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vendredi 24 janvier 2020

Anciennes automobiles vintage du futur









A une époque quasiment toutes les voitures utilisaient couramment un châssis séparé de la carrosserie, un long capot cachant un compartiment moteur où le moteur était situé longitudinalement derrière l'essieu avant et un habitacle à l'arrière. Le moteur monté à l'avant entraînait généralement l'essieu arrière par l'intermédiaire d'un arbre d'entraînement tournant sous le plancher du véhicule. Mais les publicitaires et aussi les services commerciaux ont titillé les ingénieurs afin qu'ils imaginent finalement " la voiture du futur " ....





C'est ainsi qu'après guerre, les voitures ont commencé à s’habiller d’une carrosserie en Elektron, un alliage à base de magnésium, avec quelques éléments en Duralumin, ou en fibre de verre. Pour le design, rien n’est assez beau, la voiture arbore des ailerons surdimensionnés inspirés de l'aérospatiale, tandis qu’une bulle en plexiglas recouvre l’habitacle et s’ouvre d'un seul bloc. Pour le côté technique, les engins s’équipent d’un moteur à plat qui transmet le mouvement aux roues avant, et quatre disques assurent le freinage en lieu et place des antiques tambours. Au final l’argument aérodynamique et futuriste apparaît surtout comme un véritable coup publicitaire, on est donc plus proche de la science-fiction ....


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Après guerre, les Etats-Unis dominent le marché mondial de l’automobile avec une clientèle à fort pouvoir d’achat et une offre pléthorique de voiture en tout genre. Au cours de ces années à l'initiative des plus gros constructeurs et surtout de leur service commercial, les show-cars, les motoramas et les motorshow, ces gigantesques salons d'exposition, apparaissent pour stimuler les ventes et l’intérêt du public. Avec des industriels ayant les yeux tournés vers ce marché, les idées finissent par traverser l’Atlantique, c’est ainsi que même l'Europe se mettra au diapason.
Voici une demi douzaine de ces voitures du futur ou de science-fiction vues dans les années vintage ....



* / LA STOUT SCARAB - 1946 :





La Stout Scarab est une monospace américaine des années 1940 conçue par William Bushnell Stout et fabriquée par Stout Engineering Laboratories et ensuite par la Stout Motor Car Company de Detroit, dans le Michigan. Elle est créditée par certains comme la première monospace, et un prototype Scarab expérimental de 1946 est la première voiture avec une carrosserie en fibre de verre et une suspension pneumatique. Pour l'époque cette voiture était plus proche d'un OVNI que d'une automobile et faisait donc figure d'engin du futur ....


* / LA BORGWARD TRAUMWAGEN - 1955 :





Directement inspirée par les Dream-Cars américaines, la Borgward Traumwagen lancée avec l’objectif d’une présentation au salon international de l’automobile de Francfort 1955 est donc une voiture de salon destinée à attirer les regards vers la marque allemande, et pourquoi pas permettre de vendre quelques véhicules en concession. A la tête de ce projet, Borgward met l’ingénieur Erich Übelacker, ancien de chez Tatra, dont la mission est d’étudier le concept du « light weight » (poids léger), et l’aérodynamique, le tout afin de permettre d’utiliser cette voiture comme banc d’essai pour diverses mécaniques ....


* / LA GHIA GILDA STREAMLINE - 1956 :





Présentée comme « expérimentale » sur le stand Ghia du salon de Turin 1955, où elle est le reflet exemplaire d’une époque, ce dream car futuriste prend le nom de Gilda, personnage interprété par Rita Hayworth dans le film éponyme de Charles Vidor. L’auteur de ce projet est Giovanni Savonuzzi, directeur technique de Ghia de 1954 à 1957. Professeur d’université (Polytechnique de Turin), l’homme est également un ancien ingénieur aéronautique. Il a conçu la Gilda Streamline pour Chrysler, mais ce style aérodynamique correspond plus à une mode d'engin du futur pour les expositions qu’il ne répond à une logique scientifique ....


