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vendredi 7 octobre 2022

La voiture volante SkyDrive











Qui n'a jamais rêvé de survoler les embouteillages plutôt que d'être coincé dans sa voiture? Le fantasme éternel des voitures volantes, popularisées en particulier par le cinéma avec "Blad Runner" le film de Ridley Scott ou aussi "Le cinquième élément" de Luc Besson, appartiennent de moins en moins à la science-fiction et devient une réalité à portée de main car plusieurs startup comme par exemple SkyDrive y croient dur comme fer et travaillent d'arrache pied sur ce projet ....





Une course technologique effrénée se joue actuellement pour être le premier à développer ces prototypes de voitures volantes. Si Airbus a réussi à faire voler son véhicule volant sans pilote depuis le mois de janvier 2018, c'est au tour de la start-up japonaise SkyDrive et de Toyota de concrétiser leur premier vol d'essai. En fait, c'est un genre de consortium japonais qui vient de se créer avec Suzuki qui vient de s'allier à Toyota pour prendre une participation dans SkyDrive ....





La société NFT, basée à Mountain View aux Etats-Unis, en plein cœur de la Silicon Valley travaille elle aussi sur ce projet et compte faire une certaine impression "avec un concept gagnant qui va nous permettre de fabriquer la Ford T des voitures volantes, une version low-cost", explique le co-fondateur Guy Kaplinsky. Le constructeur très haut de gamme Aston Martin, a lui aussi présenté, comme SkyDrive, un prototype de voiture volante l'été dernier. On est bien loin de la production de masse car son "Volante Vision Concept" pourrait coûter la bagatelle de 9 millions de dollars ....





La plateforme de réservation de voitures Uber, avec son initiative "Elevate", promet notamment de désengorger les transports urbains avec des taxis volants. En 2017, il avait indiqué viser 2020 pour le début des vols de démonstration à Los Angeles et 2023 pour le lancement des vols commerciaux accessibles par son application. L'appareil "Flyer" conçu par la start-up Kitty Hawk, financée par le cofondateur de Google, Larry Page, est lui déjà disponible en pré-commande mais il s'agit d'un "engin de loisirs". Autant de projet qui marchent sur les plates bandes de SkyDrive et son concept futuriste Cartivator ....





SkyDrive cherche à promouvoir une nouvelle vision de la mobilité dans laquelle les personnes peuvent être transportées quotidiennement dans les airs. La start-up planche sur le développement, la fabrication et la commercialisation d'un véhicule autonome volant, ainsi que d'un drone cargo. Ce dernier est d'ailleurs déjà utilisé sur des chantiers au Japon, principalement dans les zones montagneuses, et peut transporter des charges utiles allant jusqu'à 30 kg ....





SkyDrive, a révélé qu’elle a obtenu un certificat de sécurité du ministère japonais du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme (MLIT). Le certificat de sécurité délivré par l’organisme japonais confirme que « la conception, la structure, la résistance et les performances répondent aux exigences nécessaires en matière de sécurité et d’environnement » . La société SkyDrive se dit « très heureuse d’avoir obtenu cette certification et ajoute qu’elle continuera à travailler en étroite collaboration avec le gouvernement et le MLIT pour achever le développement d’une voiture volante totalement sûre et fiable » ....





Mais ses caractéristiques sont encore loin de faire rêver. Et pour cause, avec une seule place à son bord, le SD-03 ne possède que 10 minutes d’autonomie pour une vitesse maximale de 48 km/h. SkyDrive ambitionne donc d’améliorer ses performances avec, à termes, une vitesse maximale de 64 km/h pour une autonomie de 30 minutes. Un modèle biplace est également en projet, mais SkyDrive n'est pas le premier à se lancer sur ce marché naissant. Son compatriote Honda a également mis le cap vers les taxis volants. Le Coréen Hyundai s'est également lancé dans un projet similaire. Fiat-Chrysler s'est rapproché de la start-up Archer, tandis que Toyota a investi dans SkyDrive et Job Aviation. Quant à Audi et Porsche, ils ont aussi montré leur volonté de se lancer sur ce sujet ....




