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lundi 2 janvier 2017

Giovanni Michelotti Designer






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Giovanni Michelotti est un très célèbre et très réputé designer automobile Italien né le 6 octobre 1921 à Turin en Italie et mort dans la même ville le 23 janvier 1980 qui est largement connu dans l'industrie automobile, car il fut entre les années 1940 et les années 1970, l'un des designers et stylistes les plus prolifiques du XXe siècle qui a signé quelques chefs d’œuvres pour les plus grands constructeurs automobiles ....


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Giovanni Michelotti aurait dit-on dessiné suivant plusieurs sources sérieuses et bien informées plus de 1200 voitures ainsi que des camions et des autobus durant toute sa carrière. Ce designer assez génial et très inspiré a travaillé pour de très nombreux constructeurs automobiles, notamment BMW et Triumph, dont il dessine toute la gamme dans les années 1960, mais aussi pour Ferrari, Maserati, Felber, Daf, Volvo, DKW, Alfa Romeo, Lancia, Rédélé, Matra, Alpine, Hino, Prince, Siata, Abarth, Osca, OSI, Conrero, Zeta, Fiat, Dodge, Plymouth, Cunningham, Packard, Armstrong Siddeley, Lotus, Ford, Austin, BMC, Reliant, Neckar ou Jaguar ....


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Tout juste âgé de 16 ans et venant de terminer sa scolarité, Giovanni Michelotti est embauché en 1937 comme apprenti chez le carrossier Giovanni Farina pour suivre les traces de son père alors employé dans l'atelier d'usinage de moteurs de Turin. Passionné de dessin, il fait ses premières armes avant d'être remarqué par la direction qui deux ans plus tard le nomme en 1939 à 18 ans dessinateur en chef de la firme. Mais la guerre va interrompre brutalement son curcus et ce n'est qu'à la fin du conflit qu'il va pouvoir signer de nombreuses carrosseries pour Ghia, Bertone, Allemano, Pininfarina ou Vignale car il maîtrise l'ensemble de la chaîne conduisant à un prototype, depuis l'esquisse initiale jusqu'à la maquette à l'échelle 1 ....





La General Motors lui propose au milieu des années 50 de prendre la direction de son bureau de style, mais il décline l'offre, préférant exercer son art à Turin avec ses confrères et amis carrossiers. C'est à cette époque qu'il a les honneurs d'habiller les premières Abarth 204 et 205 qui ne soient pas de strictes voitures de course. Pour ce même constructeur il dessinera aussi l'élégant coupé 2200 Allemano, le petit Spyder 207/A, la berlinette 750 MM, et le joli coupé Abarth 850 Scorpione ....





Depuis la fin de la guerre, les carrossiers italiens imposent sans réelle concurrence leur vision du design automobile. Ghia, Touring et PininFarina sont les maîtres incontestés. Quelques outsiders savent aussi se faire remarquer comme Giovanni Michelotti qui signe le dessin de la Cunningham C3 Continental. Les américains feront encore appel à ses services par l'intermédiaire du groupe Chrysler qui à partir d'un dessin de Michelotti produira la Dodge Zeder présentée à Turin en 1953 ....





Après-guerre, les grandes marques françaises de prestige sombrent les unes après les autres. Les grosses cylindrées disparaissent, mais une poignée d'artisans vont se satisfaire des petits moteurs fabriqués par Panhard, Simca ou Renault pour assouvir leur passion et Jean Rédélé est de ceux-là. La Rédélé Le Marquis dont les lignes sont l’œuvre de Michelotti est exposée à l'Auto Show de New York en janvier 1954. Plus tard Rédélé transformera sa marque en Alpine et confiera encore le design de ses nouvelles berlinettes Alpine A 106 et Alpine A 108 à Giovanni Michelotti ....





Au début des années 60, Giovanni Michelotti va dessiner la superbe Maserati 5000 GT qui sera confiée à la carrosserie Allemano. Cette voiture construite à seulement 22 exemplaires s'adresse aux personnes les plus riches de la société, pour qui une 3500 est trop commune. Évolution de la 3500 GT, la Maserati Sebring construite à 591 exemplaires est commercialisée en 1963. Sa carrosserie produite par Vignale sur un dessin de Michelotti paraît bien plus moderne que celle de sa devancière ....





