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vendredi 29 avril 2016

Unipower GT - 1966







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La marque automobile Unipower fait parti de ces nombreux artisans automobiles Anglais qui étaient spécialisés dans la construction de petites voitures de sport dans les années 60 à 70 bien avant que l'industrie automobile du Royaume Uni ne parte en déliquescence. C'était au départ un constructeur spécialisé dans les camions et les tracteurs agricoles ou forestiers du nom de Universal Power Drives Ltd basé à Perivale dans le Middlesex et plus tard racheté par UWF Automobile à Londres ….





Cette petite firme n'aurait apparemment construit qu'un seul et unique modèle avant de disparaitre, la belle Unipower GT dont les origines remontent à 1963 lorsque un passionné de compétition et d'automobile, Ernie Unger, grand amateur d'Abarth, ancien pilote de Lotus, et manager de l'écurie Elva, rencontre dans les paddocks du circuit de Goodwood un jeune dessinateur indépendant, Val Dare-Bryan, lui aussi passionné par l'automobile et surtout le développement des voitures de course ….





De cette rencontre entre ces deux hommes et des très longues conversations qui ont suivi, la genèse de cette Unipower GT venait de démarrer. L'idée était de concevoir une petite sportive sur la base de celle qui commençait à devenir un véritable succès commercial, la petite Mini, commercialisée depuis 1959 par BMC. En fait l'énorme banque d'organes de BMC rendait la tâche beaucoup plus facile et surtout bien moins onéreuse pour qui voulait se lancer dans la construction d'une nouvelle voiture. En effet tout était rapidement disponible à moindre coût, le moteur, les freins, les suspensions, et finalement il ne restait plus qu'à trouver un investisseur pour bien les épauler financièrement et ainsi les aider au mieux à concrétiser ce projet ....





Le manque évidant de moyens financiers pour poursuivre l'étude et surtout aussi la commercialisation de la future Unipower GT fut donc très vite résolu par les deux créateurs qui vont rapidement trouver l'homme de la situation. En effet, un certain Tim Powell, un ancien champion de motonautisme, qui dirigeait une société du nom d'Universal Power Drives voyait dans cette voiture de sport un moyen de diversifier ses activités, et en rachetait finalement les droits. Cerise sur le gâteau, son ami personnel, Andrew Hedges, pilote de course pour BMC, le rejoignait lui aussi dans cette belle aventure. Finalement avec les quatre hommes tout était réuni ....





Les quatre associés partageant le même enthousiasme avaient donc dans l'idée de construire une petite GT sportive qui rassemblerait l'efficacité britannique et la beauté italienne. L'originale Unipower GT était sur les rails et grâce à son design audacieux et à la qualité de sa construction, inhabituelle pour l'époque, cette GT est devenue la plus belle et la plus sophistiquée des sportives jamais construite basée sur la banque d'organes BMC et plus particulièrement la mécanique de la petite Mini. Elle va d'ailleurs devenir très prisée en Angleterre par les nombreux pilotes amateurs qui vont trouver un petit coupé GT sportif suffisamment puissant et robuste qui proposait d'excellentes performances mais aussi capable d'être utilisé sur route ....





Un châssis tubulaire spécial inédit fut donc construit spécifiquement pour l'insolite Unipower GT, qui reprenait les trains roulants largement modifiés de la petite Mini et aussi son moteur mais ici installé en position centrale arrière. Une carrosserie extrêmement basse et profilée fut dessinée, qui adoptait un pare-brise de Triumph GT6. En dehors d'Austin, de nombreux autres éléments étaient empruntés chez Ford et Jensen d'autres marques du Groupe BMC. Cela permettait en fait d'avoir des pièces rapidement disponibles et adaptables tout en réduisant les coûts de reviens. Cette berlinette très originale mesurait 3.56 mètres de longueur, 1.45 mètres de largeur, et 1.03 mètres de hauteur pour un poids plume d'environ 450 kg à vide ....





La carrosserie en fibre de verre de cette Unipower GT recouvrait un arceau cage sophistiqué et robuste fixé directement sur le châssis. L'ensemble offrait ainsi une structure légère et rigide qui avec la suspension à triangles indépendants aux quatre roues montée avec des amortisseurs et des ressort hélicoïdaux permettait d'avoir une excellente tenue de route. En effet, combinant la légèreté avec un centre de gravité assez bas et une faible traînée due à une bonne étude aérodynamique, cette GT était plutôt performante et facile à conduire à grande vitesse. Dotée enfin d'une transmission manuelle à quatre rapports, elle était disponible en deux versions, soit avec le petit bloc de 998 cc ou avec l'autre moteur plus puissant de 1275 cc ....





