Felipe Barreiro est un artiste peintre très talentueuse originaire d’Amérique du sud qui est est né et réside en Argentine. Cet artiste argentin a toujours baigné depuis son enfance dans le milieu artistique car sa famille est en effet une longue lignée d’artistes reconnus ....
Felipe Barreiro se lance dans le métier en 1992. Ses peintures sont rares puisqu’il avoue préférer se plonger dans un œuvre longtemps pour en faire quelque chose d’abouti. Son style est à la fois précis et dynamique. Il aime les compositions colorées et sa patte personnelle, c’est le mouvement. Il travaille la peinture en la brossant pour faire ressortir le dynamisme ....
Pour Felipe Barreiro, « La recherche de la beauté est un antidote aux malheurs de la vie. Cela confirme que l'existence dans ce monde est justifiée. » Dans ses compositions, il célèbre la beauté à travers le prisme de l'expérience humaine. Inspiré par les grands peintres académiques et impressionnistes, il cite la précision et l'expérimentation comme étant les éléments centraux de sa pratique artistique. Il crée principalement à partir d'huiles sur toile ....
Felipe Barreiro croit fermement aux concepts de beauté, de sens et de valeur intrinsèque. Une peinture réussie est ce qui suspend l'incrédulité et transporte le spectateur où l'artiste voulait l'emmener. Pour cette raison, ses œuvres sont toujours précises, mais dynamiques, avec une palette de couleurs multiples utilisées à bon escient suivant le sujet. Son coup de pinceau particulier lui permet de représenter avec précision tous les éléments de la scène tout en restant fidèle à son style ....
Felipe Barreiro peint donc des autos rapides, des autos de course le plus souvent, mais avec un arrière plan où le spectateur est présent et ses toiles proposent de très nombreux détails. En tant qu’argentin, Fangio en est souvent le pilote et lui aussi est suffisamment détaillé pour être reconnaissable. La palette de couleurs qu'il utilise est vibrante mais harmonieuse, restant fidèle aux relations présentes dans la nature ....
Benjamin Freudenthal est un artiste peintre français très talentueux né le 37 mars 1969 à Bordeaux dans le département de la Gironde en France. Passionné depuis son enfance par le dessin il a fini par en faire son métier ce qui lui a permis d'en devenir célèbre et réputé. En fait, il est désormais reconnu à l'échelle internationale comme un artiste confirmé de l'art automobile ....
Benjamin Freudenthal a effectué un parcours scolaire assez classique avant d'effectuer des études secondaires plutôt artistique. Très tôt influencé par sa mère qui se passionnait pour la peinture et la sculpture, il va en effet effectuer des études en illustration et graphisme à l'école des Beaux Arts de Bordeaux. En 1991, il va brillamment obtenir un DNAT (Diplôme National des Arts et Techniques) qui l'amène ensuite, diplôme, en poche, à commencer en 1992 une carrière d'illustrateur et graphiste free-lance ....
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Depuis son enfance, outre l'influence de sa mère pour l'art, Benjamin Freudenthal est fasciné par les superbes boîtes de maquette anglaises, la faute sans doute à ces merveilleuses illustrations dessinées par des artistes comme Roy Huxley pour Matchbox, Roy Cross pour Aifix ou Paul Lengellé pour Heller qui le font rêver. C'est ainsi qu'il commença, très jeune, à dessiner des avions et des voitures de sport ....
Benjamin Freudenthal explique : " En regardant les toiles de mes peintres favoris, j'ai compris que le paysage est plus important que la voiture, si vous captez la température de l'air, l'instant de la journée, ou la vitesse d'une voiture, alors vous êtes certainement en présence d'une peinture de grande qualité. Il reste encore l'originalité de la composition, facteur déterminant, pour que tous les ingrédients soient réunis " ....
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Aujourd'hui considéré par beaucoup de spécialistes comme un des artistes automobiles incontournables, Benjamin Freudenthal a de la chance de pouvoir faire ce qu'il aime et de le faire bien en produisant des œuvres dynamiques et à fort impact visuel. Travaillant essentiellement à la gouache, il cherche à traduire le mouvement et le dynamisme dans ses peintures en gardant un grand soucis de réalisme ....
Chaque artiste a son inspirateur, son maître spirituel en quelque sorte, et Benjamin Freudenthal n'échappe pas à la règle car il est très admiratif du travail marqué par le dynamisme et le réalisme époustouflants du style anglo-saxon dont Michael Turner et Nicolas Wyatts sont les plus parfait exemples ....
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Pour Benjamin Freudenthal Stirling Moss, Fangio, Ascari, Farina, Behra, Collins, Cevert, Stewart ou Hill sont des personnages extraordinaires et les voitures des années 50-60 sont vraiment sublimes. Même s'il n'a que moins de 40 ans, Benjamin Freudenthal est avant tout un passionné de courses dites "rétro". Il ne s'agit pas de nostalgie ou de mélancolie, car il n'a pas connu cette glorieuse époque. Il serait plutôt question d'approche esthétique, avec les voitures aux couleurs nationales, ces pilotes si reconnaissables dans leurs bolide et les arrières plans si typiques qui constituent en fait une inépuisable source d'inspiration ....
