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vendredi 9 mars 2018

Bugatti Type 57SC Atlantic - 1936











En marge du salon parisien Rétromobile de Février 2018, la chaîne d'hôtels Peninsula a procédé à la remise des prix du «Best of the Best Award» lors d'un dîner dans le cadre privé à Paris. Ce prix, instauré en 2015, représente la plus haute distinction en matière de véhicules de collection. C'est un peu le concours des concours, un genre de superfinale. Le principe de ce trophée considéré comme la plus haute distinction en matière de véhicules de collection est de départager les véhicules qui ont obtenu un Best of Show au cours de l'année écoulée dans l'un des principaux concours d'élégance de la planète. Cette année, la superfinale voyait s'affronter huit véhicules primés en 2017. C'est ainsi que le jury composé de sommités du monde de l'automobile a eu à départager des fleurons de la carrosserie française, italienne et anglaise ....





Les véhicules en lice étaient tous des merveilles :

  • Alfa Romeo 8C 2900B Spider de 1939 produite par Touring et Best of Show au concours d'Amelia Island
  • Ferrari 212 Export Cabriolet de 1951 exécutée par Vignale et primée lors du Cavallino Classic
  • Alfa Romeo Giulietta Sprint Speciale Prototipo de 1957 Bertone primée au Concorso d'Eleganza Villa d'Este
  • Lancia Astura Aerodinamica Coupé de 1933/35 signée Castagna et récompensée au Concours of Elegance Hampton Court Palace
  • Ferrari 250 GT Cabriolet de 1957 Pinin Farina récompensée lors du Goodwood Cartier Style et Luxe Concours d'Elegance
  • Mercedes-Benz S Roadster de 1929 signée Barker et Best of Show l'an dernier à Pebble Beach
  • ATS 2500 GTS Coupé de 1964 dessinée par Franco Scaglione et primée à The Quail Motorsports Gathering
  • Bugatti Type 57 SC Coupé Atlantic de 1936 conçue par Jean Bugatti et récemment auréolée du Chantilly Arts & Elégance Richard Mille ....






Sans grand suspense, le jury a décerné la superfinale des Best of Show à la Bugatti 57 Atlantic appartenant à Peter et Mullin. C’est l’une des distinctions automobiles les plus convoitées car ce prix est devenu un événement incontournable désignant la voiture de collection la plus exceptionnelle. Pour beaucoup d'amateurs éclairés et de collectionneurs passionnés, ce coupé aérodynamique dessiné par Jean Bugatti est considéré comme la plus belle voiture au monde mais aussi comme la toute première véritable « supercar ». Le véhicule a été conçu à l’apogée de l’Art déco par Jean Bugatti, fils d’Ettore Bugatti le créateur de la marque. Jean a basé la voiture sur son autre design, le concept Aérolithe 1935, célèbre pour ses rivets externes, de peur que les composantes en alliage de magnésium ne prennent feu. Jean conserva ce rivetage unique sur la carrosserie tout en aluminium de cette superbe Atlantic ....





Julius Kruta, responsable de la tradition chez Bugatti précise : « La Bugatti Type 57SC Atlantic est un véritable joyau du circuit automobile. Cette voiture a été la pièce maîtresse de Jean Bugatti, avec ses lignes élégantes et captivantes, en plus d’une performance record pour l’époque. Aujourd’hui, elle reste l’expression ultime de l’héritage Bugatti: une puissance inégalée et un design de toute beauté. » Ce modèle (numéro de châssis 57374), a été le premier Type 57 Atlantic construit, et il est le seul « Aéro Coupé » restant, une désignation donnée aux deux premières voitures qui étaient très similaires à l’Aérolithe sur le plan mécanique. La voiture a été livrée en 1936 au britannique Nathaniel Mayer Victor Rothschild, troisième Baron Rothschild, et a depuis connu peu d’autres propriétaires au cours de ses 82 années d’histoire ....