Pour ce qui est de la mécanique, la Unipower GT est donc équipée dans sa version la plus puissante d'un moteur provenant de la cousine Austin Mini. Ce moteur est un 4 cylindres en ligne de 1.275 cm3 provenant de la Cooper S qui amélioré par Speedwell développe 120 chevaux ce qui lui donne des performances très honorables pour l'époque avec une vitesse maximale de 200 km/h et un 0 à 100 km/h en 8 secondes. Présentée pour la première fois au London Racing Car Show de 1966, où elle allait rencontrer un certain succès auprès du public et de la presse du sport automobile, plus d'une année allait encore s'avérer nécessaire pour la mettre enfin au point ....


Caractéristiques techniques :

  • Énergie : Essence
  • Moteur : 4 cylindres
  • Disposition : Centrale arrière
  • Cylindrée : 1275 cm3
  • Puissance : 120 ch à 5500 tr/min
  • Couple : 346 Nm à 3200 tr/min
  • Transmission : Boite manuelle à 4 vitesses



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube - © Unipower




L'Unipower GT de 1966 ...



En piste avec l'Unipower GT de 1966 ...



L'Unipower GT de 1966 ...






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jeudi 31 mars 2016

Swallow Doretti - 1954







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La Swallow Coachbuiding Compagny, constructeur britannique d'automobiles, a vu le jour en 1922, sous l'impulsion de William Walmsley et de William Lyons, le père des futures Jaguar. Walmsley s'occupait essentiellement de la production et Lyons des ventes et de la gestion du personnel. A ses débuts, la firme ne produisait que des sidecars et des scooters, et ce n'est qu'à partir de 1927 que Swallow devenait fabricant d'automobiles, avec l'Austin Swallow dotée d'une carrosserie bien plus séduisante que celle du modèle de base proposé par Austin. En 1945 à la fin de la guerre, William Lyons cède sa petite firme Swallow à un fabricant de composants aéronautiques et automobiles, Tube Investments, dirigée par Eric Sanders ….





En 1947, Swallow se reconvertissait dans la production automobile, avec la Swallow Doretti. Cette voiture de sport allait être assemblée dans l'une des usines de Tube Investments, à Walsall dans le Staffordshire. Le projet était porté par Arthur Andersen, un des cadres du groupe. Deux personnalités en particulier marquèrent l'histoire de la petite Swallow Doretti, Franck Rainbow et Dorothy Deen. Fille de l’ingénieur Arthur Andersen, Dorothy Deen passionnée par les jolis petits roadsters britanniques, réussit à convaincre son père de fonder une société produisant et diffusant des voitures de Sport pouvant concurrencer les Triumph TR2, Morgan, MG TD ou Jaguar XK 120. Avec une note glamour, la marque prend le nom de Doretti, un acronyme à l’accent italien de Dorothy. Sur la base d’une Triumph TR2, l’ingénieur Rainbow va créer un modèle délicieux, un cran au dessus de son inspiratrice, très féminin et adapté au marché US. La Swallow Doretti était finalement née ….





Au début des années cinquante, des milliers d'amateurs américains, en particulier sur la côte californienne, s'étaient pris d'une passion soudaine pour les " british sports cars ". Chez Swallow, on entendait bien profiter de cet enthousiasme du public US. L'ingénieur Franck Rainbow qui bénéficiait d'une solide expérience acquise au sein de la Bristol Aeroplane Company allait rapidement mener à bien le projet de la Swallow Doretti. L'étude débutait en janvier 1953 et en seulement neuf mois, Franck Rainbow, novice en la matière, et donc sans préjugé quant aux solutions techniques à adopter, parvenait à concevoir une nouvelle voiture de sport ....