Giovanni Michelotti va bien sur également travailler pour Fiat pour qui il dessinera au milieu des années 50 la très étonnante Fiat V8 Démon Rouge. Cet insolite coupé dessiné par Michelotti se distingue par son pare-brise panoramique, sa lunette inversée et sa casquette en prolongement du toit. En 1966, Michelotti expose au Salon de Genève un insolite coupé 2 + 2 Fiat 2300 S pourvu de roues à rayons et de phares semblables à ceux de l'Opel Kapitän. Plus tard, vers la fin des années 60, le styliste propose deux nouvelles interprétations assez proche de la Fiat 850. Enfin, Michelotti dévoile au Salon de Genève 1969 un coupé Fiat 125 aux lignes assez novatrices dont l'arrière étonne par la forme plutôt originale du coffre ....





Un autre constructeur transalpin, Lancia, fera également appel au talent de Govanni Michelotti en lui confiant dès 1957 le dessin d'une variation de sa vieillissante berline Appia pour la transformer en cabriolet Lancia Appia Convertible. Présenté au Salon de Turin, ce cabriolet est bas, racé et aux antipodes du style sévère de la berline née en 1953. Jusqu'en 1962, ce ne sont pas moins de 1.586 exemplaires qui trouvent preneurs, malgré un prix de vente très élevé. Au Salon de Genève 1962 est présentée une nouvelle version de la Lancia Flavia Convertible. Ses lignes sont dues à Michelotti, et il s'agit d'une des rares décapotables à quatre places du marché. La Flavia cabriolet s'adresse à une clientèle choisie, elle sera produite en 1.601 exemplaires jusqu'en 1967. En 1974, Giovanni sera chargé d'embellir et aussi de moderniser la triste berline Beta, il va donc dessiner l'insolite Lancia Mizar ....





Giovanni Michelotti dessinera aussi des voitures pour de très nombreux autres constructeurs aussi bien sur le marché européen que pour les États-Unis ou aussi le Japon. Il proposera par exemple sur le marché Japonais la berline Prince Skyline commercialisée à partir d'avril 1962, en version cabriolet et coupé. Il présente également à Turin en 1963 le petit spider Neckar StTrop 1200 S construit sous license OSI. Michelotti va encore créer ce superbe Coupé Jaguar D équipé de tous les accessoires mécaniques de la marque. Il dessinera aussi la Zeta, cette insolite automobile australienne sans portes équipée d'un moteur ZF. Mais aussi la Hino Contessa japonaise en version berline et coupé. En 1965, la Ford Anglia Torino destinée au marché du Benelux et de l'Italie. Plusieurs Ferrari sur commande de Luigi Chinetti ou de Felber seront aussi étudiées par Michelotti. On lui doit également des modèles originaux mais moins courants pour Volvo, Daf, Matra, Lotus ou DKW ....





Giovanni Michelotti sera un designer attitré de BMW dont il dessinera quasiment toute la gamme dans les années 60. Il est sollicité en 1957 pour proposer un aspect plus moderne aux productions bavaroises. Sa première création significative est la BMW 700, dans ses différentes versions de carrosseries, coach, cabriolet et coupé. Suivra ensuite le très élégant coupé BMW 507 exposé au Salon de Turin 1959. C'est toujours lui qui dessinera les berlines BMW 1500 et BMW 1800 assez largement influencé par la Chevrolet Corvair. On lui doit encore pour le compte de BMW, la 600, la 1600, la 2002, ou la 3200, qui ont largement participé au positionnement de la marque sur le marché mondial en tant que fabricant de voitures de sport ....