Pour cette troisième année, le critère ultime de notation du prix Peninsula Classics Best of the Best a été la qualité et un design sans compromis. Cela a bien sûr rendu le processus de sélection très exigeant pour les candidates en lice. Au final, la Bugatti Type 57 SC Coupé Atlantic de 1936 est sortie victorieuse, avec son design vraiment unique, théâtre d'une somptueuse alliance entre art et technologie. Cette Bugatti lauréate est un des quatre modèles Type 57 Atlantic jamais produits, et dont seulement trois existent encore aujourd'hui. La voiture a été souvent présentée en exposition à l’échelle internationale, et tout récemment au Petersen Automotive Museum, à Los Angeles, dans le cadre de l’exposition « Art of Bugatti » ....





Pour la petite histoire, La Bugatti Type 57 est un des modèles les plus importants dans l’histoire de la marque Bugatti commercialisée de mars 1934 à mai 1940. La Bugatti Type 57 est présentée pour la première fois au mondial de l'automobile de Paris en octobre 1933 et remplace la Bugatti Type 49. Elle utilise un châssis conventionnel de Type 49, mais sa mécanique est plus moderne avec un moteur à 8 cylindres en ligne. Exclusive et chère, habillée de carrosseries élégantes en aluminium et sportives à 2 places, reconnaissable à son radiateur en coupe-vent, la T57SC est sans doute la voiture qui illustre le mieux le concept de « grand tourisme rapide ». La 57SC a une suspension indépendante à l'avant et utilise un compresseur qui fait monter la puissance à 200 chevaux et permet une vitesse de pointe d'environ 210 km/h, incroyable dans les années 30 ....





Pour ce qui est de la mécanique, le moteur huit cylindres en ligne de 3,2 litres monté longitudinalement à l’avant bénéficie d’une version spécifique à double arbre à cames en tête, et d'une alimentation d’essence par un carburateur double-corps Stromberg. Doté d'un compresseur ce moteur délivre une puissance de 200 chevaux à 4500 t/mn. Le moteur forme un bloc avec l'embrayage et la boîte, le tout faisant office d'entretoise de châssis. La boîte manuelle à 4 rapports de série se distingue par une optimisation du poids. Cette voiture est un véritable mythe automobile, considérée par beaucoup comme une auto parfaite et reconnue pour avoir été incroyablement en avance sur son époque. Cela explique donc qu'elle se soit échangée contre une somme folle, variant entre 25 et 30 millions d'euros selon les sources ....


Caractéristiques techniques :

  • Énergie : Essence
  • Moteur : 8 cylindres en ligne
  • Cylindrée : 3257 cc
  • Puissance : 200 ch à 4500 t/mn
  • Transmission : Propulsion avec boite manuelle à 4 rapports



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube
- © Sylvain Reisser - © Peninsula Classics




La Bugatti Type 57SC Atlantic - 1936 ...








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vendredi 12 décembre 2014

Bugatti 57 C Ventoux - 1936













La Bugatti 57 est un des modèles les plus importants dans l’histoire de Bugatti commercialisée entre mars 1934 à mai 1940. Il existe deux versions de cette voiture, la Type 57 déclinée en de nombreuses carrosseries de prestiges telles que les Galibier, Ventoux, Stelvio, et Aérolithe, mais aussi la Type 57S (Sport) déclinée en coupé Atlantic, et coupé Atalante . Dans les légendes de l'automobile, la Bugatti Type 57 a assurément une place très importante car elle témoigne indéniablement du génie de son créateur Jean Bugatti cet ingénieur de talent, fils du fondateur de la firme Ettore Bugatti, qui s'était vu confier le design de celle ci par son père . Après avoir réalisé un coup de maître avec la majestueuse Bugatti Royale (Type 41), Jean réédite l'exploit avec le dessin sublime de cette Type 57. La Bugatti Type 57 est présentée au mondial de l'automobile de Paris en octobre 1933 et remplace la Bugatti Type 49 veillissante . Elle utilise un châssis conventionnel de type 49, mais sa mécanique est plus moderne et les premiers modèles seront produits en 1934 ….