La Swallow Doretti est un roadster biplace sportif construit sur un châssis tubulaire de Triumph TR2 qui utilise la même mécanique. Le châssis est une belle réalisation de type tubulaire et la ligne de la carrosserie en aluminium fait immanquablement penser au style britannique du moment avec le long capot, les voies larges et le très faible porte à faux avant donnant fière allure au roadster. Finalement, la petite Swallow Doretti exhibait une ligne réussie qui reprenait les ingrédients stylistiques classiques chers aux sportives de cette décennie, en particulier des rondeurs douces alliées à une silhouette dynamique. Il y avait en elle à la fois de l'Austin Healey 100, de la MGA et bien sûr un peu de XK 120. Pour un coup d'essai, Franck Rainbow avait réussi un design vraiment agréable que la clientèle va rapidement apprécier ....





La première présentation privée de la Swallow Doretti intervenait aux Etats-Unis en octobre 1953. Sa présentation officielle au grand public eut lieu en janvier 1954, durant six jours, dans le prestigieux Hôtel Ambassador de Los Angeles. C'est Dorothy Deen elle même qui désormais, elle allait prendre en main la destinée sur le sol américain de la petite sportive britannique. Une structure baptisée Cal Sales était créée à cet effet qui commercialisait et assurait l'après- vente de la Swallow Doretti, et cela parallèlement à la distribution des automobiles de la marque Triumph. Qui a dit que l’automobile n’était qu’une affaire d’homme ? Ce n’était pas l’avis de Dorothy Deen, cette jeune anglaise éprise de mécanique et de belles autos qui est certainement l'unique créatrice d’une marque automobile au monde ....





En fait, Dorothy Deen avait été très impliquée dans le projet de la Swallow Doretti dès le début de l'aventure, mais seulement en tant qu'observatrice. Elle donnait parfois son avis, mais elle n'a jamais participé activement ni à sa conception, ni à son dessin. Pourtant en découvrant l'habitacle de la voiture on a du mal à se dire qu'elle n'ai pas donné son avis tant celui ci est très réussi. En effet tout est délicat, chatoyant et vraiment assez féminin. Les cuirs se mélangent harmonieusement en couleur avec les moquettes et les liserés et les touches d'aluminium et de chrome soulignent parfaitement le tableau de bord complet et le bois du superbe volant ....





Dorothy Deen gérait cette affaire au quotidien, elle s'occupait en personne des prises de commandes, mettait en place un réseau de dealers, et supervisait la promotion des ventes et la publicité. Et comme il s'agissait d'une jolie femme, ce qui n'était pas courant dans le domaine de l'industrie automobile à cette époque, elle n'hésitait pas à jouer les mannequins pour les publicités de sa Swallow Doretti. Au final, la Doretti rencontre un succès immédiat et 276 exemplaires seront construits en 1954-1955 par une petite équipe de 18 personnes. William Lyons en fut un peu contrarié, craignant que l’ambitieuse Swallow fasse de l’ombre à son modèle phare chez Jaguar. Il mit alors la pression et la production de la Doretti cessa en 1955 ....





Pour ce qui est de la mécanique, la Swallow Doretti est donc équipée d'un moteur provenant de la cousine Triumph TR2. Ce moteur est un 4 cylindres en ligne de 1.991 cm3 qui développe 90 chevaux. Dotée comme la Triumph d'une transmission à 4 rapports avec overdrive, la doretti est dotée d'une carrosserie plus profilée et donc plus aérodynamique ce qui lui donne des performances supérieures avec une vitesse maximale de 175 km/h et un 0 à 100 km/h en 12 secondes. En outre, cerise sur le gâteau, la consommation en carburant se limite à seulement 10 litres au 100 Km ....


Caractéristiques techniques :

  • Énergie : Essence
  • Moteur : 4 cylindres
  • Disposition : Avant
  • Cylindrée : 2 Litres
  • Puissance : 90 ch à 5000 tr/min
  • Couple : 346 Nm à 3200 tr/min
  • Transmission : Propulsion



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube - © StubAuto




Cinquantenaire de la Swallow Doretti ...



Meeting de belles Swallow Doretti ...






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vendredi 27 novembre 2015

Magazines auto Gazoline






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Gazoline est un magazine Français de vulgarisation automobile plutôt axé sur la mécanique et la technique fondé en avril 1995 et dirigé par Jean Jacques Dupuis. Édité par la société Pixel Press Studio, il a adopté un slogan qui colle parfaitement à la revue " Le magazine qui vous aide à rouler en voiture ancienne. " Après avoir réussi à se faire une place dans le milieu plutôt encombré de la presse automobile mais tout en conservant son indépendance, Gazoline poursuit encore aujourd'hui ses parutions avec un tirage mensuel enviable qui avoisine les 120.000 exemplaires ....


