X3 . Récemment, elle a même absorbé le montage de la Daimler Chrysler Eurostar . La capacité actuelle de l'entreprise pour l'assemblage de véhicules a atteint 200.000 véhicules par an . Au final, c’est une entreprise d’ingénierie qui soustraite d’innombrables tâches aux grands constructeurs, voire même qui étudie des modèles complets à la place des bureaux d’études internes débordés ….



Magna Steyr ne commercialise aucun de ses propres véhicules est son dernier projet, le Magna Steyr Mila ne déroge pas à la règle et cherche un fabricant OEM comme un partenaire en vue de l'ensemble pour en faire une production de véhicules d'âge mûr commercialisables . Le Magna Steyr Mila utilise une construction légère et une conception modulaire permettant différents modèles à une ou à deux places . C’est un véhicule qui a un corps fermé avec une bulle du genre verrière sur le conducteur . Les roues sont indépendantes à l’extérieur de la carrosserie à l’image d’une Lotus Seven ou d’une Caterham . Le châssis est d'une construction légère en acier à haute résistance cloisonné en alliage d'aluminium de série, ce qui fait que le véhicule complet pèse environ 850 kg . La carrosserie est en polyester renforcé de fibre de verre et participe elle aussi au poids réduit de l’engin . C’est un nouveau genre de monoplace de sport avec un moteur central et des roues arrière motrices . Si le design peut choquer certain, il aura le mérite de ne pas passer inaperçu avec sa longueur de 3,93 m et sa largeur de 1,77m, l'habitacle est réduit à un cockpit, tel une formule 1 mais recouvert d’une verrière tel un chasseur . Le Magna Steyr Mila est en fait un concept qui se veut léger, écologique et innovant, le tout avec une volonté de respecter l'environnement puisqu’il utilise pour sa motorisation la technologie CNG Eco-friendly (Compressed Natural Gas) qui fonctionne donc au gaz naturel . En effet, Magna Steyr est convaincu que le gaz naturel gagne du terrain de plus en plus comme carburant alternatif pour les véhicules routiers à l'avenir . Une étude menée par l'Association allemande de l'industrie automobile publié à Francfort récemment arrivé à la conclusion que, dans la seule Allemagne, deux millions de véhicules au gaz naturel sera autorisé dans les 15 prochaines années ….



Il n'a fallu que six mois pour complètement développer et construire le Magna Steyr Mila . Toutes les étapes de développement jusqu'à la conception complète du véhicule ont été modélisées, notamment les performances de l'écrasement, la résistance à la fatigue, l'ergonomie, l'analyse thermique, l’aérodynamique, etc … L’insecte de couleur orange nacré n’accueille qu’une personne en son abdomen qui devra piloter une propulsion à moteur central d’à peine 850 kg poussé par une motorisation énorme . Le moteur utilisé dans le concept MILA, installé à l'arrière comme un moteur central, est un modèle standard de 1,6 litres à quatre cylindres qui a été converti à un fonctionnement GNV monovalent, ce qui signifie qu'il fonctionne au gaz naturel seulement . La seule modification est l'installation de vannes d'injection CNG-spécifiques par rapport au moteur à essence d'origine . Sa puissance maximale de 110 kW (150 chevaux) donne quand même au Magna Steyr Mila des performances alléchantes avec une vitesse de pointe de plus de 200 km / h et une accélération de 0 à 100 km / h en 6,9 secondes ....



Sur le Magna Steyr Mila le réservoir de carburant est un cylindre GNC composite de sécurité de pression (revêtement en aluminium enveloppé de fibre de carbone) qui est situé en toute sécurité derrière le siège du conducteur et propose un volume de 76 litres, ce qui donne au véhicule une autonomie d'environ 200 km . Magna Steyr fait donc le pari du GNV pour le futur qui annonce une belle bagarre entre énergies alternatives. Comme toujours dans ces projets, la production est espérée mais incertaine et Magna Steyr se refusant à commercialiser un modèle sous son nom cherche des partenaires ....



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : 4 cylindres
  • Alimentation : CNG (Gaz Naturel Compressé)
  • Cylindrée : 1.6 Litres
  • Puissance : 150 chevaux
  • Poids : 850 Kg
  • Vitesse : 200 km/h
  • Accélération : Le 0 à 100 en 6’’9










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mercredi 9 février 2011

KTM X-Bow - 2008



KTM X-BOW ….







Le constructeur autrichien « KTM » était plutôt connu jusqu’ici pour ses motos tous-terrain et les nombreux succès qu’elles ont remporté au Paris Dakar . En fait cette firme a acquis une réputation mondiale dans le créneau du deux roues depuis de nombreuses années, et sa technologie et sa robustesse font référence dans le domaine . Le monde de l'auto et celui de la moto se croisent rarement car les technologies employées y sont souvent très différentes et la fracture entre les deux mondes s'étend jusqu'à leurs utilisateurs . Pourtant, de temps en temps, certains constructeurs essaient de combiner le meilleur des deux mondes . Il s'agit le plus souvent de combiner la légèreté et la sportivité des motos à l'adhérence supérieure procurée par les 4 roues et l'Angleterre fourmille d'artisans qui construisent de tels véhicules, comme Atom ou Westfield . C'est un peu dans ce créneau très spécifique que KTM s'engouffre aujourd’hui ….