Les Bugatti Type 57, destinées au Grand Tourisme sportif, portaient des carrosseries officielles aux noms de grands cols européens, la Galibier pour la 4 portes sans montants, la Ventoux pour le coach deux portes, l’Aravis pour le cabriolet 2 places et la Stelvio pour le cabriolet 2 + 2. Au moment ou démarre le projet « type 57 », au début de l’année 1932, c’est le fils d’Etore Bugatti, Jean qui dirige l’équipe de designers de la firme. Il vient d’avoir 23 ans et débute dans le métier mais il a de qui tenir. A cette époque, la Société n’est pas au mieux. Les modèles très luxueux, mais très chers, tels que la type 41 Royale ou la type 50 n’ont pas été de grands succès commerciaux et il a donc été décidé d’une part de construire plusieurs modèles différents sur la base d’un châssis commun, ensuite de réduire les dimensions du véhicule comme celles du moteur. Auparavent, Bugatti proposait ses propres carrosseries, mais certains châssis sortant des ateliers de Molsheim pouvaient être livrés nus. Mais le Type 57 innove car l’usine s’engage désormais à ne livrer que des véhicules terminés, proposant à l’acquéreur une série d’habillages qui sont autant de réussites au niveau du style ….





Les premiers prototypes du type 57 sont équipés d’un moteur 8 cylindres en ligne de 2,8 litres de cylindrée soit moitié moins que le type 50 précédent. Finalement, les modèles de production recevront un moteur de 3 257 cc de cylindrée développant 135 cv à 4500 t/mn dans sa version « alimentation atmosphérique normale ».
En 1936 une version plus sportive du châssis type 57 est lancée la version « S » comme surbaissée qui s’accompagne d’une réduction de l’empattement de 320 mm. Pour compléter l’aspect sportif du châssis type 57 on y installe un moteur plus puissant, la puissance maximum passant de 130 à 180 cv à 5500 t/mn. Enfin l’adjonction d’un compresseur Roots sur les modèles type 57 SC fait grimper la puissance à 210 cv à 5 500 t/mn. L’aérodynamique et la réduction de poids ont été beaucoup travaillés pour encore améliorer les performances. La voiture fait dorénavant 963 kg et elle atteint alors la vitesse de pointe de 210 km/h. Seule ombre au tableau, le freinage s'opérait par des tambours actionnés par des commandes à cable, mais Ettore lui-même concédait que ses voitures étaient conçues pour aller vite, pas pour freiner ....





La production du modèle S sera assez éphémère mais les modèles types 57 standard et les types 57C seront produits jusqu’au début de la seconde guerre mondiale. Au total ce sont 546 exemplaires du modèle Type 57 et 96 modèles Type 57C qui seront fabriqués par la firme Bugatti. Comme la plupart des Bugatti, très peu d’exemplaires sont fabriqués pour chacun des modèles. Ils sont réalisés à la main et de ce fait ne sont pas tous identiques car les clients ont parfois des exigences particulères. Selon les spécialistes de la marque, les chiffres de production totale entre 1934 et 1939 varient de 685 à 830 modèles selon les sources . La Bugatti Type 57 a parfaitement atteint son objectif car au final elle demeure par-delà les ans, la plus agréable Bugatti de route produite. Elle est aussi la dernière ‘vraie Bugatti’ car les quelques voitures de type 101 assemblées en 1950-1951 ne sont que des Type 57 habillées de carrosserie plus moderne ....





L’accident tragique de Jean Bugatti en aout 1939, survenu quinze jours à peine avant la déclaration de guerre, bouleversa le devenir de la marque. La paix revenue, Molsheim tenta de reprendre un nouveau souffle mais le décès d’Ettore en 1947 et l’absence de Jean ne favorisèrent guère le redémarrage tant attendu. En fait, il faudra attendre le 21° siècle pour que le groupe Volkswagen réssucite la marque en produisant la fabuleuse Veyron . Pour la petite histoire, Bernard Marreyt un carrossier belge, a reconstruit une Type 57 à partir d'un châssis existant retrouvé en Angleterre et lui a fabriqué une carrosserie qui était prévue à l'origine par le célèbre carrossier atitré de la firme Gangloff mais qui n'avait jamais vu le jour car elle n'a jamais dépassé le stade de plan.
Peu de réalisations techniques font l'objet d'un culte comparable à celui porté aux productions de l'usine de Molsheim. La personnalité aussi élitiste qu'originale du "patron" se reflète dans chacune de ses œuvres, du "petit Pur-sang" à la monumentale Royale, et la liste des victoires en course tient sur plusieurs pages, mais est-ce suffisant pour tout expliquer ? ....