La voiture volante SkyDrive ....



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © SkyDrive
- © UsineDigitale - © AutoNews - © Capital - © AutoPlus





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vendredi 22 juillet 2022

Les concept cars vintage de la General Motors











General Motors ou GM est un constructeur automobile américain basé à Détroit dans le Michigan, aux États-Unis, qui contrôlait encore une quinzaine de marques à la fin des années 1990. La société fondée en 1908 par William Crapo Durant possédait des marques célèbres comme Buick, Chevrolet, Chrysler, Cadillac, Oldsmobile, GMC, Holden, Vauxhall ou Pontiac. General Motors est le premier constructeur aux États-Unis de 1931 à 2020 avec 2,2 millions de véhicules vendus en 2021....





Cet article parle d'un temps révolu, celui d'une époque heureuse et insouciante où l'automobile faisait encore rêver, où l'amateur de belles mécaniques ronflantes passait pour un honnête homme. C'était avant que de lourds nuages ne s'abattent sur l'automobile, la mortalité routière, la congestion et les bouchons, la pollution et les chocs pétroliers. Les temps ont bien changé, qui font aujourd'hui du fou de bagnole un "has been" rejeté par le monde moderne. Ce billet va donc vous plonger dans l'imagination débordante des années 50 et 60, cette période bénie des dieux du design et synonyme de rêve au pays de l'Eldorado automobile ....





En fait, dans les années 50 et 60, chez nous en France vont apparaitre l’Ami 6, la R4 ou la Simca 1000, et donc ce fameux rêve avait une patrie, les États-Unis, pays de cocagne de l'automobile. Eldorado de tous ceux qui, en culottes courtes, rêvaient déjà de voitures hors du commun. Une terre qui engendra la notion même, et le vocable de "dream car". Exemple unique au monde d'un pays, où à l'époque tout l'espace social est pensé en fonction de la voiture. Avec un mode de vie centré sur l'automobile, l'American way of life a tout d'un "Automotive way of life". Chez GM, on forme des jeunes étudiants avec des cours de design, de style avancé, de façonnage des maquettes et des cours de prototypage ....





Rien d'étonnant, dans ces conditions, à ce que l'automobile américaine se soit imposée partout comme la référence. Déjà dans les années 30 la " ligne fuseau Sochaux " chère à Peugeot était une copie de la Chrysler Airflow, tandis que, grand admirateur de Henry Ford, Louis Renault imitait le style de Dearborn. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les Etats-Unis donnent pareillement le ton avec la ligne ponton qui se généralise, avant que, dans les années cinquante, lignes acérées et ailerons de l'Amérique triomphante débarquent elles aussi rapidement en Europe ....





Juste après-guerre, Harley-J Earl, le grand patron du design GM, encourage toutes ses équipes de stylistes et designers à créer des concepts de toutes sortes. Dans le pays qui a inventé le marketing, le design est conçu comme une arme commerciale, qui doit inciter les consommateurs américains à renouveler le plus fréquemment possible leur véhicule. A partir de 1955, c'est à un sidérant rythme annuel que se fait le renouvellement des modèles par le design. On ne dit plus une Chevrolet ou une Cadillac, mais une Chevy 57 ou une Cad 59. Dans les bureaux de style, qui fonctionnent comme de véritables laboratoires d'idées, les créateurs font leur l'adage célèbre de Raymond Loewy, " la laideur se vend mal " ....





Les chefs designers des grands constructeurs sont alors de puissants personnages de l'industrie automobile d'outre-Atlantique. Les bureaux d'études fonctionnent à plein et proposent des dessins de voitures à qui mieux mieux. Star doté d'un pouvoir considérable au sein de G M dont il fut vice-président et maître absolu du design américain sur lequel il régna pendant plus de trente ans, Harley Earl fut comparé à un empereur romain. Il est vrai que près de cinquante millions de voitures ont porté sa griffe. C'est l'époque où la GM invente le Motorama, salon itinérant qui sillonnera le pays d'Est en Ouest de 1949 à 1961. Version de la caravane publicitaire, ce show présentait au public les concept cars du groupe dans des mises en scène à l'américaine présentant les voitures du futur. Les Motoramas obéissaient également à une préoccupation plus opérationnelle, tester les réactions des prospects face aux études de style et aux innovations imaginées par les designers ....