La KTM X-Bow est le premier modèle automobile créé par le constructeur autrichien de motos . Aux origines de la conception de la X-Bow se trouve la volonté de la firme KTM de diversifier son offre . La marque autrichienne est alors le numéro deux européen de la construction de motos derrière l'allemand BMW, avec près de 100 000 unités produites par an, et se caractérise par ses productions au caractère assez « trempé ». Pour compenser l'érosion de sa clientèle motarde, KTM décide donc de proposer une offre pour les automobilistes . La marque ne souhaite pas se lancer dans le secteur extrêmement concurrentiel de l'automobile généraliste et opte pour la production d'un modèle radical, à vocation purement et explicitement sportive . Le cahier des charges définit les spécifications d'une barquette dénuée de tout confort moderne, dépourvue de portières, sans toit ni pare-brise . La X-Bow, allant au bout de son concept, ne propose ainsi ni climatisation, ni assistance électronique, ni coussin gonflable de sécurité, ni sellerie confortable . Afin de respecter son objectif de produire un modèle aussi léger que performant sur circuit, KTM opte pour l'utilisation de fibre de carbone, ce qui implique de recourir aux services d'un partenaire doté de l'expérience nécessaire au travail de ce matériau . La marque autrichienne fait appel à Dallara Automobili, un spécialiste de la construction de châssis pour la compétition automobile . La rencontre entre le constructeur de motos et le fabricant de châssis est en outre l'occasion pour Giampaolo Dallara de concrétiser un vieux rêve, celui de rendre hommage à Colin Chapman en créant une héritière digne de la fameuse Lotus Seven qui sera baptisée KTM X-Bow ….



Homologuée pour un usage routier, la KTM X-Bow est pourtant une barquette destinée essentiellement à un usage sportif sur circuit dont le châssis qui est par ailleurs entièrement conçu en fibre de carbone lui permet de maintenir son poids aux alentours de 790 kg . Dictées par les impératifs de performance, les proportions de ce châssis sont peu courantes avec 3,74 m de long pour 1,92 m de large, la KTM est à la fois bien plus courte qu'une Renault Clio et aussi large qu'une Ferrari F430 . Son empattement de plus de 2,40 m, valeur importante un véhicule de cette longueur, rejette les roues aux quatre coins et renforce son allure atypique . Poue ce qui est du look, l’engin ne fait pas dans la dentelle tout en étant plutôt séduisant . Avec sa gueule de crotale et ses yeux qui ont l’air de vous fixer, on remarque des lignes dynamiques et agressives qui empruntent à la fois au monde de la moto et de l'automobile . De toute évidence, l'X-Bow assume sa filiation avec le style très particulier de KTM . Le duo de couleurs orange et noir qui pare sa robe se transforme même en véritable signature . Notez que l'univers de la moto n'est pas bien loin, puisqu'il est vivement conseillé de porter un casque, car avec un pare-brise de seulement 7 cm, il y a de quoi s'enrhumer pour de bon lors des accélérations de la KTM X-Bow ....



Le développement d'un bloc moteur spécifique étant trop coûteux pour un tel projet, la KTM X-Bow doit emprunter une base mécanique issue d'un autre modèle du groupe VAG et arrête son choix sur le bloc 2,0 litres TFSI qui équipe les Golf GTI, León FR et Audi TT . D'une cylindrée de 1 984 cm3, ce bloc suralimenté à quatre cylindres en ligne développe une puissance de 240 chevaux et 310 newton mètres de couple, disponibles dès les plus bas régimes. Compte tenu du poids limité du véhicule, ce moteur permet à la KTM d'afficher un rapport poids/puissance de 3,3 kg/ch . En outre, une version musclée est aussi proposée, extraite de l'Audi S3 retravaillée pour afficher un généreux 300 chevaux et un rapport poids/puissance de 2,3 kg/ch, exceptionnel, quand on sait qu'une Porsche Carrera GT affiche 2,2 kg/ch . Un puissant moteur associé à une structure aussi légère que possible ça promet de belles accélérations suffisantes pour permettre de passer de 0 à 100 km/h en moins de 4 secondes . En revanche, sa sonorité, déjà particulièrement discrète voire banale à l'arrêt, est vite entièrement couverte par les bruits aérodynamiques dus à l'absence de toit et de pare-brise . Ce moteur est accouplé à une boîte de vitesses mécanique à six rapports et commande manuelle également d'origine Audi . Côté tarif, la KTM X-Bow coûtera tout de même la bagatelle de 64.000 €, tarif comparable à celui de ses concurrentes les plus directes comme l'Ariel Atom et la Caterham CSR 200 ....