Caractéristiques techniques :

  • Moteur : 8 cylindres en ligne, essence
  • Emplacement : longitudinal, avant
  • Cylindrée : 3257 cm3 à 16 soupapes
  • Alésage x course : 72 x 100 mm
  • Puissance maximale : 180 ch à 5500 tr/min
  • Distribution : double arbre à cames en tête
  • Boite de vitesses manuelle à 4 rapports
  • Type de transmission : propulsion
  • Freins av : tambours
  • Freins ar : tambours
  • Vitesse maximale : 200 km/h





Bugatti Type 57 - Coach Ventoux ...



Bugatti 57 Ventoux ...





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vendredi 17 avril 2009

Bugatti Veyron 16.4

BUGATTI VEYRON 16.4 ….








« Bugatti » est une marque automobile française mythique pionnière et avant-gardiste fondée en Alsace à Molsheim en 1909 par le génie Ettore Bugatti (dépositaire de plus de 1000 inventions brevetées en mécanique), et reprise ensuite par son fils Jean Bugatti . La marque s'est particulièrement distingué dans le sport automobile, avec ses légendaires bolides bleus au radiateur en fer à cheval au palmarès inégalé (plus de 10000 victoires internationales et 37 records mondiaux), mais aussi grâce à sa gamme de voitures de luxe d'élite sur mesure avec la devise d'Ettore : « Rien n’est trop beau, rien n’est trop cher ». La production automobile de l'usine de Molsheim n'a pas survécu longtemps à la mort d'Ettore Bugatti en 1947 et fut vendue en 1963 au constructeur espagnol Hispano Suiza . Il faudra attendre les années 2000 pour que Ferdinand Piëch cet ingénieur d'exception ressuscite la marque Bugatti avec un objectif unique en tête, créer la GT de série la plus rapide du monde ….



Petit fils de l’illustre Docteur Ferdinand Porsche, le génial Ferdinand Piëch aura marqué de son emprunte toute la seconde moitié du vingtième siècle automobile . D’abord chez Porsche ou il a mis au point le Flat 6 de la 911, ou il a développé les premiers turbo, ou il conçu la 917 ayant tout raflé en compétition . Ensuite chez Audi ou il a mis au point la célèbre transmission Quattro et enfin chez Volkswagen ou devenu président du groupe il a hissé au premier rang en sachant négocier quelques rachats de prestige, comme les marques Bentley, Lamborghini et Bugatti . Suite au rachat de toutes ces marques par le groupe Porsche, avant son départ à la retraite, Ferdinand Piëch a décidé de laisser à l'histoire un véhicule hors du commun, une sorte de testament au groupe, développer la voiture de sport ultime reprenant toutes les innovations du groupe (le turbocompresseur, la boite à double embrayage DSG, la transmission intégrale) pour un véhicule facile à conduire, mais développant plus de 1000 chevaux et passant la barre symbolique des 400 km/h, l’incroyable « Bugatti Veyron 16.4 » était née ….



Pour réussir à créer un moteur de plus de 1000 chevaux à une époque où les plus puissants ne dépassent que de peu les 600 chevaux, il fallait faire fort, donc tout a été doublé par rapport à ce que l'on peut trouver sur d'autres voitures d'exception . Le moteur de la Bugatti Veyron 16.4 sera donc doté de 16 cylindres qui sont répartis en deux rangées de 8 cylindres en quinconce pour réduire l’encombrement (technique dite W) qui sont couverts par deux culasses à 4 soupapes par cylindre, soit 64 soupapes . Du coup, on a décidé de monter 4 turbocompresseurs de petite taille pour obtenir plus de répondant que 2 gros . Avec tout ceci et une cylindrée de 8 litres, on comprend mieux la manière dont est obtenue la puissance de 1001 chevaux et surtout le couple de 127.6 mkg constant de 2200 à 5500 tr/min . Mais comment diable faire transiter un tel couple ? Aucune autre motorisation n'offrant de tels chiffres, il a fallu développer une boite de vitesses spécifique qui bien entendu est à double embrayage DSG . La nouvelle boite étant du coup à commande séquentielle, rien n'empêchera la présence d'un septième rapport, nécessaire à l'obtention d'une vitesse très élevée . Créée par le spécialiste anglais Ricardo, elle se commande au levier ou via des palettes derrière le volant et dispose d'un mode automatique ....



