Mot-clé - Maranello

Fil des billets

vendredi 2 décembre 2016

Sergio Scaglietti - Carrosserie






sca00.jpg


sca01.jpg


Sergio Scaglietti est un célèbre entrepreneur et designer italien, fondateur de la Carrosserie qui porte son nom, né le 9 janvier 1920 à Modène qui est décédé le 20 novembre 2011 à l'âge de 91 ans. Très réputé, il est largement connu dans le milieu automobile comme Michelotti, Bertone, Pininfarina ou Ghia car il est à l'origine du dessin de nombreuses Ferrari qui sont devenues des modèles mythiques ....


sca02.jpg


Sergio Scaglietti se passionne dès l'enfance pour l'automobile. À l'âge de huit ans à peine, il s'amuse déjà à créer des voitures de course en utilisant de l'argile et des fils de fer, le virus de la création l'habite donc très tôt. Doué naturellement pour le modelage, il a déjà la vision et le style de l'engin qu'il imagine en tête et son agilité de la conception lui permet de donner forme à ses idées même les plus folles ....


sca03.jpg


Malheureusement en 1933, à treize ans seulement son père décède et le jeune Sergio Scaglietti doit trouver rapidement du travail pour aider sa famille. Il va donc rentrer en apprentissage chez un carrossier dans sa ville natale de Modène car il compte faire de sa passion son futur métier. Pendant six années, il va apprendre avec sérieux ce nouveau travail du façonnage de carrosserie automobile ....





En 1939, Enzo Ferrari, alors pilote titulaire de la Scuderia Ferrari de chez Alfa Romeo, découvre par hasard dans l'atelier où travaillait Sergio Scaglietti comme simple ouvrier chargé de la réparation des ailes des voitures de course, une Alfa 12 cylindres réparée et modifiée par Sergio, avec divers changements dans les ailes et les phares, donnant au véhicule une ligne aérodynamique et futuriste. Pour le "commendatore" ce fut le déclic, il venait de découvrir un jeune et très talentueux ouvrier carrossier à qui il ne cessera de confier des travaux et adressera des clients privés de sa Scuderia, fasciné et épaté par la haute qualité de son travail ....





Sergio Scaglietti sera dès lors lié par une relation professionnelle profonde et féconde avec Enzo Ferrari, mais aussi et surtout par une amitié pour toute la vie, si bien que le commendatore va l'aider à s'installer à son compte après guerre. A cette époque ou la conception assistée par l'informatique n'existait pas encore, la méthode de travail de Scaglietti était tout à fait artisanale, véritablement l’œuvre d'un maitre carrossier. Cela consistait à réaliser un cadre de fil de fer sur le châssis, puis à marteler des plaques d'aluminium dans la forme qu'il envisageait sur des sacs de sable pour ne pas abimer le métal parce que le bois s'est avéré trop dur. Tout ce fastidieux processus était réalisé « à l'œil » très rarement à l'aide d'un dessin ....





C'est à cette époque que Sergio Scaglietti va proposer dans son modeste atelier des modèles superbes comme le petit coupé Alfa Romeo Giulietta Sprint Veloce ou aussi le très insolite coupé Chevrolet Corvette. L'atelier va très rapidement se développer si bien qu'en 1951, Sergio fonde la " Carrosserie Scaglietti " à l'aide d'un prêt d'Enzo Ferrari qui dans l'intervalle, en 1947, avait donné naissance à la firme Ferrari. Une des toutes premières commandes de carrosserie pour les nouvelles voitures de la marque sera celle du superbe spyder Ferrari 500 Mondial ....





Dès lors l'activité de l'atelier de carrosserie de Sergio Scaglietti sera exclusivement liée à la maison de Maranello qui est devenu, en collaboration avec Pininfarina, l'un des principaux fournisseurs Ferrari. En fait Scaglietti va concevoir quelques unes des plus emblématiques Ferrari des années cinquante, soixante et soixante-dix comme par exemple la Ferrari 250 Testa Rossa, la Ferrari 250 GT California, la Ferrari 250 GTO mais aussi la Ferrari 750 et la Ferrari Monza 860, sans oublier sa précieuse contribution également à la réalisation de la Ferrari Daytona 365 ....