Maitrisant la technique à la perfection, le but de Benjamin Freudenthal est d'attirer le spectateur dans la scène qu'il peint. Ses peintures ne sont pas seulement vibrantes, créatives et excitantes, elles capturent aussi à la fois l'esprit des voitures de sport de la génération vintage mais aussi celui de la génération classique car son sujet de prédilection sont les voitures de courses anciennes. Le travail est extrêmement détaillé, puissant et imaginatif si bien que son art est aussi bien suspendu dans les maisons, les bureaux, les entreprises, les commerces ou les garages, partout dans le monde ....
Un circuit automobile est une installation sportive comprenant une piste qui sert habituellement à des courses de vitesse. Si dans leur grande majorité, les circuits sont des installations permanentes, ouvertes toute l'année à diverses épreuves, les circuits temporaires sont tracés sur des voies publiques, parfois dans les rues d'une agglomération ou d'un parc pour la durée d'un événement. Certaines épreuves se déroulant dans un tel cadre urbain sont célèbres, comme le Grand Prix de Monaco devenu mythique qui se court dans les rues de la principauté depuis 1929 ....
De nos jours environ 50 circuits sont homologués et approuvés par la FFSA en France pour organiser des compétitions mais seulement deux sont des circuits urbains temporaires, le Circuit des Remparts à Angoulême et le Circuit dans la Cité de Pau. En fait depuis les années 20 jusqu'aux années 60 environ, la situation était carrément l'inverse et donc les circuits permanents étaient très peu nombreux. Par contre les circuits urbains temporaires étaient beaucoup plus répandus, en effet ils étaient la norme pour l'époque car de très nombreuses villes organisaient des courses comme en témoignent la centaine d'affiches vintage que je vous propose ....
Ainsi des épreuves existaient dans les rues des villes de Aix les Bains, Amiens, Avignon, Bordeaux, Bourg en Bresse, Cadours, Caen, Dijon, Dieppe, Lyon, Lesparre, Marseille, Nantes, Nice, Nîmes, Périgueux, Perpignan, Roubaix, Sables d'Olonne, Saint-Cloud, Saint-Gaudens, Strasbourg ou Tours par exemple. C'était une époque aujourd'hui révolue ou quelques bottes de pailles judicieusement placées et quelques barrières en bois de 50 centimètres de hauteur en guise de protection des spectateurs suffisaient pour délimiter un tracé urbain et organiser une course dans les rues de n'importe quelle ville. Malheureusement de nos jours seulement deux villes continuent à organiser des épreuves, Angoulême qui en 2017 en est à sa 78 ième édition et Pau qui en 2017 en est à sa 76 ième édition. Ces deux circuits urbains temporaires utilisent des portions permanentes habituellement ouvertes à la circulation publique, des rues, des places ou des boulevards, qui sont fermées et sécurisées au moyen de rails et de barrières de protection ....
*** LE CIRCUIT DES REMPARTS D’ANGOULÊME ***
Le circuit automobile des remparts d'Angoulême est un circuit long de 1.287 mètres situé à Angoulême dans le département de la Charente. Utilisé la première fois en 1939, il rencontre de nos jours un nouveau succès grâce à un évènement automobile de classe internationale réunissant sur et autour du circuit toutes sortes de voitures historiques. Si les équipements de sécurité modernes ont remplacé les ballots de paille et les clôtures en bois, le tracé du circuit reste inchangé depuis le premier Grand Prix de 1939 gagné par Raymond Sommer sur Alfa Romeo 308. C'est devenu, au fil du temps, une véritable institution, un rendez-vous de haute volée pour le gratin automobile de compétition. En fait, les pilotes d'aujourd'hui accélèrent, tournent et freinent aux mêmes endroits que Wimille, Trintignant ou Fangio. Ce succès est du à une osmose entre les vieilles pierres situées au cœur de la ville d’Angoulême, la difficulté du tracé urbain, la lumière si spécifique à la Charente, le bruit, les odeurs et les voitures, mais aussi à la passion qui anime tous les pilotes ....
*** LE CIRCUIT DANS LA CITÉ DE PAU ***
Le circuit de Pau est un circuit automobile urbain temporaire empruntant les rues de la ville de Pau dans les Pyrénées-Atlantiques. Il accueille chaque année le Grand Prix de Pau et le Grand Prix de Pau historique. Ce circuit est très original et atypique, autant par son tracé que par son environnement urbain. Le Grand Prix de Pau est organisé sur un tracé de 2.760 km empruntant les rues de la ville. Le circuit est situé à proximité des points importants du centre ville de Pau, comme le parc Beaumont, le château de Pau, le boulevard des Pyrénées. Il serpente entre les arbres et les habitations, qui font la « carte postale » du circuit. Le tracé, qui comprend d'importants changements de dénivellation, emprunte des rues très étroites bordées de glissières de sécurité et présente des passages délicats comme l'épingle du Lycée ou la chicane précédent la ligne droite d'arrivée. Très sélectif, il est très apprécié des pilotes. Ressemblant, par certains aspects au circuit de Monaco, on le surnomme « le petit Monaco ». En effet, il comporte une montée vers un casino tout comme le circuit monégasque, et comme ce dernier, une partie basse et une partie haute ....