La plus importante collaboration de Giovanni Michelotti avec un constructeur sera celle qu'il va entretenir avec la marque britannique Triumph dont le tout premier modèle, le coupé Triumph Italia sera présenté au Salon de Turin en 1958 en combinant un châssis et une mécanique ayant fait ses preuves avec l'élégance d'une carrosserie italienne. Rapidement va suivre la Triumph Herald disponible en berline deux portes, coupé, cabriolet et break, et qui préfigure une longue collaboration avec le constructeur anglais durant les années soixante. Il va aussi dessiner le roadster Triumph TR4 avec quelques trouvailles qui ont fait date dans l'histoire de l'automobile, comme les phares intégrés à la calandre et munis d'une petite visière concédée par le capot. il signe encore les lignes de la Triumph Spitfire dévoilée au Salon de Londres 1962. On lui doit encore les berlines Triumph 2000 et 2500 PI, les coupés Conrero et Vitesse, puis les berlines 1300 et 1500 suivies de la fameuse Triumph Dolomite Sprint à vocation sportive qui terminera sa carrière en 1980 ....


Sources : © Wikipédia - © Google Images - © YouTube
- © Michelotti - © Carcatalog





L'atelier de Giovanni Michelotti ...



Giovanni Michelotti Designer ...





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samedi 11 février 2012

Audi 100 Coupé S - 1972



AUDI 100 COUPE S ….








L’allemand « August Horsch » ex-employé de la société "Benz" fonde en 1909 la société « Audi Automobilwerke » pour luter contre son ancienne société "Horch & Co" dont il avait été licencié étant devenu actionnaire minoritaire . Dés années 10 aux années 30, le combat sera rude, non seulement avec "Horch", mais aussi avec "DKW" qui finira par l’absorber . En 1932, le groupe « Auto Union » est formé qui regroupe les marques « Audi », Horch, DKW, Wanderer et plus tard NSU . Après guerre, en 1965, Wolkswagen prend le contrôle du groupe et ce n’est qu’en 1974 que la marque « Audi » redevient un label indépendant filiale de VW . Depuis, la marque est plutôt spécialisée dans la berline bourgeoise cossue confortable et fiable, ce qui ne l’empêche pas d’être techniquement sophistiquée et innovante ….





La première Audi de l'ère Volkswagen est la F102, une traction avant avec un moteur de trois cylindres de faible cylindrée . Mais Volkswagen entend faire revivre avec Audi la réputation de luxe et de confort qui était celle qu'occupait Horch, un des quatre constructeurs qui formait le groupe Auto-Union, symbolisé par les quatre anneaux . C'est chose faite en 1968 avec la toute première génération de l'insolite Audi 100 . Cependant, pour trouver une clientèle plus stratégique, la marque doit détenir dans sa gamme une voiture de taille moyenne, de façon à toucher une clientèle plus large . Développée sur un châssis d'Audi 100 raccourci, la très étonnante Audi 100 coupé S est le premier coupé de la marque aux quatre anneaux . Présentée en 1969 au salon de Francfort, elle est commercialisée à partir de 1970 . Finalement l’insolite Audi 100 Coupé S arrive à point pour épauler la berline 100, dont il constitue un dérivé sportif de qualité ….





S’il est construit sur la base de la berline 100, dont l’empattement a été raccourci à 2,56 mètres, le joli coupé Audi 100 Coupé S a été entièrement redessiné . Sans aller jusqu’à l’originalité du coupé BMW 2800 CS qui lui est contemporain, son design très réussi offre un caractère autre que la berline qui lui permettra de traverser le temps sans trop en subir les outrages . La ligne typée italienne n’est pas sans évoquer le coupé Fiat Dino de Bertone, en particulier le profil fort élégant et le pavillon aux larges surfaces vitrées . La face avant dépouillée arbore des phares jumelés, tandis que la partie arrière cède à la formule du fastback alors très en vogue à l’époque . Les ouïes d’aération sur les panneaux de custode et les roues au look sportif sont typiques de la panoplie des voitures survitaminées produites dans ces années . Sur le marché européen des coupés deux litres à tendance sportive ou de caractère, la voiture est opposée à des modèles aussi différents que l’Alfa Romeo 1750 GTV, le coupé Lancia Flavia 2000 et le coupé Peugeot 504 . On peut également citer, bien qu’il s’agisse d’une berline deux portes, la BMW 2002 TI . Toutes ces voitures développent à l'époque une puissance comprise entre 110 et 125 ch. La belle Audi 100 Coupé S fera toutefois une carrière discrète, un peu à l’image de la Lancia ....