Sergio Scaglietti a également retouché et transformé de nombreux dessins de Pininfarina pour finalement réalité, des véhicules comme la Ferrari California Spyder, la Ferrari 275 GTB, la Ferrari Dino 206 GT ou aussi la Ferrari Dino 246 GTS. À la fin des années 1960, Sergio va profité de l'occasion pour rejoindre Ferrari et faire parti de l'accord de vente de son entreprise à Fiat. Toutefois il va continuer à diriger l'entreprise jusqu'à sa retraite au milieu des années 1980. Homme discret et simple, il deviendra un ami très proche de la famille, à tel point que son entreprise deviendra partie intégrante de Ferrari en 1977. En 2004, Luca di Montezemolo le dernier directeur de la firme décide de lui rendre hommage de son vivant en baptisant une nouvelle GT de son nom, la magnifique Ferrari 612 Scaglietti ....





Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube - © Scaglietti



La mythique Ferrari 250 GTO Scaglietti ...



La dernière Ferrari 612 Scaglietti ...





JPBlogAuto

vendredi 14 juin 2013

Horlogerie automobile






A la lecture de mes magazines automobiles favoris, je viens de faire un constat qui m’a un peu interloqué . En fait depuis quelques mois déjà, j’ai remarqué un nouveau genre de publicité qui semble petit à petit conquérir discrètement les pages de mes lectures mensuelles . Apparemment, l’industrie horlogère qui jusqu’alors s’affichait chez les bijoutiers ou dans la presse généraliste masculine envahie désormais de plus en plus nos revues de « bagnoles » et bien évidemment avec des modèles typés automobile . En conclusion, le marketing horloger tente de surfer sur notre passion des belles voitures pour nous "fourguer" des montres badgées automobile dont voici quelques exemples ….

Cliquez pour agrandir ...

La première à gauche a été créée par l’horloger « Frédérique Constant » en série limitée spécialement pour le « Meeting Healey 2007 » à Heidelberg en Allemagne . Baptisée « FC-303 Healey » c’est une montre qui est un concentré d’acier et de cuir aux couleurs douces et chaudes sensée coller aux exigences des gentlemen-drivers sportifs et élégants . Le fond du boitier présente une gravure du circuit d’Heidelberg et une fenêtre décentrée dévoile le balancier . Livrée dans un coffret en bois avec une miniature Healey elle est éditée à 1888 exemplaires numérotés, avis aux amateurs ….

Celle du milieu provient de chez « Porsche Design » et est baptisée « Worldtimer P’6750 » . Sa particularité est d’afficher simultanément les heures de deux fuseaux horaires différents . Dans les tons noir et gris chers à la marque, elle est plutôt destinée aux businessmen explorateurs en voyage d’affaire et offre une technologie de pointe alliée à un confort et une simplicité d’utilisation qui séduira les passionnés les plus exigeants, on vous aura prévenu ….

La dernière à droite est un grand classique badgé à l’effigie du cheval cabré de « Maranello » . La collection « Granturismo Ferrari » réinterprète ce patrimoine rouge et noir qui reflète la tradition, le prestige et l’excellence . Ce chronographe décliné en deux versions (rouge ou jaune pour le cadran et acier poli pour le boîtier) est un concentré de technologie allié à un graphisme sportif original et offensif qui présente un soin chirurgical des détails dans le plus pur style italien . Ce boîtier à double courbure est proposé en automatique, chronographe simple ou chronographe à rattrapante, que du bonheur ….

Décidément, ces spécialistes du Marketing sont vraiment très pointus pour ce qui est de faire vibrer notre corde sensible et je reconnaît que leurs montres sont assez belles, le seul petit problème sans doute pour certains c'est le prix qui n'a vraiment rien à voir avec celui d'une "Timex" ....



JPBlogAuto

mercredi 19 octobre 2011

Lamborghini 350 GTV - 1963



LAMBORGHINI 350 GTV ….