* / LA FORD X2000 - 1958 :





La Ford X2000 est un drôle d’oiseau sortie en 1958 de l’imagination fertile des designers de Dearborn parmi lesquels Alex Tremulis avec l’aide de Bill Balla , le créateur de la fameuse Tucker, elle devait être la vision de la voiture du siècle à venir. C’est une vraie voiture de science-fiction car peu de choses sur la voiture étaient censées prédire les formes ou les caractéristiques des Ford du futur immédiat mais plutôt être des concepts avancés du futur automobile des années 2000 ....


* / LA CHRYSLER TURBOFLITE - 1961 :





Conçue pour naviguer sur les autoroutes du futur, la Chrysler Turboflite de 1961 était si en avance sur son temps qu'elle intégrait des caractéristiques de conception qui n’avaient toujours pas été introduites, comme le toit en verre qui s’élevait automatiquement à l’ouverture de l’une ou l’autre porte. Avec son design très typé science-fiction pourvu d'ailerons, de nageoires, de bequets et d'appendices inhabituels, son autre caractéristique hors du commum était sa motorisation de type turbine ....


* / LA FASCINATION 2DR - 1974 :





La Fascination 2DR a été créée par Paul M. Lewis à la fin des années 1960 à Denver, au Colorado. C'est typiquement un exemple parfait d'un véhicule du futur de science-fiction qui ressemble à un engin à trois-roues, mais la fusée avant a deux pneus comme dans un avion. La voiture était pourvue d'une carrosserie en fibre de verre et de portes papillons. La motorisation était confiée à un moteur V6 Chevrolet ....


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vendredi 30 novembre 2018

Études de Styles Automobiles









La conception d'une automobile est un long processus, c'est le travail effectué par une équipe pluridisciplinaire composée d'ingénieurs, de spécialistes de l'ergonomie, de stylistes intérieurs, de designers extérieurs, de modélistes, de maquettistes et de spécialistes du marketing qui fixent les contraintes et les attentes liées au style, pour mener à la réalisation finale et la mise en production du véhicule ....





Les contraintes techniques de fabrication, mais surtout les attentes de la clientèle liées au style des voitures qu'elle souhaite acheter deviennent une donnée incontournable que toutes les firmes automobiles prennent évidemment en compte avant toute conception d’où les études de style. La conception a beaucoup évolué au cours de l'histoire de l'automobile. Au début, tout était à inventer mais suite aux tâtonnements des premières idées, ont succédé des méthodes de conception et des processus d'ingénierie très précis ....








On peut donc dire que la conception des automobiles dans ce contexte est principalement concernée par le développement de l’aspect ou l’esthétique visuelle du véhicule. C'est un fait incontestable les voitures se vendent mieux si elles correspondent aux attentes stylistiques de la clientèle. Voici donc une cinquantaine d'études de style différentes qui ont ou non abouties sur des voitures mises en production ....








À la fin du XIXe siècle, quand furent conçues les premières automobiles, elles étaient l'œuvre de génies de la mécanique et bien souvent, les schémas et les plans étaient rudimentaires. Et donc l'automobile a connu un développement parallèle à l'influence des écoles de style automobile au XXe siècle avec un âge d'or de la voiture de rêve aux États-Unis dans les années 1950, du prototype de salon en Italie dans les années 1970 et du concept car au Japon dans les années 1990 ....








De nos jours, la mise en production d'une voiture passe immanquablement par une étude de style poussée qui aboutit sur un véhicule conceptuel. C'est devenu une obligation pour tous les constructeurs automobiles qui présentent ensuite ce concept-car lors des grands salons automobiles internationaux à Bruxelles, Détroit, Genève, Turin, Paris, Francfort, Tokyo, et Pékin ....








Ces études de styles doivent répondre à un cahier des charges préalablement établi qui doit aboutir sur un design de l'automobile capable de communiquer aux clients des traits caractéristiques enviables comme par exemple la puissance, la vitesse, la sportivité, la robustesse, la fiabilité, la sécurité, la beauté, le luxe ou autres thèmes auxquels l'automobiliste s'identifiera pour afficher son identité personnelle ....