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : 4 cylindres
  • Cylindrée : 2.0 Litres
  • Puissance : 300 chevaux
  • Couple : 310 Nm
  • Accélération : Le 0 à 100 en 3’’9






La « KTM X-Bow », c'est ça ...



La « KTM X-Bow », c'est ça ...





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lundi 24 janvier 2011

IFR Aspid - 2008



I.F.R ASPID ….







La construction automobile Espagnole est si pauvre en nouveauté que pour une fois ce billet prends toute sa saveur . En effet, voici un engin très insolite mais novateur qui nous viens d’au-delà des Pyrénées . Cette voiture, véritable cocktail esthétique aux parfums de Lotus Seven, Donkervoort ou Caterham, est avant tout un joujou conçu pour les gentleman driver plutôt fortunés . Construite par « IFR Automotive » une jeune petite firme espagnole d’une quinzaine de personnes, qui est avant tout une société spécialisée en ingénierie, ce véhicule est le fruit de cinq années de recherche et développement est une vitrine de leur savoir faire . Mais pour le bonheur de quelques privilégiés, c’est une vitrine disponible à la vente, en petite série ….



Le petit constructeur espagnol a dévoilé au dernier salon de Londres son bolide la IFR Aspid, qui est resté fidèle au principe du "light is right" cher à Colin Chapman . Interprétation moderne de la légendaire Seven , l'IFR sera pourtant bien une voiture de son époque . Ce coupé 2 places affiche avant tout un poids contenu de 700 kilogrammes car même si elle est très dépouillée elle embarque une technologie au top . Les ingénieurs ont opté pour un châssis d'extrudés en aluminium et carbone baptisé "Alexcom" qui est très rigide tout en étant léger et pour des suspensios entièrement réglables brevetées et en aluminium également . Le freinage reçoit lui aussi son lot d'innovations avec des disques doubles (Twin Brake Disc system) de 320 mm à l'avant et 268 mm à l'arrière , aux performances remarquables . Cette nouvelle technologie « Twin Disk Break », repose sur l’utilisation de deux disques par roue pour obtenir une qualité de freinage comparable à des freins en céramique, avec un coût nettement moins élevé . Quant à la carrosserie de cette IFR Aspid elle est aussi en fibre de carbone et le tout repose sur des grandes roues de 17" ….



La méchante IFR Aspid est aussi équipée d’une électronique très évoluée (Unidrive) permettant de nombreuses configurations car en fait elle parvient aussi à conjuguer réduction de poids et électronique embarquée . Comme sur une formule 1, un petit écran au centre du volant affiche la vitesse, les rapport et le régime moteur . Tous les boutons physiques ont ensuite été supprimés de l’habitacle grâce à un écran tactile multifonctions . Porte, phares, ou encore dégivrage, tout se commande sur cet écran . Il propose d’autres fonctions encore comme un programme chargé d’analyser la conduite sur circuit et de donner des conseils basés sur la technique de pilotes confirmés (passages de rapports, freinage…). Mieux encore, la marque peaufine actuellement un GPS maison capable d’interpréter automatiquement les données cartographiques au comportement du modèle afin de lui assurer un rendement optimal concernant châssis et vitesse en courbe, ligne droite, etc (un système qui n’est pas du reste sans rappeler celui actuellement en développement chez Nissan). Au final, côté technique Hi-Tec, rien n’échappe à cette IFR Aspid ....



Pour ce qui est de la motorisation, la IFR Aspid propose deux solutions . Soit un 4 cylindres de 2.0 litres de cylindrée qui fournit au choix 270 chevaux à 8600 tr/mn en atmosphérique ou 402 chevaux à 8600 tr/mn avec un compresseur . Autant dire qu’avec son faible poids, la diablesse propose des performances convaincantes, à l'image du 0 à 100 km/h abattu en 2,8 secondes, le 0 à 160 km/h en 5,9 secondes ou encore une vitesse maximum bridée par l’électronique à 250 km/h et avec un seuil de 1,6 G d’accélération latérale en virage . L’habitacle est quant à lui très soigné et les équipements de confort intérieurs sont bien présents comme la navigation satellite par GPS,l’ écran tactile, la connectique Bluetooth et Wifi, l’accès au Web ou les inserts en fibre de carbone . Pour la note écolo, la marque annonce une consommation moyenne de 4,8L/100 km ce qui est vraiment très raisonnable pour une sportive . La carrosserie peut également subir quelques transformations intéressantes comme la possibilité de retirer les portes et supprimer le toit, la voilà donc en cabriolet potentiel . Pour acheter votre IFR Aspid il vous faudra débourser 95 000 €uros ....



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : 4 cylindres
  • Cylindrée : 2.0 Litres
  • Puissance : 402 chevaux à 8600 tr/mn
  • Accélération latérale : 1,6 G
  • Vitesse : 250 km/h
  • Accélération : Le 0 à 100 km/h en 2,8
  • Accélération : Le 0 à 160 km/h en 5,9






La « IFR Aspid », c'est ça ...



La « IFR Aspid », c'est ça ...





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