En 1949, Ferrucio Lamborghini, propriétaire terrien, homme d'affaires avisé et personnage charismatique, fonde la société " Lamborghini Tratrici ", spécialisée dans la production de tracteurs agricoles . Très vite, Ferrucio fait fortune et s'offre les plus belles voitures de l'époque, notamment des Jaguar dont il était un fervent admirateur et, évidemment, des Ferrari . Mécontent de celle qu'il a offert un jour à sa femme, monsieur Lamborghini va s'en plaindre de vive voix à Enzo Ferrari . Ce dernier n'appréciant guère les remarques de son client et son audace à venir en son fief de Maranello lui faire la leçon, le fustige en le traitant comme un " vulgaire fermier ". Ferrucio repart plus furieux que jamais et pense déjà à la manière de se venger de l'affront. La solution qu'il trouve est aussi simple qu'efficace, et pourtant si osée et risquée, c’est de créer sa propre voiture . Une auto qui devra être de meilleure qualité que celles produites par ce bon vieux Enzo . Le prototype 350 GTV est déjà en marche, et la nouvelle marque « Lamborghini » vient de naître ….



Ferrucio Lamborghini supervisera la réalisation de ce prototype de bout en bout . Cependant, il confie le dessin de la carrosserie à Franco Scaglione qui a déjà fait ses armes chez Alfa Roméo et Lancia . Pour le moteur, il s'adjoint les services de Giotto Bizzarrini qui vient de quitter Ferrari depuis peu (premier pied de nez à Enzo). L'équipe ainsi constituée va produire l'une des plus belles voitures de tous les temps, l’étonnante Lamborghini 350 GTV . La 350 GTV fut le premier modèle de l'histoire à porter le blason Lamborghini, le désormais mythique taureau fougueux . La 350 GTV est un exemple d'esthétisme automobile . Une ligne pure, tendue, dynamique et irrésistiblement élégante, mais dotée d'un châssis tubulaire en acier, elle ne pèse finalement que 1050 kg . Designer de très grand talent et ancien responsable du style de la carrosserie Bertone, Scaglione a toujours été un adepte des formes non conventionnelles . Sa proposition affiche une esthétique résolument singulière et différente si bien que le créateur de la marque décide alors de confier la carrosserie de sa voiture à Touring . La carrosserie milanaise retouche les lignes de Scaglione, mais tout en respectant le dessin originel, elle en adoucit les formes . La Lamborghini gagne en homogénéité, même si elle abandonne dans cette mue une partie de son arrogance . Toute en rondeur, l’originale face avant, à laquelle fait écho une poupe tout en droites, se pare de phares oblongs Cibié rétractables . Fruit du génie audacieux de Scaglione tempéré par le prodigieux sens de l’élégance de Touring, la Lamborghini 350 GTV est une voiture à la personnalité unique et au design exceptionnel ….



La Lamborghini 350 GTV a été présentée la première fois lors du Salon International de l'Automobile de Turin en octobre 1963 . La carrosserie est l'œuvre du maître carrossier Bertone, sous le dessin de Franco Scaglione, elle sera fabriquée dans les ateliers Sargiotto à Turin . Construite sur un châssis tubulaire dessiné par Giotto Bizzarini et fabriqué par Giorgio Neri et Luciano Bonacini à Modène, comme toutes les voitures sportives adaptables à la course de cette époque . Le succès est immédiat et Enzo Ferrari fait la moue . Son vieux client Ferrucio a remporté son pari de produire un modèle pouvant faire la pige à ceux de Maranello, l'histoire était lancée . Construite selon la technique Superleggera, la voiture dispose d’un châssis renforcé rigide et léger sur lequel est monté des trains roulants avec des suspensions les plus modernes de l’époque . En effet le châssis tubulaire et moderne de la Lamborghini 350 GTV propose quatre roues indépendantes et des freins à disques, alors que Ferrari ou Maserati utilisent encore des trains arrière avec ressorts à lames ....