C'est à cette époque que certains concepts cars peuvent être totalement extravagants, et apparaitre comme de purs délires dont la ligne est fortement influencée par les jets de l'aviation américaine, un thème qui passionnait alors le public. Mais la prospective est un art difficile. En 1950, les dessins d'anticipation faisaient voler les voitures à l'horizon de l'an 2000. Au milieu des années 1960, GM met même en place une équipe de stylistes de la division Pontiac du Design Center qui doit travailler sur de nouveaux projets développés dans le studio “secret” mis en place par le designer maison Bill Mitchell, le “Warehouse Studio” situé à l’extrême sud du centre technique. Les dream cars de l'époque sont le plus souvent d'authentiques véhicules de recherche, voire dans certains cas de véritables prototypes. Ceci concerne aussi bien la technique que le design. Dans le premier cas, le véhicule futuriste explore une voie qui paraît réaliste, en tout cas au moment où il est présenté ....





C'est ainsi que tout au long de ces années de rêve vont s’enchainer les croquis, les dessins, les études de styles, les maquettes réduites, les modèles à l'échelle 1 en bois ou en clay. Sur un plan esthétique, les concept cars de la General Motors préfigurent les modèles de production et nombre de leurs traits novateurs seront repris quelques années plus tard sur les voitures de série. Car le propre de ces "dream cars" de Detroit est d'offrir à l'Américain moyen la chance de transformer rapidement son rêve en réalité. En europe, Pinin Farina reprendra ce style pour dominer l'espace européen de ses lignes orthogonales avec ses Peugeot 404, Austin Cambridge et Morris Oxford, Lancia Flaminia, Fiat 1800. L'audace des ailerons conquerra même la très respectable dame de Stuttgart avec les Mercedes séries 110, 111 et 112 ....


Sources : © Wikipédia - © Google Images - © GM
- © Gilles Bonnafous - © MotorLegend - © LignesAuto





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vendredi 17 septembre 2021

Chrysler D'Elegance Ghia - 1952











Chrysler est un constructeur automobile américain créé en 1925 par Walter Chrysler. C'était à l'origine une marque de luxe en concurrence avec Cadillac, Packard, Duesenberg, Cord et Lincoln. Chrysler était la première marque dans le portefeuille de ce qu'on appelait alors Chrysler Corporation avant de devenir au début des années 2000 une division autonome de Daimler Chrysler AG, la société issue de la fusion de Chrysler et de Daimler-Benz. Début 2010, Daimer va céder Chrysler au Groupe Fiat avec l'intention de faire de la marque une marque grand public avec des caractéristiques haut de gamme ....





La voiture qui illustre ce billet, l'étonnante Chrysler D'Elegance est un concept-car réalisé par Chrysler et Ghia présenté en 1952. C'est une étude de style donnée par Virgil Exner qui est le quatrième concept-car entre Chrysler et Ghia. La Chrysler d’Elegance est le résultat d’une collaboration étroite entre le géant de Détroit et le petit carrossier italien qui a souvent pris plaisir à habiller de grandes américaines dans les années d’après-guerre. Le somptueux coupé a frisé la production mais ne fut finalement fabriqué qu’en une très petite série homologuée. Il s’arrache aujourd’hui à prix d’or ....





La Chrysler D'Elegance est un coupé sportif basé sur le châssis d'une Chrysler New Yorker. Inspirée par les Facel Vega françaises, elle adopte un style européen, aux lignes arrondies avec des pneus à flanc blanc. Certains éléments rappellent cependant le style américain, comme la calandre à mailles. Ses lignes donneront naissance quelques années plus tard au Forward Look, recherché par Virgil Exner ....