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Principalement destiné aux très nombreux amateurs de voitures anciennes dans l’hexagone, Gazoline est consultable en version papier et aussi sur Internet, ce média moderne incontournable, ce qui doit aussi contribuer à sa réussite. Cette réussite est néanmoins principalement due à la richesse et la diversité de son contenu qui propose chaque mois des essais, des chroniques, des tests, des fiches pratiques, des études, des historiques, des fiches techniques, des témoignages, des BD, des astuces, des produits, des photos et une iconographie très riche, enfin une foule de choses qui sont en rapport avec la voiture ancienne, un genre de bible ....


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Une grande partie du magazine est complètement consacré à la restauration et au reconditionnement, soit d'une voiture complète soit d'un élément mécanique ou de sellerie voir de carrosserie. Cette section est particulièrement bien faite et très didactique car elle explique en détail point par point le démontage, le nettoyage, la réparation ou le reconditionnement, l'amélioration ou la modernisation pour finir par le remontage et les tests. C'est ce qui fait aussi un des succès de cette revue ....


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Parallèlement au mensuel Gazoline, la société Pixel Press Studio a édité également une autre revue de voiture ancienne à parution bimestrielle ou trimestrielle intitulée " Gazoline - Votre Auto " dont le premier numéro de la collection est paru en mars 1998, et le dernier, le n° 40, en novembre 2007. Ce magazine Votre Auto était entièrement dédié a un seul modèle de voiture par numéro qui concernaient majoritairement des automobiles françaises des marques Peugeot, Citroën, Renault, Simca, Panhard, Ford France, Alpine et Matra. Les seules automobiles étrangères représentées furent la Fiat 500, la VW Coccinelle et également la Triumph Spitfire ....


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La pagination la plus courante du magazine Votre Auto était de 68 à 84 pages, mais il y eut quelques rares exceptions entre 60 à 100 pages. Chaque numéro proposait une large section consacrée à l'histoire du modèle, avec des textes bien documentés à partir de documents publicitaires ou de dossiers de presse d'époque. L'évolution par millésime était très détaillée. Les accessoires, la préparation des mécaniques, les modèles hors-série réalisés par des carrossiers, l'utilisation des bases mécaniques par d'autres constructeurs et les bonnes adresses faisaient partie des sujets traités pour la plupart des voitures. Sur un plan plus technique, les paragraphes sur la restauration et l'entretien étaient aussi abordés. Ensuite, selon les véhicules, d'autres sujets étaient exploités comme les objets publicitaires, la documentation, les épaves, les teintes, les voitures publicitaires, ou l'exportation ....


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Voici la liste complète des 40 voitures abordées dans ce magazine " Votre Auto " avec le numéro de la revue et les années millésime de chaque modèle :

  • 1 : Peugeot 203
  • 2 : Renault 4 CV
  • 3 : Citroën DS (1968/1975)
  • 4 : Simca Aronde
  • 5 : Peugeot 404
  • 6 : Renault Dauphine
  • 7 : Citroën DS (1956/1967)
  • 8 : Simca Vedette
  • 9 : Peugeot 403
  • 10 : Renault Frégate
  • 11 : Fiat 500
  • 12 : VW Coccinelle (1945/1967)
  • 13 : Panhard 24
  • 14 : Simca 1000
  • 15 : Peugeot 204 - 304
  • 16 : Renault 8 et Renault 10
  • 17 : VW Coccinelle (1968/1979)
  • 18 : Panhard Dyna Z & PL 17
  • 19 : Simca 1300 - 1500
  • 20 : Triumph Spitfire 21 : Citroën 2 CV (1948/1960)
  • 22 : Renault Floride - Caravelle
  • 23 : Ford Vedette
  • 24 : Renault 4 CV (1947/1953)
  • 25 : Citroën 2 CV (1961/1990)
  • 26 : Peugeot 504
  • 27 : Alpine A 110
  • 28 : Renault 4 (1951/1962)
  • 29 : Matra 530
  • 30 : Citroën Méhari
  • 31 : Peugeot 203
  • 32 : Simca 1100
  • 33 : Renault 16
  • 34 : Citroën SM
  • 35 : Alpine A 310
  • 36 : Peugeot 202 - 302 - 402
  • 37 : Renault 4 (1962/1970)
  • 38 : Simca 5 - 6 - 8
  • 39 : Citroën GS
  • 40 : Renault 4 (1971/1973) ....