La Lamborghini 350 GTV dégage une rare et étrange beauté par son mariage réussi de courbes sensuelles et de droites saillantes avec un profil tracé d’une seule ligne, elle offre un design saisissant et d’une grande pureté . C’est ce qui va faire son succès en tenant compte du fait que techniquement elle utilise les options les plus modernes . L’assemblage général et le soin apporté à la finition sont au dessus de la moyenne pour l’époque afin de proposer un produit fini de qualité . L’habitacle est assez spacieux pour une 2 + 2, c'est-à-dire deux vraies places plus quelques bagages à l’arrière, mais on a l’habitude car c’est pareil chez la concurrence . Par contre le soin et la qualité de la finition sont vraiment à la hauteur . L’intérieur offre une ambiance typique des années 60, mais chic et confortable . Les épaisses moquettes sont assorties à la superbe sellerie tout en cuir, et quelques notes d’aluminium et de chromes apportent la note sportive en toute discrétion . Le poste de pilotage offre une excellente position de conduite et huit cadrans et compteurs sont disposés sur le tableau de bord juste sous les yeux du chauffeur . La Lamborghini 350 GTV avait donc tous les arguments pour venir jouer dans la cour des grandes ....



Pour ce qui est de la motorisation de la Lamborghini 350 GTV, puisque le challenge était de mieux faire qu’à Maranello, Ferruccio Lamborghini a chargé Giotto Bizzarini de réaliser le dessin d'un moteur V12 de 3,5 L . Le moteur réalisé par Bizzarrini, un 12 cylindres en V de 60° de 3 464 cm3 à quatre arbres à cames en tête et lubrifié par carter sec, développe 360 chevaux à 8 000 tr/min et 326 Nm de couple à 6000 tr/min, un véritable fauve qui va faire merveille sur la voiture . Ce fantastique moteur deviendra la motorisation de base de la future gamme Lamborghini . La voiture a dépassé, lors des tests sur piste, les 280 km/h en pointe, c’est déjà un bolide hors normes pour l’époque . La puissance est transmise aux roues arrières, bien sûr, via une boîte renforcée à 5 rapports ZF . Les performances sont de premier plan, le coupé revendiquant 280 km/h en pointe, et pouvant passer de 0 à 100 km/h en 7 secondes seulement, des valeurs qui parlait beaucoup à une époque où la vitesse était encore libre partout . La 350 GTV s'impose sans complexe dans les hautes sphères des voitures de sport, une merveille de la catégorie Vintage Classic ....




Caractéristiques techniques :

  • Moteur : V12
  • Cylindrée : 3 464 cm3
  • Puissance : 360 chevaux à 8 000 tr/min
  • Couple : 326 Nm de couple à 6000 tr/min
  • Vitesse : 280 km/h
  • Poids : 1050 kg







La « Lamborghini 350 GTV », c'est ça ...






JPBlogAuto

samedi 5 juin 2010

Gemballa Mig-U1 - 2010



GEMBALLA MIG-U1 ….







Je vous ai déjà souvent présenté dans ce blog des voitures construites par ces fameux préparateurs allemands . Ils sont nombreux et réputés et il était donc impensable que j’oublie le talentueux « Uwe Gemballa » . Cet allemand, sorcier de la mécanique, plutôt connu pour ses transformations de Porsche en provenance de Stuttgart, est en fait un de ces préparateurs que rien n'arrête . Voilà 27 ans qu’il s’est installé près de Stuttgart . D’ordinaire réputé et reconnu pour son travail, Gemballa n'a donc pas hésité et il a même choisi la plus exclusive des Ferrari modernes, l'Enzo, pour réaliser son nouveau projet . Dans le monde de l'automobile, "préparer" une Ferrari constitue certainement un crime de lèse-majesté . La marque au cheval cabré est d'ailleurs fort sourcilleuse sur la question et s'empresse le plus souvent de dénoncer toutes les initiatives de ce type . Quel moyen plus efficace pour faire parler de soi que de bousculer les conventions les mieux établies en transformant une Enzo en incroyable monstre de la route ? ….