Englebert Magazine est à mi-chemin entre le magazine promotionnel d'entreprise et la revue grand public traitant principalement, mais pas uniquement, de divers sujets concernant l'automobile. En fait ce n'est pas une publication indépendante comme peuvent l'être d'autres revues modernes sur l'automobile, mais plutôt un magazine publicitaire d'entreprise destiné à promouvoir l'image de marque de la société Englebert auprès de tous les salariés de la firme mais aussi d'un plus large public ....
A l'origine, Englebert est une compagnie de manufacture de pneumatiques belge fondée par Oscar Englebert à Liège en 1877. Le fabricant a pris part à 61 Grand Prix de Formule 1 de 1950 à 1958, et a remporté huit victoires, toutes acquises avec Ferrari. En 1958, Englebert noue des relations avec le groupe US Rubber. Cette union donne naissance à la marque Uniroyal. En 1967, le nom de la marque Englebert est alors définitivement abandonné au profit d'Uniroyal, mais finalement en 1979, la marque Uniroyal est elle aussi rachetée par le groupe allemand Continental ....
La principale originalité du Magazine Englebert, qui est donc d'expression française, provient du fait qu'il soit tout simplement publié en deux versions ou éditions différentes, l'une pour la Belgique et l'autre pour la France et ses colonies. Le secteur d'activités de la marque Englebert étant le négoce de produits manufacturés caoutchoutés, elle produisait également un autre magazine, la revue Englebert Vélo Magazine. Par contre cette revue n'était pas accessible au grand public mais seulement destinée aux négociants mécaniciens du cycle à partir de 1949 ....
Le comité de rédaction du magazine souhaitait rompre absolument avec le système commercial trop souvent associé à la voiture, c'était une volonté ferme et assumée et finalement, la publicité n'y occupait qu'une place vraiment réduite seulement sur les deuxième, troisième et quatrième de couverture qui sont occupées par des publicités, uniquement pour les produits Englebert, qu'il s'agisse des pneumatiques vélos, motos, automobiles et camions, ou de tapis caoutchouc de salle de bain ....
Seules les quatre pages de couverture du Magazine Englebert sont en couleurs. Les plus prestigieux illustrateurs et graphistes de l'époque ont signé la première de couverture du magazine comme René Vincent, Géo Ham, Alex Kow, Pierre Laurent Brenot, Plinio Codognato, Pierre Pages, Jean Palayer, ou Herbert Libiszewski. Ces couvertures même si elles ne présentent pas toutes le même intérêt graphique, sont devenues une grande source de motivation pour les collectionneurs passionnés ....
D'une manière générale, l'éclectisme des questions et des différents sujets abordées dans le Magazine Englebert est susceptible d'attirer plusieurs publics assez différents. En effet, les journalistes rendent compte des visites qu'ils effectuent sur les salons internationaux tels que Bruxelles, Paris, Genève, Berlin ou Amsterdam. L'actualité des rallyes et des Grand Prix est suivie de près, de même que celle des courses d'endurance, comme les 24 Heures du Mans ou les 500 Milles d'Indianapolis. Chaque numéro comporte une rubrique relatant l'actualité automobile outre-Atlantique, grâce à la présence d'un correspondant à New York car la Belgique sans industrie automobile forte a toujours été un pays d'importation d'américaines ....
Les articles sur les aspects purement techniques sont assez nombreux dans le Magazine englebert. L'actualité des diverses personnalités importantes du monde automobile est aussi rapportée, par exemple Ettore Bugatti, Jean-Pierre Wimille, Maurice Trintignant, Raymond Sommer, ou Fangio. Une multitude d'autres sujets liés à l'automobile complètent la revue comme les premières automobiles, l'industrie automobile en Allemagne ou en Grande-Bretagne, la visite de l'usine Ford, l'évolution des formes des voitures, la sécurité routière, le réseau routier, les tunnels ....
Concernant les textes du Magazine Englebert, parmi les grandes signatures on retrouve dès les années 30 celle bien connue de Charles Faroux, le rédacteur en chef de " La Vie Automobile " qui proposait aussi ses talents à d'autres revues. Après-guerre, d'autres rédacteurs seront aussi utilisés comme Pierre Allenet, Jean Bernardet, Victor Boin, Jean Bonnet, Paul Frère, Jacques Ickx, ou Marcel de Laborderie. Finalement ce magazine au format 240 X 310 sera édité de 1933 à 1962 avec une interruption en 1939 à cause de la guerre et une reprise après guerre fin 1946, sans évolution très significative tant dans la forme que dans le fond ....