La plupart des concept cars ne sont pas destinés à être mis sur le marché tels quel car le processus d'étude de style d'un nouveau modèle dure environ entre trois et cinq ans et peut donc fatalement passer de mode. En fait, les designers doivent donc prédire ce qui va être à la mode dans les années à venir mais pas trop en avance non plus, car le consommateur ne doit pas avoir un choc. Bien des compagnies automobiles possèdent leur propres bureaux de design. La plupart des grands constructeurs possèdent même des bureaux sur d'autres continents pour sonder les demandes et les caprices des marchés locaux. Les compagnies peuvent également consulter des bureaux de design indépendants comme IDEA, Fioravanti, Matra, Heuliez, Silvax, Designworks, Zagato, Motor City, Foresee, Bertone, Italdesign, Pininfarina, Scaglietti, Ghia, ou Karmann qui ont donné certains des plus beaux styles de voitures ....


Sources : © - Wikipédia © - Google Images





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vendredi 27 juillet 2018

Dual Ghia Coupé L 6.4 - 1961











Dual-Ghia est une marque automobile rare et éphémère aujourd'hui complètement disparue, qui produisait des voitures aux États-Unis du milieu des années 50 au début des années 60. L'idée d'une voiture sportive en série limitée est venue du richissime entrepreneur Eugene Casaroll, qui contrôlait le constructeur de véhicules spécialisés Dual-Motors Corporation basé à Detroit dans le Michigan. Le choix du nouveau nom Dual-Ghia s'est naturellement imposé car il est tout simplement représentatif des efforts de collaboration entre les deux firmes, l'américaine et l'italienne ....





Après avoir obtenu les droits sur la conception, poursuivant son idée un peu folle, Eugene Casaroll a demandé au représentant américain de Ghia et à son vice président chez Dual, Paul Farago, de pouvoir étudier et développer cette voiture de série sportive dont il rêvait, mais en petite série limitée adaptée aux contraintes de la production. Il venait de lancer la « ligne d'assemblage la plus longue du monde » qui consistait à transporter des châssis nus mais équipés de leurs trains roulants complets d'origine Dodge en Italie. Chez le partenaire Turinois, la carrosserie et l'intérieur sont fabriqués par les ouvriers de Ghia. Une fois les véhicules partiellement assemblés, ils retournent aux États-Unis chez Dual-Motors qui est chargé de tout le reste des finitions et principalement de l'implantation de la mécanique. Au final tout ce processus s'avère long, fastidieux et très couteux ....





Le design de l'élégante Dual Ghia Coupé L 6.4 s'inspire très largement de plusieurs études de style réalisées par le designer américain Virgil Exner qu'il conçoit avec l'assistance de Luigi Segre de la carrosserie italienne Ghia pour des show-cars concepts extravagants et performants pour Chrysler. Ces voitures d'expositions fascinent tellement Eugene Casaroll, qu’il décide d'en construire au moins une qui rassemblerait le meilleur de la produire en créant la marque Dual Ghia. Son look plutôt audacieux et novateur pour l'époque est clairement destiné à attirer l’attention du public sur les qualités certaines dont elle fait preuve ainsi que sur les nouvelles technologies pouvant être employées sur les prochains modèles de série qui seront mis en production ....





Bien que ce système de production s'avère peu pratique et très cher, la stratégie générale de commercialisation de l'insolite Dual Ghia Coupé L 6.4 est un succès et elle devient rapidement la coqueluche du tout Hollywood. Cet insolite et luxueux cabriolet trouve rapidement des acquéreurs célèbres dans le cinéma, la politique, le sport et aussi le show business et notamment près des italo-américains comme Frank Sinatra et Dean Martin. Ils en font admirablement sa promotion aux côtés des autres membres du Rat Pack, Sammy Davis Jr, Eddie Fisher et Peter Lawford. Elle est également la monture de futurs présidents comme Richard Nixon et Ronald Reagan. Il faut dire que ce somptueux coupé 2 + 2 est construit avec un niveau de qualité très élevé, et donc fatalement il est une fois de plus destiné aux clients riches et célèbres ....