La Gemballa MIG-U1 est née d’une commande spéciale d’un client fortuné pour qui Noël ne devrait pas poser un quelconque souci économique . Présentée au salon de Dubaï et destinée à l’origine au groupe Ilyas et Mustafa Galadar, la voiture sera finalement construite à 25 exemplaires qui apparemment sont déjà achetées en précommande, de quelle crise parlez-vous donc ? La première apparition de cette monstrueuse préparation a laissé sans voix nombre d’observateurs . S'agissant d'un bolide aussi "pointu" que l'Enzo, la tache n’était pas facile car les marges de progression sont évidemment limitées . L’objectif n’est pas d’améliorer à tout prix l’italienne mais se trouve sans doute ailleurs . Conformément aux usages de l'époque, il s'agit de rendre l'auto plus impressionnante, plus exclusive, bref, plus bling bling, un peu à l'image d'une certaine Lamborghini Reventón . Le but est pleinement atteint car bardée d'appendices aérodynamiques en tout genre, la Gemballa MIG-U1 a les moyens d'effrayer le plus téméraire des pitbull . Bien sûr, selon ses concepteurs, cette insulte au travail de Pininfarina permet de gros progrès aérodynamiques avec une déportance qui progresserait de 35 kg à l'avant et de 85 kg à l'arrière tandis que le refroidissement du moteur serait grandement amélioré . Au final, c’est une carrosserie totalement revue, mais gardant les grandes lignes de la supercar de Maranello ….



La Gemballa MIG-U1 est hérissée d'appendices aérodynamiques en tout genre, bardée d'ouïes et de carbone et coiffée d'une prise d'air dorsale, des lignes d'avion furtif qui ont de quoi fasciner car Gemballa se devait de mettre les mains dans le cambouis pour faire honneur à sa réputation . La hauteur de caisse dispose d'un système électro-hydraulique le HLS qui permet de remonter l'ensemble de 45 mm en cas de besoin afin d’éviter les obstacles ou baisser de 80 à 100 mm sur plat après 80 km/h . Evidemment, avec le "pack", le préparateur propose des jantes Gemballa GTR Racing en 10x19" à l'avant chaussées en 265/35 et en 13x20" à l'arrière avec des gommes en 335/30 . Les freins ont un refroidissement optimisé grâce aux entrées d’air à l’avant et sur les flancs inférieurs . Le préparateur allemand n'a cependant pas pris le risque de modifier en profondeur le V12 de 6.0 litres de cylindrée originel . Il s'est contenté d’une nouvelle admission et de revoir la programmation de son calculateur ECU et d'optimiser les échappements pour que sa supercar gagne évidemment en puissance intrinsèque . Oubliez les 660 chevaux standards, le V12 de la Gemballa MIG-U1en délivre désormais 700 et il est accouplé à une transmission robotisée à 6 vitesses avec palettes au volant ....



La transformation de La Gemballa MIG-U1 ne serait pas complète sans un habitacle revu également . On trouve donc à l'intérieur des baquets spécifiques, une console centrale inédite et un système multimédia complet avec lecteur DVD, écran tactile 7", connexion iPod, système de navigation, enceintes dans les portes, subwoofer entre les sièges et un gros ampli 950 Watts dans le coffre . Ce temple dédié au pilotage se mue en boudoir sportif avec ses panneaux de cuir matelassé et ses sièges particulièrement voyants . L’équipement n’est pas spartiate pour une supercar extrême, apportant un nouveau volant, du cuir, du daim intégral, de l’alcantara, de l’aluminium . Comme de coutume chez Gemballa, l’intérieur est personnalisable à foison si vous disposez de suffisamment de deniers et la maison assure bien entendu à ses clients un service de personnalisation et garantit que chaque exemplaire sera unique . Un seul "détail" nous manque, le prix puisque les 25 exemplaires sont tous vendus, mais après tout il paraît que dans certains milieux, parler d'argent est vulgaire ....



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : V12
  • Cylindrée : 6.0 Litres
  • Transmission : 6 vitesses robotisée
  • Puissance : 700 chevaux à 7800 t/mn
  • Vitesse : 354 km/h
  • Accélération : 0 à 100 km/h en 3,4 s






La Gemballa MIG-U1, c'est ça ...





JPBlogAuto

- page 2 de 4 -