Le cockpit ovoïde et la forme audacieusement saillante des passages de roues arrière sont en fait des éléments stylistiques communs et font de cette superbe Chrysler D’Élégance l'un des concepts les plus emblématiques de tous les temps. La couleur vive, les nombreuses touches de chrome dont les grandes roues à rayons chaussées de pneus à flanc blanc et le long capot au bout duquel se trouve une grande calandre en forme de bouclier imposent leur style resplendissant. Les ailes arrière musclées, se décrochant visuellement du reste de la carrosserie au niveau de la chute de toit typée “fastback” à l’arrière de la voiture sont une signature du célèbre designer Giovanni Savonuzzi, travaillant pour le carrossier italien Ghia, qui a réalisé la carrosserie de ce coupé américain ....





On ne sait pas si Virgil Exner et Giovanni Savonuzzi ont été inspiré par une création de Jean Daninos, le fondateur de Facel Vega, mais avec son étonnante Chrysler D'Élégance exposée au Salon de l'automobile de Paris en 1952, il étonne le monde par une longue ligne horizontale allant des ailes avant aux larges passages de roues arrière arrondis. À cela, s'ajoute une grande "bouche" avant recouverte d'une large grille à mailles, des phares encastrés enfoncés dans des évidements et une longue malle qui intègre le couvercle de la roue de secours ....





L'insolite Chrysler D'Élégance propose des touches de style à l’américaine qui sont perceptibles dans l’abondance de détails chromés de l’auto, comme les feux arrière faisant penser à un viseur de pistolet, une fantaisie qui a d’ailleurs inspiré ceux de la Chrysler Imperial de 1955. Même la roue de secours offre un spectacle incroyable car elle est placée dans le coffre, mais elle peut en être extirpée par un spectaculaire système hydraulique qui permet de la déposer au sol sans effort ....





L'habitacle intérieur de la Chrysler D'Élégance est vraiment plutôt luxueux et assez cossu, remarquable par l'excellence de sa finition. La position de conduite est agréable et les sièges en cuir assurent un bon confort. Le volant trois branches domine la planche de bord pourvue de quatre petits cadrans circulaires, ampèremètre, température d'eau, jauge d'essence, et pression d'huile sont disposés sur le tableau de bord, au centre de deux gros compteurs pour le tachymètre et le compte-tours. L'habitacle est couvert d'un superbe cuir bicolore et dispose également d'un set de maroquinerie de voyage sur-mesure ....





Sous le capot de la belle Chrysler D'Élégance les ingénieurs de la marque chargés de la technique ont choisi un V8 Hemi de 5.424 cm3 développant une puissance de 183 chevaux pour un couple de 423 Nm associé à une transmission automatique PowerFlite. Loin d’être un foudre de guerre, la Chrysler d’Elegance Ghia accélère alors péniblement de 0 à 100 km/h en 13,6 secondes avant d’atteindre une vitesse maximale de 170 km/h ....





Caractéristiques techniques :

  • Énergie : essence
  • Moteur : V8
  • Cylindrée : 5424 cm3
  • Puissance : 183 chevaux à 6000 t/mn
  • Couple : 423 Nm à 3.600 t/mn



Sources : © Wikipédia - © Google Images - © Motor1
- © Ghia - © JP Echavidre - © Chrysler - © SuperCars





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vendredi 19 février 2021

Alec Issigonis - Designer









Alec Issigonis de son véritable nom Alexandre Arnold Constantine Issigonis est un designer industriel et ingénieur britannico-turc né à İzmir en Turquie le 18 novembre 1906 et décédé le 2 octobre 1988 à Edgbaston dans le comté de Birmingham en Angleterre. Son père est ingénieur, ressortissant britannique, et sa mère, d'origine allemande, amena son fils Alec en Angleterre, à la mort de son père et après la défaite de l'armée grecque face à l'armée d'Atatürk en 1922 ....