L'étonnante Dual Ghia Coupé L 6.4 est au final tout sauf simple à construire. En fait elle nécessite 1500 heures de travail à Turin et 200 heures de plus à Detroit pour finaliser l'assemblage. Ses coûts de fabrication sont tellement élevées que répercutés sur son prix de vente, son tarif en devient exorbitant et dépasse une certaine réalité face à des voitures d’exception aux performances similaires comme par exemple la Cadillac Eldorado, ou même comparée à des voitures plus impressionnantes comme la Ferrari Superamerica. Finalement cette italo-américaine ne pourra pas survivre auprès d’une clientèle aussi versatile et quelques années seulement après son introduction au Salon de Paris de 1960, la production doit être interrompue. À cette date, seulement 26 exemples et un prototype avaient été commercialisés ....





L'habitacle intérieur de cette élégante Dual Ghia Coupé L 6.4 propose un style à l'italienne fort plaisant avec les instruments cerclés, le cuir surpiqué et la planche de bord en aluminium anodisé du plus bel effet. Pas moins de sept compteurs cylindriques à aiguilles composent le tableau de bord et permettent d'avoir toutes les indications nécessaires à la surveillance de la mécanique. Un superbe volant Nardi à trois branches en aluminium cerclé de bois donne une note sportive. Les moquettes sont épaisses et assorties en coloris à l'ambiance générale. Les sièges semi-baquets en cuir sont très bien dessinés pour offrir un confort maximum. Les accessoires importants sont présents comme par exemple la radio et la climatisation ....





Pour ce qui est de la mécanique de cette Dual Ghia Coupé L 6.4, elle reprend un bloc moteur américain. En effet, elle est motorisée par un moteur Chrysler V8 à 90°série B, qui a une cylindrée d’environ 6,4 litres et qui va fournir le nom au modèle "Ghia L6.4". L'allumage est confié à un distributeur à deux points Mallory pour une étincelle plus fiable. Ce moteur alimenté par 4 carburateurs Carter AFB à double corps délivre une puissance maxi de 335 chevaux à 4.600 tr/min et 410 Nm de couple à 2.400 tr/min, et est accouplé à une boite de vitesses Chrysler Torqueflite, automatique à trois rapports. Ainsi équipée la voiture offrait des performances plutôt haut de gamme pour l'époque avec par exemple une vitesse maximum avoisinant les 225 km/h ....





Caractéristiques techniques :

  • Énergie : Essence
  • Moteur : 8 cylindres en V
  • Cylindrée : 6.4 litres
  • Puissance : 335 chevaux à 4.600 tr/min
  • Couple : 410 Nm à 2.400 tr/min
  • Boite de vitesse : Torqueflite automatique à trois rapports



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube
- © Dual - © Ghia - © Stubs






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vendredi 6 juillet 2018

Hudson Italia Touring Coupé - 1954











La firme américaine Hudson Motor Car Company était une entreprise d'assemblage automobile qui fabriqua des voitures pour la marque Hudson mais aussi pour d'autres marques à Détroit dans l'état du Michigan de 1909 à 1954. C'est seulement à partir de 1954 que la marque Hudson fusionna avec Nash-Kelvinator Corporation pour former American Motors (AMC). Toutefois même après la fusion d'entreprises, la marque Hudson sera conservée jusqu'à l'année modèle 1957, après quoi elle serra définitivement abandonnée ....





Vers la fin des années 50, l'avenir de la marque Hudson semblait compromis et donc le président de l'entreprise, AE Barit, et d'autres dirigeants savaient que leur gamme de voitures était vétuste. En bons entrepreneurs, ils avaient aussi remarqué la bonne visibilité et les commentaires positifs que recevaient les nouveaux modèles sportifs de leurs concurrents. La décision fut prise avec comme idée originale de créer une voiture rapide et sportive, basée sur le modèle "Hornet Hudson" pour concurrencer les sportives d'autres marques avec l'objectif d'accroître la notoriété de la marque Hudson et d'évaluer les idées de style et surtout la réaction du public. Le projet Hudson Italia Touring Coupé était sur les rails ....