Avec ses dimensions généreuses, l'insolite Audi 100 Coupé S offrent quatre vraies places et donc l’habitacle se révèle comme l’un des plus spacieux de sa catégorie . Quatre adultes y trouvent aisément leurs aises avec leurs bagages . De plus, le moelleux des sièges et la souplesse de la suspension dispensent un confort assez surprenant chez une voiture allemande peu commun à l’époque . Mais cette qualité a un revers et l’insolite Audi 100 Coupé S offre plus le comportement d’une grande routière que d’une véritable sportive, un genre de GT mais sans vraiment la mécanique qui devrait aller avec . La finition est très soignée et l’ambiance générale quoique germanique est de bon ton avec du bois, du cuir, de l’alcantara, une console centrale avec levier de vitesse au plancher, et un tableau de bord assez élégant et bien disposé . Ce coupé Audi 100 Coupé S sera produit jusqu’en 1976 sans grand changement notable, seule la proue fera l’objet d’une légère retouche en 1973, plus anguleuse et semblable aux modèles 80 présentés un an plus tôt, elle sera alors commune à l’ensemble de la gamme 100 ....





Pour ce qui est de la mécanique que propose en série la très Vintage Classic allemande Audi 100 Coupé S, sous son capot prend place le quatre cylindres en ligne à 8 soupapes et arbre à cames latéral de 1,8 litre qui équipe la Super 90, mais réalésé à 1,9 litre et qui devient ainsi super carré . Avec également l’appoint de deux carburateurs 32 TDID Solex Compound (au lieu d’un seul sur la Super 90), la puissance passe de 90 chevaux à 115 chevaux à 5500 tr/min et le couple monte à 160 Nm à 3500 tr/min . Cette mécanique restera la plus puissante de la firme jusqu’à l’apparition du cinq cylindres à injection en 1976 . Elle offre 185 km/h au coupé 100 S et le 0 à 100 km/h en moins de 11 secondes . La transmission est confiée à une boite manuelle à quatre rapports en série et une boite automatique à trois vitesses en option . La production de la jolie Audi 100 Coupé S s'arrête en 1976 après 30.787 unités distribuées et il faudra attendre 1980 pour voir réapparaître un coupé chez Audi avec l'Audi GT dérivée que la Quattro ....





Caractéristiques techniques :

  • Moteur : 4 en ligne
  • Cylindrée : 1.9 Litres
  • Puissance : 115 chevaux à 5500 tr/min
  • Couple : 160 Nm à 3500 tr/min
  • Vitesse : 185 km/h
  • Accélération : Le 0 à 100 en 10’’6








La belle « Audi 100 Coupé S », c'est ça ...



La belle « Audi 100 Coupé S », c'est ça ...






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samedi 10 avril 2010

Puma GTS - 1970



PUMA GTS ….







Le Brésil est plus connu pour ses footballeurs géniaux du genre "Pele ou Ronaldo" ou ses fameuses plages et sa samba, que pour son industrie automobile et encore moins ses voitures sportives . En fait, il faut savoir que pendant plusieurs décennies, le brésil avait adopté une réglementation très stricte qui devait restreindre les importations et donc encourager la production automobile nationale . Cette législation a engendré la création de petits constructeurs locaux comme la « Sociedade de Automoveis Luminari » dont les origines remontent à 1962 à Sao Paolo ou un italien expatrié dénommé « Gennaro Malzoni » met en place la construction d’une petite berlinette sportive à moteur arrière DKW construit sous licence . A partir de 1968 et suite au rachat au Brésil de DKW par Volkswagen, la société adopte les composants mécaniques et les moteurs VW et du coup change de nom pour devenir « Puma Veiculos e Motores Ltda » ….



La Puma GTS est communément appelé « la plus grande voiture de sport "inconnue" du monde " . En effet les collectionneurs connaisseurs ont vite repéré cette berlinette insolite et méconnue qui a des allures de GT Italiennes sans avoir la même célébrité . La voiture fut commercialisée sous la marque Puma à partir de 1966 et au fil des ans et des versions sera déclinée en coupé, en roadster et en cabriolet . Basée sur un châssis et des trains roulants de VW, la carrosserrie est en fibre de verre . Stricte coupé 2+2 avec moteur en porte à faux arrière, elle offre une ligne harmonieuse très réussie dans la droite lignée des meilleurs stylistes italiens . Campée sur de belles jantes aluminium, elle a un look agréable même en version cabriolet et offre, surtout à l’époque, une alternative intéressante pour qui cherche ce genre de voiture. L'ultime évolution de cette lignée fut construite jusqu'en 1985, année de la fermeture, elle était équipé d'un 6 cylindres Chevrolet ….