Après avoir terminé ses études secondaires, Alec Issigonis s'inscrit à l'examen d'entrée de l'école polytechnique de Battersea pour faire des études supérieures, mais il rate trois fois cet examen à cause du niveau élevé des mathématiques. Ayant le rêve de devenir ingénieur automobile dès son plus jeune âge et comme il excellait en dessin mécanique, il ne se laissera pas décourager par son échec à polytechnique et s’engage dans un cycle de trois années d’études d’ingénieur en génie mécanique. Finalement il sort diplômé en tant qu'ingénieur et sa mère lui offre une voiture, une Singer 10 Weymann ....





Dipôme en poche Alec Issigonis entre alors dans la vie active professionnelle et il commence à travailler en 1928 en tant que dessinateur et commercial pour un bureau d’étude automobile qui développait un type d’embrayage semi-automatique chez Edward Gillet. Il est alors en contact avec Chrysler et Humber, intéressés par ce projet. Humber l’engage alors pour étudier une nouvelle suspension à triangle supérieur et ressort à lame transversal. On le retrouve pendant ses loisirs au départ de quelques compétitions automobiles locales, mais sans résultats probants. ....





Avec sa première paye, Alec Issigonis s’achète une Austin Seven qu’il va transformer afin de participer plus surement à des courses. Mais son rêve le plus secret est de concevoir une automobile complète. Après de longues ébauches il réalise avec son ami George Dowson une voiture de course, la "Lightweight Spécial". C'est déjà un prototype de course construite sans l’aide d’outils de production professionnel qui a pour particularités très innovantes une suspension composée d'anneaux de caoutchouc, et un dispositif permettant une modification rapide du carrossage des roues ....





À l'âge de 30 ans, Alec Issigonis jouit d'une réputation montante qui lui permet d’entrer au département « études » chez Morris. D'abord affecté au poste d’ingénieur du train-roulant, il développe sa connaissance des systèmes de suspension indépendante, moins onéreux que les autres et met au point un système de ressorts de suspensions indépendantes à la place des lames de ressort pour la Morris Ten de 1938. Finalement il est nommé "Project Engineer" pour toute la gamme Morris et va concevoir la Morris Minor qui sort en 1948 ....





Encouragé par le succès de la Morris Minor, Issigonis continue ses recherches en design chez Morris Motors, mais des dissensions internes entre les employés des deux anciens concurrents le poussent à quitter la société. Il démissionne de peur de perdre sa liberté dans une si grosse entreprise et intègre la société Alvis pour concevoir un véhicule expérimental avec un V8 de 3,5 litres de cylindrée et d'une puissance de 130 chevaux. Finalement quand Morris fusionne avec Austin Motor Company en 1952 pour former la British Motor Corporation, Sir Leonard Lord, le patron de la BMC, demande à Issigonis de plancher sur une voiture économique pour 4 adultes et leurs bagages, avec pour seule contrainte d’utiliser un moteur déjà fabriqué par la firme ....





En 1956, Alec Issigonis commence la conception de la célèbre Morris Mini Minor, petite automobile économique et populaire à moteur transversal, présentée à l'été 1959. Innovante, unique, iconique, la Mini a fait sensation avec son design et sa taille plutôt petite, elle est rapidement devenue culte et a eu des fans enthousiastes dans le monde entier. Toujours ambitieux, Issigonis développe de nombreuses versions comme le Van, le Pick-up ou la Moke et la Morris Mini Traveller utilisée par les pompiers et la poste en Grande-Bretagne. Issigonis dirige le bureau d’étude Austin durant les années soixante, et tente d’appliquer l’alchimie de la Mini aux berlines 1100-1300, à la 1800 Balanza, à la Maxi et à la 3 Litres et finalement il prend sa retraite en 1971, avec le plaisir de voir sa Mini toujours en production. En fait la production ne cessa qu’en 2000, faisant de la Mini (Morris Mini Minor ou Austin Se7en) la voiture britannique la plus produite de tous les temps avec 5,3 millions d’exemplaires ....





Sources : © - Wikipédia © - Google Images © - CoachBuild © - Petrolicious
© - Alec Issigonis © - ClassicSport © - MiniCom





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