Avec un moteur aussi gros, une transmission à 4 roues motrices et un équipement très complet, la Bugatti Veyron 16.4 accuse un poids en ordre de marche d'environ 2 tonnes, résultat, pour que la voiture puisse passer fort en virage, il a fallu lui installer des pneus surdimensionnés . En fait, les contraintes des pneus sont énormes en raison du poids, de la puissance et de la vitesse . A noter qu'à l'arrière, un aileron mobile s'ajuste en permanence pour concilier finesse et appui, notamment en phase de freinage . Heureusement un soin certain a été apporté au freinage avec des énormes disques en carbone qui sont véritablement à la hauteur . Les performances de la Bugatti Veyron 16.4 sont assez diaboliques, les 100 km/h en seulement 2.5", les 200 km/h en quelques 7.4" et surtout les 300 km/h en seulement 18.2" !!!! Pour réussir à passer le cap des 375 km/h, il faut mettre en place une configuration spéciale en tournant une clef spécifique située à la gauche du conducteur . La suspension pilotée réduit alors encore un peu plus la garde au sol (moins de 70 mm ) et certaines prises d'air se ferment pour améliorer l'aérodynamique, le Cx passe alors de 0.42 à 0.355 ce qui permet d’atteindre une vitesse de 407 km/h ....



Symbole de la renaissance de la marque française, cette Bugatti Veyron 16.4 est assemblée sur les terres historiques de la marque dans une usine flambant neuve à Molsheim-Dorlisheim en Alsace . Avec ce look ravageur, sa technologie hi-tech et sa finition luxueuse, et ses performances démoniaques, il faut reconnaître qu'elle fait rêver . Déjà près de 100 commandes auraient été enregistrées, soit environ 2 ans de production . Le but de la marque est de produire ce modèle pendant environ 6 ans, le nombre d'exemplaires étant dès maintenant limité à 300 . Dernière précision d’importance, le prix du missile fixé à 1.400.000 € TTC environ, définitivement une voiture d'exception ….

Caractéristiques techniques :

  • Moteur : W16 avec 4 Turbo
  • Cylindrée : 8 Litres
  • Couple : 127.6 mkg à 2200 tr/min
  • Puissance : 1.001 ch à 6000 tr/min
  • Vitesse : 407 km/h
  • 0 à 100 : 2’’5
  • 0 à 200 : 7’’4
  • 0 à 300 : 18’’2








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jeudi 20 mars 2008

Bugatti – Insignes et logos










Tout a été dit et écrit sur « Bugatti » car cette entreprise fondée en 1909 par le jeune ingénieur « Ettore Bugatti » d’origine italienne, est devenue une vrai légende . C’est en fait la plus prestigieuse marque française d’automobile connue encore de nos jours au quatre coins de la planète . Le phénomène n’a d’ailleurs pas échappé à Jean Graton qui lui a carrément consacré une histoire complète des aventures de son héros Michel Vaillant, le tome 54 « L’affaire Bugatti » ….

Signalétique des marques ...

« Ettore Bugatti » avait le génie de la mécanique et se passionnait pour les techniques nouvelles, si bien que ses créations furent très vite à la pointe de la technologie et très performantes . C’est ce qui, en partie, a fait la renommée de la marque Bugatti avec aussi l’énorme palmarès sportif de plus de 2000 victoires glanées en quelques années de compétition . La renommée était faite, l’engouement et la passion naissaient ….



De tous les modèles produits par « Bugatti », certains sont devenus cultissimes comme la Type 35, la Royale, ou la Type 57 en Atalante et Atlantic . Malheureusement tout le monde connait la suite, en 1939, après la mort de Jean Bugatti, le fils d’Ettore et suite à la guerre, la marque va tomber dans le marasme pour finalement mourir dans les années 50 . De nos jours la marque est finalement retombée dans le giron germanique puisque rachetée par le groupe Wolkswagen ….


















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