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Conjointement à ces deux magazines, la société Pixel Press Studio a également édité deux numéros Hors Série toujours consacrés à la voiture ancienne :

  • HS 1/ Les populaires françaises qui affolent la côte
  • HS 2 / 28 populaires françaises pour rouler tous les jours



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L’amateur de voiture ancienne n’a rien à voir avec un collectionneur classique car il ne passe pas son temps à regarder l’objet de son irrépressible désir, il l’utilise. C’est même généralement l’aboutissement d’une longue période de restauration traversée de doutes. La récompense ultime, l’impression de redonner la vie à ce que les incultes comparent à un tas de ferraille. Encore faut-il trouver l’engin idéal. Pas trop âgé pour s’insérer aisément dans la circulation, suffisamment sécurisant et fiable pour envisager de longs parcours ou une utilisation au quotidien, pas trop gourmand en carburant et qui apporte malgré tout l’illusion de rouler différent.
Au final, c'est tout cela que nous expliquent en détail ces deux supers Hors série ....


Sources : © - YouTube © - Wikipédia © - Google Images
© - Gazoline © - Carcatalog






Réunion Gazoline Juin 2015 ...



Réunion Gazoline Mars 2015 ...



Réunion Gazoline Février 2015 ...





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vendredi 2 octobre 2015

Dessins publicitaires automobiles







L'année dernière ici même, je vous avais déjà proposé un article consacré à ces publicités artistiques automobiles dessinées par des illustrateurs de talents pour quasiment toutes les marques dans les années 30 à 60, vous pouvez le voir ici.
A cette époque, les différents constructeurs avaient donc adapté leur publicité spécifiquement avec des graphismes assez sophistiqués plutôt chic et classe.


Après guerre, les nombreux progrès technologiques de la photographie couleurs et des métiers de l'imprimerie ne permettaient pas encore de sublimer sur papier l'élégance des nouvelles automobiles, mais pour illustrer leurs catalogues, les constructeurs vont faire appel à une foule d'artistes plus ou moins connus pour composer des œuvres graphiques plus alléchantes les unes que les autres.


Ces superbes créations artistiques étaient très souvent surchargées de couleurs chatoyantes afin de mieux séduire les acheteurs potentiels. Tout était permis, ainsi les proportions pouvaient ne pas être respectées mais volontairement exagérées ou du moins amplifiées dans le but de faire paraître ces autos soit plus larges, soit plus basses voir même plus longues que dans la réalité afin de les sublimer encore plus.


Voici donc aujourd'hui une nouvelle sélection très sympa de quelques exemples vraiment très kitch et vintage des constructeurs de l'époque pour un petit voyage bucolique dans leur univers coloré (Cliquez sur les images pour les agrandir) ....


- * Austin Healey 3000 Roadster - 1959 ...

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- * Austin Healey Sprite Décapotable - 1962 ...

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- * Borgward Isabella - 1954 ...

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- * Jaguar Mark VII - 1954 ...

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- * Jaguar Type E - 1961 ...

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- * Lincoln Continental Cabriolet - 1941 ...

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- * Mercedes 190 SL - 1956 ...

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- * Mercedes 220 Décapotable - 1957 ...

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- * Morris Mini Traveller - 1961 ...

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- * NSU Prinz - 1960 ...

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- * Oldsmobile Cruiser Club Coupé - 1941 ...

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- * Opel Kapitan - 1951 ...

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- * Peugeot 203 Cabriolet - 1955 ...

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- * Porsche 356 - 1952 ...

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- * Saab 93 - 1958 ...

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- * Simca Aronde - 1956 ...

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- * Triumph TR3 Roadster - 1953 ...

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- * Vauxhall Cresta - 1956 ...

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- * Volkswagen Karmann Cabriolet - 1954 ...

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On est bien obligé de constater que ces illustrateurs et dessinateurs connus ou inconnus sont toutefois de véritables artistes et qu'ils ont beaucoup de talent car les voitures sont superbement représentées et mises en valeur ....

Source : © - Google image





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