La direction de chez Hudson va rapidement décider, comme pour son concurrent Chrysler qui s'était rapproché du styliste Ghia, de prendre contact avec la carrosserie italienne Touring de Milan pour étudier et réaliser un coupé sportif de deux places sur le châssis et la plate forme avec les trains roulants d'un de leur modèle pour des raisons évidentes d'économie. Le choix va se porter sur la Hudson Jet qui servira de base au designer Carlo Felice Bianchi Anderloni de la Carrozzeria Touring pour la réalisation de ce coupé compact à deux portes de série baptisé Hudson Italia Touring qui sera présenté officiellement pour la première fois lors du Salon international de l'automobile en janvier 1954 ....





Basé sur des croquis originaux de Frank Spring le designer maison chez Hudson, le style définitif de la carrosserie étudiée chez Touring par Anderloni sera réalisé sous la supervision du vice-président de Hudson, Stuart Baits. La technique révolutionnaire pour l'époque de construction de la carrosserie toute en aluminium consistait à assembler des feuilles d'aluminium formés à la main sur une cage tubulaire en acier. Ce procédé était baptisé "superleggera" en raison du faible poids final de la voiture. Au final, c'était un coupé sportif d'inspiration européenne qui pouvait rivaliser avec la Corvette ou la Thunderbird de l'époque et donc à classer dans la catégorie des Grand Tourisme ....





L'étonnante Hudson Italia Touring était tout sauf un coupé sportif conventionnel. En fait elle se démarquait vraiment du style et du design de l'époque par de multiples détails vraiment modernes et pas du tout utilisés chez les concurrents. Par exemple le pare brise enveloppant était peu courant à l'époque, mais plus encore les ouïes d'aération de type Abarth au dessus des phares avants et dans les ailes arrières pour aider le refroidissement des freins. L'avant de la voiture offrait un look impressionnant avec un pare-chocs qui arborait un grand "V" inversé support du logo de la marque dans le centre qui chevauchait la grille ovale de calandre. Équipée de roues fil chromées Borrani, la voiture proposait aussi des feux arrière, directionnels et de recul incorporés dans les extrémités de trois tubes de chrome empilés par côté, émergeant des découpes festonnées dans les panneaux de custode. Tous ces détails stylistiques inhabituels donnaient un look vraiment original à ce coupé sportif peu courant ....





L'habitacle intérieur de cette Hudson Italia Touring avait été lui aussi plutôt soigné et plus particulièrement sur le plan de l’ergonomie qui offre des assemblages précis avec des matériaux utilisés de qualité. Une combinaison de revêtement en cuir et vinyle combiné à des moquettes épaisses assorties en coloris donne un intérieur confortable et chaleureux. La voiture présentait une radio (équipement pas encore standard même sur une Cadillac), et des sièges baquets en caoutchouc mousse de trois densités différentes pour un confort maximal recouverts de cuir rouge et blanc avec des dossiers inclinables composés de deux traversins profilés, un pour les épaules et un pour le bas du dos. Pour finir on trouvait aussi la ventilation à flux continu, généralement reconnue comme une innovation et tout cela sur une soit-disant sportive ....





Pour ce qui est de la technique, le coupé Hudson Italia Touring était équipé du moteur de la Jet, un 6 cylindres en ligne de 3.300 cc de cylindrée qui, alimenté par deux carburateurs Carter simple corps délivre une puissance maxi de 115 chevaux à 4 000 tr / min accouplé à une transmission manuelle à 3 vitesses avec overdrive et un levier de changement de vitesse monté sur colonne de direction. Ce bloc moteur en alliage et la culasse en fonte standard est remarquablement fiable et a grandement participé à la solide réputation de Hudson. La voiture était équipée de quatre freins à tambour ....





Caractéristiques techniques :

  • Énergie : Essence
  • Moteur : 6 cylindres en ligne
  • Cylindrée : 3.3 litres
  • Puissance : 115 chevaux à 4 000 tr / min
  • Boite de vitesse : Manuelle à 3 vitesses avec overdrive



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube
- © Hemmings - © Hudson - © Touring


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Le coupé Hudson Italia Touring de 1954 ...








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