La Puma GTS démarrera sa carrière sous la marque "Puma" à partir de 1966, avant de devenir "Puma GT" puis "Puma GTE" et enfin "Puma GTB" au fil des ans et des versions successives . En juin 1968, le moteur VW 1500 remplaçait le DKW et la voiture évolua esthétiquement . Un an plus tard, un 1600 cm3 VW se substitua au 1500 et la voiture s'appelait désormais Puma GTE . A partir de 1971, la gamme fut étendue avec l'introduction d'un spider GTS . Au cours des années 70, la voiture était vendue sous forme d’un kit aux Etats Unis, mais aussi sous la forme de voiture complète pour le marché Canadien et également en voiture complète pour l’Europe par le biais d'un importateur Suisse (Puma Automobil Handels AG) à Zürich . En 1968, le directeur marketing de la revue automobile brésilienne Quatro Rodas eu l'idée d'une campagne promotionnelle pour son magazine . Le premier lot était une Puma, qui fut construite spécialement pour ce concours . Elle était équipée d'un moteur VW 1600 cm3 et fut baptisée « GT 4R », et construite en 3 exemplaires . Sa carrosserie était inédite, et se distinguait par des formes vraiment modernes ....



Ce qui range à coup sur la Puma GTS dans la catégorie des Gt, c'est assurément son look de Ferrari et son caractère exclusif . Elles seront produites jusqu'en 1985, lorsque l'affaire sera récupérée par Alfa Metais Vehiculos Ltda, et relancée jusqu'en 1993, avec le moteur de la VW Passat . Jusqu'en 1985, année de fermeture de l'usine de Sao Paulo, plus de 22.000 Puma furent construites, avec des pics à plus de 3000 unités par an à la fin des années 70 . Bref, même si la Puma GTS reprend de nombreux éléments Volkswagen, et la même mécanique, elle semble réunir tous les ingrédients d'une véritable GT surtout pour son époque . Ne boudons pas notre plaisir, cette propulsion rare et indémodable qui est déclinée en deux versions, Coupé ou Spider semble toujours de nos jours aussi désirable ....



Caractéristiques techniques :

  • Moteur : 4 à plat
  • Cylindrée : 1.6 Litres
  • Puissance : 105 chevaux
  • Vitesse : 190 km/h






La Puma GTS, c'est ça ...



La Puma GTS, c'est ça ...





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mercredi 14 janvier 2009

Volkswagen – Insignes et logos










On sait de nos jours que ce constructeur automobile allemand sans doute le plus connu du monde doit sa création au tristement célèbre Adolf Hitler . Fondée en 1937 sur ordre du dictateur par le fameux Docteur Ferdinand Porsche, la firme « Volkswagen » va vite devenir après guerre le troisième constructeur mondial derrière les deux géants américains General Motors et Ford . Leader européen incontesté, la firme va adopter une politique de rachat pour mieux lutter contre la crise des années 70 en englobant Audi, NSU, Auto Union ou DKW ….




Une grande partie du fameux miracle commercial de « Volkswagen » est imputable au phénomène de la mythique « Coccinelle », ce modèle culte le plus vendu dans le monde au fil de ses multiples versions à environ 25 millions d’exemplaires . A partir des années 80, le succès aidant, Volkswagen va poursuivre sa politique de rachat avec Séat et Skoda tout en complétant sa gamme avec des familiales, des breaks, des coupés, des cabriolets et même quelques sportives aux mécaniques modernes appréciées par la clientèle moyenne . De nos jours la firme est tombée dans le giron de Porsche ….



Pour ce qui est des appellations, des badges ou des logos, les modèles « Volkswagen » seront principalement baptisés avec des noms propres comme les séries Passat, Santana, Scirocco, Golf, Polo , Jetta, Corrado, ou Sharan ….






























De nos jours, "VW" c'est aussi ça ...






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